N° 41 HIVER

Décembre 2002.

 

 

 

 

F.

E.

B.

-

A

C

T

U

A

L

I

T

É

S

Editorial.

L’événement de cette fin d’année aura indubitablement été le " Sixième Colloque de l’Histoire de l’Informatique et des Réseaux ", qui s’est tenu à Grenoble les 25, 26 et 27 novembre.

Traditionnellement, depuis les origines, la F.E.B. a animé ces colloques au travers d’expositions de matériels anciens, organisées en accompagnement de ces manifestations. Ce fut le cas à Grenoble en 1988, à Paris aux Arts & Métiers en 1990, à Sofia Antipolis en 1993, à Rennes en 1995 et à Toulouse en 1998. Naturellement, la F.E.B. a toujours participé au colloque proprement dit par des communications historiques appropriées.

Ce " 6ème Colloque International de l’Histoire de l’Informatique et des Réseaux ", était organisé dans le cadre du cinquantième anniversaire de l’IMAG (Institut d’Informatique et de Mathématiques Appliquées de Grenoble). Cette importante manifestation historique et culturelle a donc eu lieu cette année, de nouveau à Grenoble. Comme lors des cinq premières éditions, la Fédération des Équipes Bull était toujours présente dans cette vitrine de la culture informatique. En effet, nous étions, aux côtés de nos amis grenoblois de l’ACONIT, et de ceux, parisiens, de l’AHTI, co-organisateurs et membres du comité d’organisation. Nous étions donc présents aussi bien dans l’organisation propre, que par notre participation à deux sessions du programme, mais aussi en présentant dans l’exposition associée des objets célèbres qui ont largement contribué à la renommée de Bull, comme le Gamma 3, le Micral N et le BM30.

En couronnement de cette manifestation dédiée à l’histoire, la célébration du cinquantenaire de l’IMAG fut un autre moment très fort de cette semaine culturelle. Cette célébration a eu un retentissement particulier, avec la présence de Madame la Directrice du CNRS, Madame Geneviève BERGER. Notre ministre-spationaute Madame Claudie HAIGNERÉ avait demandé à Madame la Rectrice de l’Université de Grenoble de lire un long message de soutien, étant elle-même retenue par un séminaire ministériel.

Vous aviez tous reçu une invitation à ce " sommet " de l’histoire de l’informatique, et nous remercions très sincèrement ceux qui nous ont fait l’honneur d’y participer.

Notre Président Alain LESSEUR

L’hiver, le ciel devient gris.

La neige risque de tomber.

Rubriques

Editorial.

Le message du jour.

Les échos d’un commercial.

Groupe histoire.

F.E.B. Angers et Pays de la Loire.

Les ailes du moulin en Anjou.

F.E.B. Belfort.

La généalogie.

F.E.B.B. Belgique&Luxembourg.

F.E.B.D. Allemagne.

Les expositions F.E.B.

Retrouvez les échos de la F.E.B.

Cyberespace.

-Infos diverses,

-C’est nouveau.

Alexandre Dumas au Panthéon.

L'esprit de Bull, quelques anecdotes.

C’est l’hiver.

Notre message :

FEB-ACTUALITÉS N° 41

JOYEUX

NOËL 2002 & AN 2003

 

 

Pages

01

01

02

05

07

09

11

13

14

15

17

18

24

24

26

29

31

32

 

Les échos d’un commercial à Grenoble de 1956-1967.

Suite des épisodes précédents de José Bourboulon.

COMMERCIAL A GRENOBLE 1956 - 1967 ( 7° épisode ).

J’ai retrouvé un document intéressant que je vous livre en toute modestie car il est presque un peu ridicule aujourd’hui, mais, trente sept ans après, j’y retrouve bien mes illusions, mes soucis et mes indignations de chef de secteur commercial âgé de trente deux ans, isolé et subitement pris dans une tourmente déclenchée en 1960 (IBM 1401) et encore plus en 1964 (série IBM 360) par une supériorité IBM dont je n’avais pas soupçonné qu’elle pût être aussi écrasante.

C’est un brouillon manuscrit dont vous avez un fac-similé partiel, mais que je retape pour le rendre lisible ; naturellement je n’y change pas un mot. Il est fait sur un questionnaire ronéotypé reçu de BGE, que j’avais oublié de dater, mais qui est de 1965, je ne sais pas en quel mois mais certainement du premier semestre. Naturellement aussi, je n’ai jamais eu de retour sur le résultat de cette enquête, et je ne sais d’ailleurs même pas si Laurent Artru, mon chef (" chef de ventes zone 5 " à Lyon), l’avait transmis à Paris : dans mon souvenir, il ne m’en a jamais parlé.

Je crois bien que j’ai répondu tout seul à cette enquête, sans même en parler à Kampf qui n’a jamais dû être au courant.

La première page, très raturée, a trait aux chiffres : effectifs, poids du secteur et nombre de démarrages en 1963 et 1964. Je ne vous remets que les parties " littéraires ", que voici (en gras les questions de B.G.E. et en italique ce que j’avais écrit) :

Feuille de notation de José sur la situation du secteur de Grenoble.

IV. COMMENTAIRES DU CHEF DE SECTEUR.

 

  1. sur la situation actuelle du secteur, comparée à celle de la concurrence (moyens, parcs, etc…)
    1. IBM dispose : d’une école de perforation de 9 ingénieurs commerciaux et ingénieurs technico-commerciaux MACP et ordinateurs, d’un service-bureau équipé d’une 1401 à cartes.
    2. IBM Grenoble est à même d’organiser des séances de tests psychotechniques et dispose des batteries de tests nécessaires.

      IBM dispose d’une salle de conférence et de cours. Il s’agit d’une véritable direction régionale à part entière.

    3. Le matériel IBM fonctionne très bien.
    4.  

      b) sur l’évolution des clients (B.G.E., concurrence ou non mécanisés)

      • dans l’année
      • dans les trois ans à venir

      L’évolution des clients dépend de celle du matériel, car ils sont maintenant presque tous prêts à suivre, ou du moins le croient-ils.

      Dans l’année : - 9 gammas 10 à installer dans le secteur

          • - annonce de nouveaux matériels BGE ?

      - succès du 360 ?

       

      Ce sont les trois facteurs qui peuvent précipiter ou ralentir l’évolution des clients dans l’année.

      Dans les trois ans à venir : faire une croix sur le matériel 150. Il existe dès maintenant un marché considérable, à peine effleuré par l’IBM 6400, pour un matériel même relativement cher, doté de :

      • Programme enregistré
      • Mémoire à accès direct
      • Time-sharing en gestion (plusieurs MAE d’entrée)

       

      c) sur l’évolution des problèmes

      dans l’année TEMPS REEL

      dans les trois ans à venir TEMPS REEL

      Aussi bien en gestion qu’en automatisme.

      Le développement devrait en être bien plus rapide dans le premier domaine, qui n’entraîne aucun problème d’engineering. Le M 40 en gestion pourrait connaître un développement considérable : aucun ordinateur de gestion actuellement sur le marché ne dispose des interruptions de programme et de la protection mémoire nécessaires en temps réel (même sans multiprogrammation), et sans lesquels il n’y a pas d’ordinateurs valables. Le 360-30 répondra à ce besoin si nous ne pouvons y satisfaire dans l’immédiat.

       

       

      d) sur l’état d’esprit actuel

      des cadres B.G.E.

      des Agents de maîtrise B.G.E.

      Chez les uns comme chez les autres : amertume devant la pauvreté de notre situation (traitements et catalogue de matériels), et devant la panique qui paraît régner à Paris à tous les niveaux.

       

      1. sur l’état d’esprit des clients (B.G.E. et concurrence) à l’égard de B.G.E.

      B.G.E. a perdu le capital de sympathie de BULL,

      n’a pas bénéficié le moins du monde, chez les clients de notre secteur, de l’apport G.E., qui ne s’est encore manifesté nulle part (ni nouvelles machines, le 400, presque toujours trop gros, n’ayant pas de vocation scientifique, ni publicité, ni notoriété etc…)

      IBM tire un profit considérable de cette absence.

      Nos commandes se sont arrêtées en juillet 1964. Notre position, assez forte auparavant, et en tout cas aussi forte que celle d’IBM, s’est entièrement dégradée, et nous ne ramassons que les miettes.

       

      V. SUGGESTIONS DU CHEF DE SECTEUR

      Dans tous les domaines – ad libitum –

      1. Catalogue. BGE. doit avoir une politique à long terme, mais aussi une politique à très court terme : Les jours perdus actuellement ne se rattraperont plus. Le 360, bien parti malgré certains handicaps, va faire des ravages dès que son succès s’annoncera. Dans le domaine du catalogue, l’exclusion du Gamma M 40 de la gestion nous coûte notre position tous les jours. C’était la meilleure machine Bull, et de loin, depuis le Gamma 3.
      2. Notoriété. Il y a tout à faire : gamme, publicité de masse, manifestations de prestige, traitements et salaires, installation de machines de démonstration dans les secteurs, publicité locales (genre : "  BULL-GE Grenoble = 60 personnes à votre service ")
      3. Locaux. A Grenoble : ne pas louer la deuxième partie du nouveau local (salle de cours, école de perforation, et bureau d’adjoints supplémentaires).
      4. Ne pas vendre l’ancien local, à affecter à un centre de démonstration et d’essais de programmes pour la nouvelle gamme et la petite machine.

        Il vaut mieux renforcer Grenoble à fond que créer des sous-bureaux étriqués à Valence ou Annecy.

      5. Moyens administratifs. Il reste à créer un secrétariat de secteur équipé convenablement (machine à photocopier).
      6. Traitements. Ingénieurs commerciaux et ITC : pas d’intéressement ou intéressement calculé par des moyens simples, tels que chacun puisse évaluer le rapport de telle affaire ou le coût du renforcement du secteur en I.C., I.T.C., secrétaire etc…Une seule base d’intéressement : le chiffre d’affaires total du secteur (y compris personnel en régie, rubans magnétiques, et heures supplémentaires par exemple).

      Inspecteurs et agents techniques : salaires en proportion des offres de la clientèle, surtout dans les échelons élevés.

      Les capitaux issus de la facturation des agents techniques pourraient bien être affectés aux augmentations de salaires ou à l’équipement des secteurs en engins de démonstration ?

      1. Effectifs Le lancement d’une gamme basse ne pourra être assuré que par des effectifs suffisants en I.C. Les ingénieurs doivent pouvoir être choisis par le chef de secteur, comme tous ses collaborateurs.

       

      Voilà ce que j’avais répondu à cette enquête. Si B.G.E. avait suivi mes recommandations, chaque secteur serait devenu indépendant, les dépenses se seraient envolées et les recettes n’auraient peut-être pas beaucoup augmenté. Ce que je n’ai jamais cessé de regretter, c’est l’exclusion du M 40 de la gestion : il y avait sûrement de bonnes raisons à cela mais je ne les ai jamais connues.

      Ce petit texte n’a évidemment aucune valeur, mais il reflète bien l’état d’esprit d’un petit chef de petit secteur de province, complètement déstabilisé par ce qu’il percevait comme l’incurie de sa direction générale ayant entraîné une supériorité d’IBM ressentie comme une injustice..

      José BOURBOULON

       

       

      Groupe Histoire.

       

      Mais qui donc a inventé l’ordinateur ? (suite).

      Le 1er ordinateur était il bulgare ? John Vincent Atanasoff.

      La Bulgarie s'apprête à célébrer en grandes pompes, le 4 octobre 2003, sous l'égide de son président de la république Georgi Parvonov et de son premier ministre Prince héritier Siméon de Saxe-Cobourg Gotha, le centième anniversaire de la naissance de John Vincent Atanasoff.

      Une souscription est également ouverte pour lui édifier une statue.

      Indépendamment du bénéfice politique et économique que les dirigeants bulgares espèrent en tirer à l'approche de l'examen de la candidature de leur pays à l'entrée dans l'union européenne, la vie de ce pionnier de l'informatique mérite qu'on s'y arrête.

      John V. Atanasoff est donc né le 4 octobre 1903 à Hamilton (N.Y.). Il est le fils aîné d'une famille de 9 enfants. Son père, Ivan Atanasov, émigré bulgare arrivé aux Etats Unis à 13 ans en 1889 changera son nom en John Atanasoff et deviendra ingénieur électricien.

      Sa mère Iva Lucena Atanasoff-Purdy est professeur de mathématiques et l'initiera très jeune à cette noble science. Lorsqu'il a 10 ans son père achète une règle à calcul Dietzgen qui le passionne et il lit un ouvrage d'algèbre dans lequel il découvre les bases de numération et en particulier le système binaire qui sera la base de son ABC.

      Ingénieur électricien diplômé de l'université de Floride, il prépare un master de mathématiques au collège d'état d'Ames dans l'Iowa puis, à l'université de Wisconsin, un doctorat en physique théorique sur la constante diélectrique de l'hélium. Il se heurte au cours de ce travail à de nombreux calculs qu'il doit effectuer sur une machine de bureau et ressent le besoin d'une machine automatique. Muni de son PhD en 1930, il revient à Ames, devenu entre temps Iowa state University où il sera bientôt nommé assistant en mathématiques et en physique.

      Ses étudiants ressentant également le besoin de calcul automatique, il s'attaque au problème. Après de longues réflexions il divise les machines à calculer existantes en 2 groupe, les calculateurs analogiques et les machines "calculant correctement" Il tâtonne longuement.

      Un soir de l'hiver 1937, il prend sa voiture sans destination précise et après 300 km de route, arrivé dans l'Illinois, il s'arrête pour prendre un verre au bord de la route et, assis à sa table, il voit toutes les pièces du puzzle se rassembler et arrive à une claire vision de ce que doit être sa machine.

      De retour, il formule ses idées, obtient une subvention de 650$ de son université et l'aide d'un jeune et brillant étudiant nommé Clifford Berry.

      Ils s'attaquent tous deux à la réalisation d'un calculateur électronique dont le prototype tournera en 1939.

      Il fonctionne en binaire.

      Seule l'horloge est mécanique, elle tourne à 60 Hz. La mémoire (60 mots de 50 bits) est constituée de condensateurs disposés sur un tambour, avec un système de rafraîchissement.

      L'unité de calcul est constituée de 210 tubes électroniques. Cette machine sera connue dans l'histoire sous le nom de ABC (Atanasoff Berry Computer)

      L'éminent juriste de Chicago Richard R. Trexler fait une demande de brevet qui restera sans suite. Atanasoff propose l'ABC sans plus de succès à Remington Rand.

      Mais il a l'occasion, en 1940,à la sortie d'une conférence de Mauchley, d'en expliquer le principe à ce dernier qui se montre vivement intéressé. Comme par hasard, ces principes se retrouveront quelques années plus tard dans l'ENIAC…

      La guerre survient, Berry est mobilisé, Atanasoff est requis pour diriger un programme d'acoustique sous marine au laboratoire d'artillerie navale de White Oak, l'ABC est démonté (sans l'accord de ses concepteurs) et oublié.

      Après la guerre, Atanasoff continue à travailler pour l'armée. Il est responsable scientifique des Army Field Forces à Fort Monroe en Virginie et participe aux essais de Bikini en 1952, et retourne à son laboratoire d'artillerie navale pour y diriger le programme des fusées de l'US Navy.

      Quelque temps après il fonde sa société, l'Ordnance Engineering corp à Rockville dans le Maryland qui travaille dans le même domaine. En 1956, il vend sa société à l'Aerojet Engineering Corp dont il devient Vice-Président. Il prend sa retraite en 1961.

      L'ABC continue à dormir jusqu'à un procès qui oppose Honeywell et la Remington Rand ( la firme où se trouvent maintenant Eckert et Mauchley) pour la paternité de l'invention du calculateur électronique. A l'issue de ce procès qui a duré 6 ans le juge Earl R. Larson conclut que l'ENIAC est "dérivée des idées du Dr Atanasoff". Celui-ci est désormais considéré comme le père du calculateur électronique. Et notoriété et honneurs arrivent tardivement.

      Il reçoit de nombreuses médailles dont la plus notoire est la "National Medal of Science and Technology for 1990". Cette médaille lui fut remise par le président Bush (père) en personne, à la maison blanche.

      Il meurt d'une attaque le 15 juin 1995 à plus de 91 ans.

       

      Prototype de l’ABC.

      Atanasoff recevant sa médaille

      Maquette de l’ABC

      François HOLVOET-VERMAUT

      F.E.B. Angers – Pays de la Loire.

       

      Des nouvelles de F.E.B .ville d’Angers.

      Conseil d’administration

      Le 22 oct. 02 à Angers s’est déroulé le conseil d’administration accueilli par Michel LE NOTRE, D.R.H.de l’Ouest de la France (de Lille à Bordeaux) et Chef d’Etablissement d’Angers. M. LE NOTRE nous trace les contours actuels de BULL à Angers, les implications industrielles des produits GCOS ( Systèmes DIANE et bientôt FAME). Il nous fixe le périmètre actuel du Groupe Bull : moins de 9000 personnes au niveau mondial, avec moins de 6000 en France.

      Visite des locaux F.E.B. implantés rue du nid de pie, local R.E.R. et local Micro informatique.

      Difficultés sociales

      Des mouvements syndicaux et de personnels, chez ACT, ateliers de cartes électroniques (vendus en sept. 2000), oblige Bull Angers à sécuriser le site.

      Club R.E.R.

      La Pelerod de 1934 pose des problèmes de pièces inexistantes, bien entendu sur le marché, mais Yvon COUTANT plein d’initiative a su se dépanner sur de "vieux systèmes" aux magasins généraux. Les pièces cannibalisées sont des interrupteurs d’époque, ainsi que des " tourneboucles " (terme de spécialiste).

      En prime reconstruction d’un schéma neuf, suite à la recherche de fils coupés, résultats payants, le système fonctionne à 80%. Ce n’est pas un rêve mais une réalité visible lors du conseil d’administration. Merci encore à Yvon COUTANT qui, à l’image de la T 30 (Maurice GILBERT) a su redynamiser ces reliques.

      En conclusion, ne croyons pas que le R.E.R. est en veille.

      UN AMI NOUS A QUITTES

      Georges RAMAGET est décédé. Sa sépulture à eu lieu le 13 nov.02 à MOZE sur Louet, petite localité de la périphérie d’Angers. De nombreux amis de la F.E.B. et de Bull étaient présents. Nous garderons de lui le souvenir d’un excellent ami qui a eu une participation des plus actives à l’essor du Club Micro de la F.E.B.

      R. BAUVINEAU & M. BOULAY

       

       

      Des nouvelles du club micro d’Angers.

      Notre club micro-informatique a changé d’adresse ! Oui, c’est vrai, et nous nous sentons bien dans nos nouveaux locaux, inaugurés lors du dernier Conseil d’Administration de la FEB qui a eu lieu pour la première fois à Angers. Nous sommes revenus dans le giron industriel de BULL. Cela a des avantages et quelques inconvénients mais les services généraux, de qui dépendent les locaux, font preuve de souplesse à notre égard bien que " l’environnement " soit délicat en ce moment.

      Petit rappel : le stationnement est autorisé sur la rue côté pair, c’est à dire, côté Entreprise BULL.

      Il est interdit de stationner côté Gendarmerie et les gendarmes font respecter cette interdiction sans faille, plan " vigie-pirate " oblige.

      L’organisation du club ne change pas. Les lundis après midi accueillent une vingtaine d’adhérents ; c’est le forum hebdomadaire. On vient y échanger des trucs et astuces, poser des questions, résoudre des problèmes et rencontrer des personnes ayant le même hobby en toute convivialité.

      Si nous sommes adhérents au club c’est que nous possédons un ordinateur et avons pour beaucoup d’entre nous une connexion à l’Internet. Pour communiquer et être informés nous avons deux canaux utilisant l’Internet.

      1. La liste de diffusion du club micro sur le site http://clubs.voilà.fr
      2. Nous y sommes trop peu nombreux, une cinquantaine, alors que nous devrions nous compter 150 inscrits.

        Il est très facile de s’inscrire sur cette liste ; venez nous en parler au club ou adressez un e-mail à claude.gallard@mail.dotcom.fr pour en faire la demande.

        Si vous le jugez nécessaire nous nous déplacerons pour installer cette fonction sur votre ordinateur. Nous ferons dans quelques temps une conférence sur le sujet ; alors soyez attentifs en allant vous informer sur notre site Internet.

      3. Une page " informations " est créée sur notre site Internet

      http://perso.wanadoo.fr/febangers .

      Allez la consulter et réagissez aux informations données en nous envoyant un e-mail immédiatement. Derrière chaque information un lien e-mail sera disponible vers le club ou un bénévole en charge du dossier.

      Alors communiquons !

      C’est le moteur principal de l’évolution de notre club micro-informatique,

      et

      Informez vos amis et vos proches sur nos activités !

      Dites-leur de se renseigner en venant au club les lundis après midi au 26, rue du Nid de Pie ou en téléphonant au 02.41.35.03.31. Les autres jours le répondeur prend le relais.

      Montrez leur notre site Internet : http://perso.wanadoo.fr/febangers en particulier les pages " initiations, conférences et informations " qui sont régulièrement mises à jour.

      Notre adresse e-mail : febangers@wanadoo.fr

      À bientôt au club micro, amitiés à tous …

      Claude Gallard et l’équipe des bénévoles.

      Mise au point de la Pelrod .

      Le staff en plein travail à Angers.

      La T30 compte et imprime.

       

      En Anjou, la passion a des ailes.

      Entre les Angevins et les moulins, il existe une vieille histoire d’amour que l’industrialisation de la boulangerie et la chute de la consommation du pain n’ont pas ternie. SI les ailes des moulins tournent toujours, c’est grâce à la passion des enfants du pays et au talent de l’un des derniers charpentiers amoulageurs de France.

      Le moulin tour est le plus connu. L’Anjou en comptait 1.200 au début du XXe siècle.

      Thierry Croix exerce une profession rayée des dictionnaires : il est charpentier amoulageur. Un métier que son père lui a appris. " Dans la famille, on a toujours fait ça. A l'école, on peut devenir charpentier mais la charpente d'un moulin ce n'est pas que du bois. Elle doit s'adapter au mécanisme du fer, aux meules en pierre et, une fois installées, les pièces travaillent. Le meunier les pousse pour mettre les ailes face au vent, qui les malmène à son tour. Ça m'étonnerait vraiment qu'on puisse modéliser toutes ces données sur l'écran d'un ordinateur, parce qu'un moulin, ça s'écoute avant tout.

      Une terre qui laisse passer le vent

      En effet, à regarder Thierry travailler, juché sur la verge - dix mètres d'un seul tenant sorti de l'atelier familial -, on se dit qu'on est plus près du cirque ou de la boîte à musique que des mathématiques. " Il suffit d'un grain qui tombe dans la trémie, du "cloc-cloc" des ailes et je comprends ce qui va, ce qui ne va pas. " combien sont-ils encore en Franc comme Thierry, capables de redonner des ailes aux moulins ? Peut-être une poignée. En tout cas, s'il n'en restait plus qu'un, il serait celui-là car c'est en Anjou que nous l'avons rencontré.

      En effet, il y a quelque chose qui tient de l'histoire d'amour, de l'Histoire même, entre l'Anjou et ses moulins hydraulique ou à vent, à tour, chandeliers ou caviers : c'est ici que le royaume de France en comptait le plus. La raison doit se trouver dans les caprices de la Loire et dans la topographie des lieux, contrastée juste à souhait pour laisser passer le vent. Pourtant, depuis la fin du XIXe siècle, petit à petit, cette terre de moulins s'est transformée en champ de ruines. Longtemps, les Angevins ont cru qu'ils devaient s'y résigner, qu'il fallait vivre avec leur temps. Mais, dans la mémoire collective, impossible d'effacer l'image toute bête d'une tour, d'un chapeau et d'une croix de saint André.

      Meules et trémies : Les céréales passent, depuis cet entonnoir, dans la meule qui leur est consacrée.

      Alors, quand le souffle de la modernité, " du formica et du ciné " s'est un peu calmé dans les villages, il s'en est trouvé un, descendant de meunier, un peu fou, un peu visionnaire, décidé en tout cas à faire revivre le moulin de son enfance. Depuis la fin des années 80, organisés dans l'Association des amis des moulins d'Anjou, ils sont nombreux à monter des dossiers, à courir les subventions et à sauver, petit à petit, ce qui peut l'être.

      C'est en Anjou bien sûr que se trouve le moulin du Ratz, le dernier à produire de la farine grâce au vent, avec un vrai meunier. Construit en 1740, l'histoire de ce moulin tour se confond avec celle de la famille Hoinard.

      Toujours un Paul... jusqu'à Bernard aujourd’hui.

      Lorsque Paul Hoinard l'acquiert, en 1855, il fait une bonne affaire. A l'époque, les moulins se comptent par milliers, car le pain représente 75% des dépenses d'un foyer ouvrier! Alors, le moulin mouline et la famille prospère. A chaque génération, le fils aîné succède au père. Toujours un Paul, cinq d'affilée jusqu'à... Bernard, l'actuel meunier. Dernier d'une fratrie de dix, ce n'est pas lui, dans la tradition familiale, qui aurait dû reprendre le moulin. Paul, son frère aîné était tout désigné. Mais en 1943, un obus allemand en a décidé autrement. Puis, avec l'industrialisation des métiers de la boulangerie, la baisse régulière de la consommation du pain, les autres frères ont pris un à un le chemin de l'usine.

      Bernard, meunier de Ratz est la mémoire vivante d’un savoir-faire presque disparu.

      Alors, en 1982, après avoir servi son moulin cinquante-sept ans, le dernier des Paul s'est tourné vers Bernard, le dernier de ses fils qui, sans rechigner, a continué la lignée. " De toute façon, le moulin a toujours été ma passion ", dit-il. Une passion dévorante. A 39 ans, Bernard est encore célibataire. Mais après lui, pas de souci, " le moulin restera dans la famille " car c'est l'un de ses neveux qui lui succédera: Paul, le fils aîné d'un de ses frères.

      " Pour l'instant, c'est moi le meunier ", marmonne Bernard, en sortant de sa poche la grosse clé du moulin, qui date de 1740, elle aussi! " Il y a du vent, il faut en profiter. Autrefois, il y en avait toute l'année mais aujourd'hui, on ne peut travailler que de septembre à mars ". En effet, le remembrement des années 60 est passé par-là et les ailes des moulins sont désormais trop hautes. " Ils ont tout cassé, tout brisé, arraché toutes les haies, gronde Bernard. Maintenant le vent ne monte plus. Il passe au ras des pâquerettes. "

      Mais s'il travaillait toute l'année, entre deux brises, autrefois, le meunier patientait. Et ça pouvait durer longtemps. Jusqu'au jour où est arrivée la fée électricité. Révolution dans les campagnes ! Les moulins pourraient tourner jour et nuit, quand bon leur semblerait !

       

      Du blé à la farine : Les bons mois le Ratz moud 3 ou 4 tonnes de grains (froment, avoine, blé…).

      Des sacs de 25kg montés à dos d’homme.

      En 1956, pour ne pas être en reste, Paul Hoinard, le père de Bernard, installa même un petit moteur au moulin du Ratz, " comme ça, il pourra continuer à travailler malgré les caprices du vent " . Hélas, il réalisa presque aussitôt qu'avec l'électricité, plus besoin de vent, plus besoin d'ailes et plus besoin de moulins...

      " Depuis, les agriculteurs amènent leur blé à la minoterie industrielle. C'est plus rentable. II n'y a rien à en dire, constate Bernard dont le moulin tourne au ralenti. Trois ou quatre tonnes, les bons mois, qu'il faut monter, par sac de 25 kg, à 17 m, tout en haut. " 110 marches en tire-bouchon, à peine la place d'y poser la pointe du pied, en somme une échelle de meunier qui épouse la concavité de l'ouvrage. Sous la charpente, " chaque meule à son emploi, poursuit Bernard. Celle-ci travaille pour le froment, celle-ci pour le bétail (avoine, maïs, on y passe tout ce que l'on veut) et celle-là pour la farine de blé noir, le sarrasin. Avec une tonne de blé, chacune sort 750 kg de farine ".

      L'adjonction du petit moteur électrique n'a en rien modifié la structure du vieux moulin, inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1975. Seules ses ailes ont été restaurées en 1978. Thierry Croix, à l'époque, était encore en culotte courte. C'est son père, André, qui s'en était chargé.

      Antoine FERRO.

       

       

      F.E.B. Franche-Comté Alsace.

       

      La Délégation de Belfort vous raconte son :

      Voyage au Portugal du 25 mai au 6 juin 2002

       

      Nous étions 21 à prendre l'avion Bâle Lisbonne, ce samedi 25 mai, pour un circuit au Portugal. Vol sans histoire, avec escale à PORTO. Notre jeune guide, CARLA, nous attendait à l'aéroport. Nous avons tout d'abord visité LISBONNE : le quartier médiéval d''ALFAMA (Ancienne Cathédrale et ruelles étroites), puis BAXIA entièrement reconstruit après le séisme de 1755 qui détruisit presque tout LISBONNE et une grande partie du sud du pays, et enfin le quartier de BELEM : Tour de BELEM, Monastère des Hiéronymites. Le Musée des Carrosses renferme une des plus belles collections de carrosses au monde, de style rococo pour les plus délirants. Enfin, le Monument des Navigateurs construit sous SALAZAR en hommage à Henri le Navigateur et à tous ceux qui ont participé aux grandes découvertes.

      En route pour notre circuit : découverte de SINTRA (Palais National et vieux quartier moyenageux), des stations balnéaires d'ESTORIL et CASCAIS, et de la petite ville pittoresque d'OBIDOS (ses vieux quartiers). Le Monastère gothique de Santa Maria à ALCOBACA (chef-d'oeuvre de l'art cistercien) possède un cloître magnifique. Dans une des chapelles : tombeaux du Prince Héritier PEDRO et d'INES DE CASTRO, assassinée sur ordre du Roi Dom AFONSO IV et qui inspira Henry de MONTHERLANT pour "la Reine Morte". NAZARE est un joli port de pêche et une station balnéaire réputée. BATALHA, est célèbre pour son Abbaye dominicaine (pur gothique flamboyant), ses deux cloîtres remarquables et ses chapelles inachevées à ciel ouvert (style manuélin : profusion de décorations de cordages, d'animaux, de fruits et de fleurs exotiques découverts au moment des grands voyages maritimes). Arrêt à FATIMA : sa basilique néo-classique est un haut lieu de pélerinage pour les Portugais (apparition de la Vierge en 1917 à trois petits bergers), mais on n'y parle pas de miracles.

      La première Université fut créée en 1280 à COIMBRA et la ville a gardé sa vocation estudiantine (la Faculté de Droit est désormais prépondérante). COIMBRA possède aussi la plus belle cathédrale du Portugal et plusieurs églises. PORTO, c'est la tradition de la vigne par excellence : vins blancs, vins rouges et célèbre Porto (blanc, il se boit ici en apéritif; rouge, on le déguste en digestif). Nous avons visité les caves GRAHAM'S. Ne pas oublier la cathédrale ("SE" en portugais), l’incroyable Eglise St François (la nef et les chapelles latérales sont recouvertes de quelques 200 kg d'or), le Palais de la Bourse, le quartier de Ribeira enfin et ses soirées fado (nous avons pu assister à un spectacle) et le café Majestic (pur style Art Nouveau). Petite promenade en bateau sur le Douro, pour voir le pont construit par Gustave EIFFEL, qui a longtemps séjourné au Portugal et réalisé plusieurs constructions.

      Dans la province du MINHO, on ne pouvait pas manquer BARCELOS et son célèbre emblème portugais : un coq noir à crête rouge, décoré de fleurs. BRAGA nous réserve une surprise : c'est le jour de la Communion Solennelle. Les fillettes portent des robes de fête, mi-longues, bien loin de la simplicité des aubes françaises. Dom AFONSO HENRIQUES, couronné premier roi du Portugal en 1139 (impressionnante statue à l'entrée du château) fit de GUIMARAES sa capitale. Dom AFONSO HENRIQUES serait né dans le château-fort "SAO MIGUEL" (donjon carré entouré de tours crénelées) qui surplombe la ville. Plus au sud, au 16ème siècle, de fortes tempêtes ont fermé la lagune (marais salants - port de pêche) sur laquelle se trouvait la ville d'AVEIRO. C'est maintenant une station balnéaire réputée, mais l'eau de mer est à 15° pour le moment ! Le chenal a été réouvert au début du 19ème siècle.

      Ville de Lisbonne : Praçà Rossio

      Retour d'une partie du groupe vers la France, séjour supplémentaire de trois jours pour les autres, qui ont ainsi pu découvrir d'autres sites : EVORA (lieu d'une des premières victoires contre les occupants Maures). MAFRA : construit au 18ème siècle en marbres de Carrare, son imposant palais/monastère est doté d'une des plus belles et des plus riches bibliothèques au monde. Le superbe château rococo de QUELUZ, inspiré du Château de Versailles, est entouré de jardins à la française magnifiques. Dernière promenade dans LISBONNE pour visiter le Musée des Arts Antiques et l'Elévateur conçu par un élève de Gustave EIFFEL).

      Ce fut vraiment un séjour très agréable et instructif. Le Portugal est très mal connu en France : sa population, ses villes, ses monuments et sa gastronomie méritent bien davantage. De plus, Carla était formidable... A quand le prochain voyage ?

      Nous remercions Régine DUREISSEIX qui nous a fait le compte rendu du voyage.

      Tous les projets pour la préparation du voyage de 2003 devront être connus en décembre 2002, je suis à l’écoute de tous.

      Marinette

      La Généalogie.

       

      Note de lecture.

       

      Un curieux usage à Mitry-Mory en 1756 :

      " Si une femme ou une fille, de quelque âge que ce soit, est rencontrée par un homme dans les champs, les chemins, ou même dans le village, de nuit ou à la brune, seule ou sans lumière, il est autorisé par l'usage à la meurtrir de coups, même à lui ôter la vie si cela devient nécessaire, et il peut ensuite s'en vanter comme d'une action méritoire ".

      On assure que cette coutume a causé la mort de plusieurs femmes.

      Relevé par Mme de HARO, dans le livre " Claye-Souilly et ses environs ", p 142.

      Article paru dans Généalogie 62, N° 73, 1er Tri 2002. Jean VIDAL

      F.E.B.B. Belgique - Luxembourg.

       

      Nouvel aménagement

      Nous sommes toujours dans l'entrepôt Bull-Integris à Overijse, pas loin du siège de Bull à Bruxelles.

      Nous avons rapatrié le matériel qui servait à animer une salle de réunion (Baobab) désormais abandonnée par la société.

      Par ailleurs, nous avons repensé la disposition de nos collections.

      Nous sommes toujours heureux de recevoir l'un ou l'autre d'entre-vous le jeudi entre 10 et 12 1/2 h , entre 14 et 15 h ou sur rendez-vous.

      Actions en cours

      André Hanchart et Roger Matthys ont réalisé le câble nécessaire pour connecter à la tabulatrice le bloc P.C. (Poinçonneuse Connectée, pas Personal Computer) .

      Il s'agit d'un câble comportant une centaine de brins, qu'avec patience ils sont en train d'enficher aux appareils.

      On retrouve ainsi les gestes anciens , la patience et l'habileté des artisans d'autrefois … !

      Internet.

      Rappel pour les internautes :

      www.users.skynet.be/g.natan

      qui est aussi le site de F.E.B.B. vous offre, dans sa rubrique "histoire", la possibilité de faire une visite virtuelle du musée des matériels mécanographiques et des ordinateurs vendus par Bull à l'époque.

      Et quand vous voulez en savoir plus, ce site vous envoie à www.feb-histoire.com , et à d'autres sites intéressants.

      Gilbert NATAN

       

      F.E.B.D. Deutschland (Allemagne).

       

      Merci à Egon W.MÜLLER de nous faire parvenir des articles de notre partenaire F.E.B.D.allemande et à notre Président de la F.E.B. de bien vouloir nous les traduire.

       

      FEB Deutschland e.V. mit neuer Homepage "www.feb-d.de"

      Im Frühjahr 2002, angeregt durch den Besuch im HNF (Heinz Nixdorf Museums Forum) in Paderborn, während unserer Mitglieder Versammlung, entstand die Idee,dass wir den Internetauftritt des FEB Deutschland e.V. (Freunde und Ehemalige von Bull) modernisieren müssten.

      Es wurde eine Arbeitsgruppe unter Leitung unseres 2. Vorsitzenden Herrn Otto Grosz ins Leben gerufen.

      Es wurden gemeinsam Zielgruppen für unsere Information ermittelt:

      *Wir bieten Nachrichten (News) für unsere Mitglieder.

      *Wir sind eine positive Position für die Gruppe Bull.

      *Wir wollten eine hohe Zugriffsrate auf unsere Homepage.

      *Wir wollen neue Mitglieder gewinnen von den mehr als 2000 Ehemaligen von Bull in Deutschland.

      *Wir wollen unseren Bekanntheitsgrad erweitern.

      Diese und noch mehr Ideen wurden strukturiert und es wurde unsere neue Homepage geschaffen.

      Wir hatten uns bei unserem Provider, der Firma 1&1, einen zu uns passenden Namen

      www.feb-d.de

      rechtzeitig reservieren lassen.

      Das beigefügte Bild zeigt unser Erscheinungsbild von Gestern bis Heute. Berücksichtigt werden mussten auch die neuen gesetzlichen Auflagen für Veröffentlichungen im Internet.

      Nach Ende der Sommerpause sind wir Ende September mit unserer Homepage an die Öffentlichkeit getreten und haben bis Ende Oktober das stolze Ergebnis von 250 Zugriffen erreicht. Wir sind sehr stolz auf dieses Ergebnis.

      FEB Allemagne avec une nouvelle Homepage : "  www.feb-d.de  ".

      Au printemps 2002, dans le cadre de la visite du HNF (Heinz Nixdorf Museums Forum) à Paderborn, lors de l’assemblée générale de nos membres, est née l'idée que nous devrions moderniser la présentation Internet de FEB Allemagne (Amis et Anciens de Bull).

      Un groupe de travail a été créé sous la direction de notre Vice-Président Monsieur Otto GROSZ.

      Des groupes cibles pour nos informations ont été déterminés en commun :

      * Nous offrons des informations (News) à nos membres.

      * Nous représentons un élément positif pour le Groupe Bull.

      * Nous voulons un nombre élevé de visites sur notre Homepage.

      * Nous voulons recruter de nouveaux membres, parmi les plus de 2000 anciens de Bull en Allemagne.

      * Nous voulons étendre notre niveau de notoriété.

      Ces idées, et d’autres venues s’y ajouter, ont été structurées pour notre nouvelle Homepage.

      Nous nous étions fait réserver en temps utile, auprès de notre fournisseur, l' " Entreprise 1&1 ", un nom qui nous correspondait :

      www.feb-d.de .

      L'image ci-jointe montre notre image, depuis hier jusqu'à aujourd'hui.

      On doit aussi prendre en considération les nouvelles règles juridiques concernant les publications dans Internet.

      A la fin des vacances d'été, nous sommes fin septembre, et notre Homepage est ouverte au public ; nous avons fait un pas important, et sommes satisfaits du résultat, soit 250 accès atteints à la fin d’octobre. Nous sommes très fiers de ce résultat.

       

       

      Historisches Brauhaus Sion zu Köln

      Ein gutes Glas Kölsch Bier am Abend ist immer eine Reise wert. Deshalb hat der Vorstand des FEB Deutschland e.V. die Vereinsmitglieder, aber auch die Ihre Lebenspartner und Gäste in das "Historische Brauhaus SION" zu Köln am 25.Oktober 2002 eingeladen. Unserem Ruf waren nahezu 50 gefolgt, die teilweise von weit angereist waren.

      Wir konnten unseren Mitgliedern die neuesten Informationen aus unserer Arbeitssitzung am Nachmittag mit Herrn Blum von der Geschäftsleitung der Bull GmbH überbringen. Ein besonderes Thema des Abends war eine ausführliche Diskussion über die Möglichkeiten der modernen Kommunikation (Internet, e-mail Homepage etc.), aber auch die damit verbundenen Gefahren.

      Der Abend klang aus mit viele Erinnerungen an die gemeinsame Berufszeit. Die beigefügten Bilder vermitteln auch Ihnen die "Gute Stimmung" in unserer Runde.

      Wir sind sicher, dass wir von den Gästen wieder einige neue Mitglieder gewinnen konnten.

      La brasserie historique Sion à Cologne.

      Un bon verre de bière " Koelsch ", le soir, vaut toujours le voyage. Ainsi, le comité directeur de la FEB allemande avait convié les membres de l'association, mais également leurs conjoints et invités, à la " Brasserie historique SION ", à Cologne, ce 25 octobre 2002. Notre invitation avait touché 50 personnes, qui étaient pratiquement toutes présentes.

      Nous avons pu apporter à nos membres les informations les plus récentes, obtenues lors de notre réunion de travail de l’après-midi avec Monsieur Blum, de la direction de Bull GmbH (Allemagne). Un thème particulier pour la soirée fut une discussion détaillée sur les possibilités de la communication moderne (Internet, courrier électronique, Homepage, etc …), mais également sur les dangers entraînés par ces développements.

      Pendant la soirée, beaucoup de souvenirs de notre époque professionnelle commune sont revenus à la surface. Les images ci-jointes vous montrent également la " bonne ambiance ", au sein de notre cercle d’amis.

      Nous sommes certains d’être en mesure de recruter encore quelques nouveaux membres parmi les invités à cette soirée.

      Egon W. MÜLLER et traduction Alain LESSEUR.

      Expositions F.E.B.

       

      Les prochaines expositions F.E.B. seront en fin 2002.

      Consultez régulièrement votre journal FEB-Actualités ou n’hésitez pas à nous appeler à la Fédération des Équipes Bull, 2 rue Galvani 91343 Massy Cedex, Tél./fax : 01.69.93.90.40

      Notez sur vos agendas nos points de rencontre en fin 2002.

      Parmi les sites qui nous accueillent pour cette fin d’année, nous remercions la Société Air Liquide qui fête l’année du centenaire d’Air Liquide, dans le Palais de la Découverte, haut lieu de la vulgarisation scientifique de PARIS.

       

      - "PARIS – Palais de la Découverte (Air Liquide): exposition Air Liquide au palais de la découverte, du 24 septembre 2002 au 30 décembre 2002, avec comme sujet " L’air dans tous ses états." Venez découvrir des centaines d’applications des gaz que vous n’avez jamais imaginées ! Tel est le titre de l’exposition organisée par le groupe Air Liquide avec notre participation.

      michel guichard

       

      En dehors de nos expositions, allez voir aussi les grandes expositions au :

      "PARIS – Galeries nationales du Grand Palais):

      1. MATISSE – PICASSO ; jusqu’au 06 janvier 2003,
      2. CONSTABLE ; jusqu’au 13 janvier 2003,
      3. CHAGALL ; du 13 mars 2003 au 23 juin 2003,
      4.  

        "PARIS – Musée d’Orsay):

      5. MANET – VELASQUEZ ; jusqu’au 05 janvier 2003,
      6.  

        "PARIS – Musée Jacquemart-André):

      7. De CAILLEBOTTE à PICASSO ; jusqu’au 15 juin 2003,

       

      Il y en a bien d’autres, mais joyeuse découverte.

      Michel GUICHARD

      Retrouvez les échos de la F.E.B..

       

      A vos plumes numériques.

      Des talents d'auteur cachés ou avérés ? Plus d'hésitation! Aujourd'hui, le Net propose aux écrivains en herbe d'aiguiser leur plume en ligne, de e-publier et même sur tout le réseau depuis peu, d'être publiés en version papier.

      En matière d'accessibilité, de créativité et de large visibilité, les vertus du Web ne sont plus à prouver. Surtout dans le domaine de l'écriture et de la cyberédition.

      Après la mode des oeuvres collectives et des romans interactifs, nombreux sont les internautes à s'être individuellement lancés à l'eau. Essais, romans, critiques, nouvelles...

      Qui aime écrire peut désormais s'exercer en toute liberté et se faire connaître du plus grand nombre. Un bon point pour élargir son lectorat mais aussi pour trouver un éditeur en ligne sans risquer de se faire claquer la porte au nez.

      Si les spécialistes comme 00h00.com se sont multipliés, permettant ainsi d'être numériquement publié et d'être payé pour la cyberlecture de son oeuvre, d'autres permettent aujourd'hui de publier en réel, en version papier.

      Edition origin@le

      Se définissant comme le serveur des, auteurs non publiés, Webiscript.com vous donne la possibilité de mettre des extraits de votre oeuvre en ligne et d'enregistrer des séquences sonores pour en faire la présentation.

      Un site qui permet aussi de découvrir d'autres écrivains au talent encore inconnu, de discuter avec eux et de leur donner conseils et (ou) appréciations.

      www.webiscdpt.com

      Devenez critique

      Espace ouvert et convivial, critiques libres.com permet à tous les passionnés de lecture et d'écriture francophones d'exprimer leurs coups de cœur ou humeurs littéraires. Dernier salon où l'on cause, le site compte plus de 3 500 critiques et une interview d'auteur par semaine.

      En cas de " critique éclair ", l'internaute " critiqueur " se voit récompensé par des livres. Polars, poésie, BD, romans contemporains... Il existe des lieux d'expression pour tous les genres littéraires. www.critiqueslibres.com

      Publiez votre livre

      Un de vos amis a écrit un roman ?

      Votre grand’mère a immortalisé l'histoire familiale ?

      Votre fille veut publier son mémoire d'études ?

      Bookpole.com s'en charge. Service d'auto édition, ce site aide tous les auteurs à concrétiser leur rêve.

      A partir de 150euros pour la formule classique, il décline cinq types de forfaits allant de quelques options au choix de l'auteur jusqu'à la personnalisation complète de l'ouvrage.

      L'auteur garde ses droits sur son oeuvre, ne finance pas de stock (seules les quantités demandées sont éditées), décide du mode de diffusion (limité au cercle familial, étendu au grand public, vendu sur le site listé dans les bases de données des libraires) et touche de 10 % à 15 % du prix de vente hors taxes de son ouvrage.

      www.bookpole.com

      Delphine de Mallevoüe

       

      Dans la nuit du 24 au 25 août dernier, 52 permis de conduire ont été retirés sur-le-champ a des automobilistes en état d'ivresse ou bien roulant à vive allure, lors d'une opération de contrôle effectuée par la gendarmerie et la police de l'Hérault. Une saisie " coup de poing " qui marque la volonté du gouvernement Raffarin de durcir le ton en matière de sécurité routière. La tolérance d'alcoolémie zéro n'est peut-être pas si loin. L'occasion pour nous de lever le voile sur un certain nombre d'idées préconçues.

      Un taux variable !

      En principe, chaque verre absorbé fait monter l'alcoolémie de 0,15 à 0,20 g d'alcool par litre de sang. Mais en réalité, le taux d'alcool dans le sang peut varier d'une personne à l'autre. En effet, l'alcoolémie s'établit selon trois paramètres : la quantité d'alcool absorbée, le poids de la personne et le coefficient de dilution (rapport entre la masse liquide contenue dans l'organisme et le poids total).

      Ce coefficient est de 70 % pour les hommes et de 60 % pour les femmes. Ainsi, à poids égal et pour une même quantité d'alcool, les hommes affichent une alcoolémie inférieure à celle des femmes. II en va de même pour les jeunes et les personnes âgées, qui risquent à chaque verre de faire monter leur alcoolémie jusqu'à 0,30 g/I. Difficile donc de savoir si l'on est en infraction après trois verres. La solution est simple.

      Buvez, éliminez ?

      Ne croyez pas que quelques dizaines de minutes suffisent à faire tomber le taux d'alcool dans le sang ! C'est le foie qui prend en charge l'essentiel de l'élimination de l'alcool ; le reste est évacué par la respiration, la transpiration et les reins.

      Sachez que le foie ne peut éliminer plus de 2,4 g d'alcool par litre de sang par jour en moyenne et que rien ne peut accélérer son travail: ni l'exercice physique, ni l'absorption d'aliments ou de médicaments.

      Seul le temps permet de faire baisser l'alcoolémie et la capacité d'élimination varie d'un individu à l'autre.

      A la fin d'un repas de deux heures au cours duquel vous avez bu un apéritif et quatre verres de vin, votre alcoolémie est à 0,8 g/I. II vous faudra patienter 2 à 3 heures pour être au seuil de 0,5 g/I. Et 7 heures pour revenir au " niveau 0 "

      Ainsi, si vous avez eu le coude un peu léger, sachez vous montrer patient avant de prendre votre voiture.

      Sachez enfin que l'eau n'élimine pas non plus l'alcool. Si vous avez trop bu, rien ne sert de boire des litres d'eau, ni même du café salé, une cuillère à soupe d'huile ou tout autre remède de grand’mère.

      Quoi qu'il en soit, la dangerosité du mélange alcool-conduite n'est plus à prouver et ses méfaits sont bien connus. Reste à s'attaquer aussi sévèrement à la drogue, et les chiffres, certes insuffisants mais encourageants de juillet dernier (baisse du nombre de tués de 12 % par rapport à juillet 2001), continueront peut-être leur régression au fil des semaines.

      Pierre Suze

      AUTOMOBILE, immatriculation les plaques font leur numéros.

      La carte d'identité la plus immédiate d'un véhicule est sa plaque d’immatriculation. Pour nous, civils, elle donne pour seule indication le dépar-tement d'origine de l'auto ; mais pour les forces de police et de gendarmerie, c'est le moyen de connaître instantanément le nom et l'adresse de son propriétaire. Aussi, la loi impose t-elle certaines contraintes quant aux caractéristiques de ce mouchard.

      Finies les plaques à fond noir ! Depuis 1993, en France, elles sont blanches à l'avant et jaunes à l'arrière. Les voitures immatriculées avant cette date peuvent bien entendu conserver les anciennes plaques. Mais si vous achetez une voiture d'occasion, même construite avant 1993, il faudra passer au jaune. Seules deux conditions cumulées vous en exonèrent : que le véhicule ait plus de 25 ans et une carte grise collection (avec les limites que cela engendre !). Les dimensions, elles aussi, sont normalisées : 45 x 10 cm et 52 X 11 à cm (plus fréquent à l'arrière). Pour les 4 x 4, il est possible de faire inscrire les caractères sur deux lignes et format carré.

      Composez votre numéro !

      En principe, le numéro qui vous est attribué sort directement d'un ordinateur. II n'est donc pas question de choisir son immatriculation. Cela dit, certaines préfectures acceptent de " réserver " la combinaison qui vous fait plaisir. Les chiffres ronds (100, 1000, 2000...) sont très appréciés, de même que les numéros correspondant à des modèles existants (911 pour Porsche, 456 pour Ferrari.).

      II faut présenter une demande d'immatriculation complétée, datée et signée, une pièce d'identité et un justificatif de domicile. Pour les véhicules neufs, il faut en outre présenter le PV de réception du constructeur. Dans le cas d'une occasion, c'est un certificat d'immatriculation portant la mention " vendu le " et la signature de l'ancien propriétaire qui vous sera demandé, ainsi que le certificat de vente (carte grise barrée), un contrôle technique de moins de six mois (à la charge de l'ancien propriétaire, légalement) et un certificat de non gage si le véhicule doit changer de département.

      La distribution en France

      En France, contrairement à certains pays dans lesquels c'est l'Administration qui s'occupe de fournir les plaques, la fabrication est laissée entièrement au secteur privé. Ainsi, garages, centres autos, spécialistes et parfois cordonniers ou serruriers vendent des plaques. Jérôme, directeur de La Malle pour tous, magasin spécialisé avenue de la Grande-Armée à Paris, explique que les demandes sont parfois farfelues :

      " Un jour, un client m'a demandé une plaque noire pour l'avant et une jaune pour l'arrière ".

      Mais d'une manière générale, les professionnels sauront vous mettre en garde si vous enfreignez la loi.

      Plusieurs modèles sont généralement disponibles : les plus simples et les moins chères sont en aluminium (environ 28€ la paire). On monte un peu en gamme avec les Plexiglas mais elles sont plus fragiles, le haut de gamme étant les plaques dont les numéros sont en relief (comptez 100€ la paire).

      Par ailleurs, il est possible, malgré la réglementation de moins en moins souple, d'acheter des plaques " non homologuées " chez presque tous les distributeurs. Tant que les numéros. sont bien lisibles et qu'il ne s'agit pas de plaques " antiradar ", vous ne risquez guère plus qu'une petite amende.

       

       

      Des infos sur le Net

      Pour absolument tout savoir sur les plaques, connectez vous sur :

      http://sfpi.asurtech.com/plaques.htm

      Vous y découvrirez toutes sortes d'anecdotes et de statistiques : saviez vous par exemple que les lettres I et O sont absentes des immatriculations à cause de la confusion possible avec les chiffres 1 et 0 ? Ou encore que toutes les séries à 2 lettres ont jusqu'à 4 chiffres et les séries à 3 lettres ont jusqu'à 3 chiffres ? Que les numéros commencent à 11 et qu'ils ont 8 caractères au total ?

      pierre suze

      AUTOMOBILE, stations-service ou hypermarchés: l'essence en éveil

      Plus de 50 millions de mètres cubes de carburant sont distribués chaque année en France. En tant qu'automobilistes, nous avons le choix entre les distributeurs de marque (Total, Elf, Shell, BP.) et les hypermarchés. La différence la plus évidente entre ces deux réseaux est le prix, légèrement inférieur en .grande surface (entre 0,04 et 0,05 centime d'euro par litre). Mais y en a-t-il une autre ?

      L'additif, c'est là le raffinement !

      Dès qu'ils sortent de la raffinerie, les carburants ne subissent pas le même sort selon qu'ils sont destinés à être distribués en grande surface ou au contraire sous l'enseigne d'un pétrolier. En effet, pour ces derniers, les carburants sont additivés au moment du chargement des camions. Les produits du raffinage ne pouvant pas d'emblée répondre à toutes les spécifications exigées par les distributeurs de marque, un additif est ajouté pour améliorer telle propriété ou corriger tel défaut. Fortement concentrés, les additifs sont extrêmement efficaces malgré leur faible dosage : 1 litre suffit à traiter 1000 litres d'essence. Voici donc une première différence de taille qui saura se faire ressentir lors de l'utilisation, notamment en évitant l'encrassement des injecteurs ou des carburateurs.

      A noter qu'un additif supporte les mêmes taxes que le carburant (TIPP), ce qui justifie d'ores et déjà un écart de prix.

      Performances, attention à l'alternance

      Nous l'avons compris, les distributeurs de marque prennent une longueur d'avance sur les hypermarchés avec les additifs. Mais entre un BP et un Total, y a-t-il une différence ? Oui, car il existe plusieurs familles d'additifs, et chaque marque décide librement de son dosage. Certains sont détergents, d'autres améliorent la combustion, l'indice d'octane, d'autres encore sont anticorrosion. Toutefois, les propriétés de ces produits sont plus préventives que curatives. Aussi, lorsque l'on vous conseille d'alterner entre station de marque et supermarché, c'est vous faire prendre un risque, surtout sur les Diesel qui sont fragiles et qui supportent difficilement une qualité médiocre, même de manière occasionnelle.

      Des cuves mieux contrôlées

      La plus-value apportée par les distributeurs de marque ne s'arrête pas à l'ajout d'un additif. Ces derniers s'astreignent en effet à un certain nombre de précautions en station : les cuves étant enterrées, elles risquent, à terme, de se charger d'eau, dans la mesure où elles " respirent " en fonction de la température du sol. Aussi, chez les pétroliers, des tests sont effectués régulièrement. Les vérifications se font soit à l'aide d'un détecteur automatique, soit manuellement, à l'aide d'une pâte à eau qui change de couleur lorsque le test est positif. Si la présence d'eau est constatée, la cuve est alors purgée. André Duval, responsable chez Total Fina ELF, explique que les exploitants de la marque ont des consignes strictes : " La cuve est purgée dès lors que l'on constate plus de un centimètre d'eau au fond de la cuve >, autant dire très peu puisqu'elles sont concaves. La crépine d'aspiration se trouvant, elle, à 7 cm du fond, tout danger est écarté.

      Autre précaution chez ce distributeur : lorsqu'un camion vient de décharger, on attend systématiquement 2 heures avant de servir le client, afin que toute impureté soit stabilisée au fond de la cuve.

      Le jeu n'en vaut-il pas la chandelle ?

      Lexique

      Additif: produit chimique incorporé aux carburants et aux lubrifiants pour en améliorer certaines caractéristiques, dont notamment l'indice d'octane des essences, le pont de congélation pour le gazole, la détergence.

      Indice d'octane : c'est l'indice mesurant la résistance à l'auto inflammation des carburants à l'origine des " ratés " des moteurs.

      Raffinage : ensemble des opérations nécessaires pour obtenir à partir du pétrole brut toute la gamme des produits pétroliers, dans les proportions et avec les qualités souhaitées : propane, butane, essences automobiles, carburéacteurs, gazole, fiouls, lubrifiants, bitumes...

      RON (indice d'octane recherché) indice d'octane qui caractérise la résistance d'un carburant aux cliquetis dans des conditions d'accélération ou de bas régime moteur. Sa valeur est réglementée pour toutes les essences.

      Pierre Suze

      AUTOMOBILE, la garantie mécanique une soupape de sécurité

      La garantie mécanique fait désormais partie des arguments clés lors de la mise en marché d'un véhicule. Gage de fiabilité, c'est la réputation entière d'une marque qui peut s'en trouver changée: tel fut le cas chez Jaguar, dans les années quatre-vingt-dix, lorsque le félin commença à assurer ses autos trois ans ou 100 000 kilomètres. Quelle barrière reste-t-il alors pour franchir le pas ? Forts de ce constat, les compagnies d'assurance ont élaboré une garantie équivalente pour les voitures d'occasion. Aussi, les transactions se font-elles de manière plus sereine... à juste titre ?

      La garantie du neuf

      La garantie des voitures neuves permet-elle réellement de dormir sur ses deux oreilles ? En réalité, tout dépend de la teneur du contrat. Certaines exclusions peuvent laisser un goût amer une fois l'incident survenu, comme, par exemple: " La garantie ne joue pas en cas d'usage d'un véhicule par un conducteur inexpérimenté ou non qualifié ou si les avaries résultent d'une utilisation anormale. " Autre problème, les garages rechignent parfois à prendre en charge une auto sous garantie. Pourquoi ?

      Lorsque c'est au constructeur de payer la réparation et les pièces, la marge du garagiste fond comme neige au soleil : d'une part la pièce n'est pas vendue au même tarif que pour le public, d'autre part, les taux de main-d’œuvre ne sont pas non plus remboursés à la valeur affichée pour les consommateurs.

      En dehors de cela, la garantie mécanique sur les véhicules neufs reste un atout de taille au moment de l'achat (tous les véhicules sont garantis, mais pas toujours dans des conditions identiques).

      Une occasion en or !

      Oui, il est désormais possible d'acheter un véhicule d'occasion sans craindre de voir son investissement partir en fumée après quelques tours de roues: il suffit pour cela de se porter acquéreur d'une voiture garantie par le propriétaire vendeur. Gage de fiabilité pour l'un comme pour l'autre des contractants, la "  garantie mécanique " est simple d'accès et couvre les frais de réparation, pièces et main-d’œuvre.

      Elle est en principe valable pour tous les véhicules, sans limite d'âge ni plafond kilométrique et sans inspection préalable. En cas de pépin, les réparations sont effectuées après accord de l'expert et la facture est directement transmise à la compagnie qui s'est portée garante.

      Tout va donc pour le mieux dans le meilleur de mondes. Reste quand même à vérifier Ie contenu des contrats, comme pour le neuf afin d'éviter les mauvaises surprises. Première question à se poser: quelles sont les pièce couvertes par la garantie contractuelle Généralement, les défauts découlant d'un mauvais entretien du véhicule ne sont pas pris en charge. Sont également exclus le accidents de la circulation, les panne connues avant la souscription et l'usure normale. Un véhicule de remplacement a-t-il été prévu en cas d'immobilisation de votre auto Si oui, assurez-vous que ce n'est pas " dans Ia limite des disponibilités locales".

      Regardez également s'il n'y a pas une limite territoriale à l'application de la garantie, ni une franchise trop élevée. II n'est pas nécessaire de prévoir une transaction pour garant son véhicule contre les pannes ou les incidents mécaniques. Il est tout à fait possible de se sécuriser en optant pour une garantie mécanique sur un véhicule d'occasion qu l'on souhaite conserver.

      Plusieurs durées vous sont proposées et souvent plusieurs niveaux de garantie, en fonction des caractéristiques de votre auto.

      Pierre Suze

       

      Moneo " La puce ou la vie "

      Le 6 novembre, Moneo a fait son apparition en région parisienne. Moneo, c'est un nouveau moyen de paiement, communément appelé " porte-monnaie électronique ", qui a pour but de permettre le règlement de petites transactions, comme l'achat d'une baguette, d'un paquet de cigarettes ou d'un disque, sans avoir à faire l'échange de pièces ou à trouver l'appoint (le montant moyen d'un paiement Moneo est de 4 euros). Voyons de plus près à quoi ressemble cette " bourse " du futur.

      Le principe de Moneo est assez simple :

      • une carte à puce pour l'utilisateur et
      • un terminal de paiement électronique pour le commerçant qu'il peut également utiliser pour les règlements par carte bancaire.

      A la différence de cette dernière, la carte Moneo ne nécessite pas la saisie d'un code confidentiel lors du paiement :

      • le commerçant saisit et valide le montant à payer sur son terminal de paiement.
      • Le client introduit sa carte et valide l'opération.

      Depuis décembre 2001, le service Moneo est inclus sur la plupart des cartes bancaires qui se créent. Celles-ci servent à la fois de carte de paiement et de porte-monnaie, mais de manière dissociée. Pour que le porte-monnaie fonctionne, il faut charger la carte sur une borne (on en trouve dans les agences bancaires et dans les grands bureaux de poste), en sélectionnant le montant que l'on veut approvisionner, le plafond étant de 100 €. II est également possible d'effectuer un rechargement express chez les commerçants, jusqu'à 30 €, dès lors qu'il reste moins de 10 € sur la carte. Pour savoir si votre carte bancaire est dotée de la fonction " Moneo ", il suffit de regarder au verso si elle comporte le logo Moneo.

      Pourquoi un tel système

      L'objectif annoncé est d'offrir aux utilisateurs la possibilité d'avoir toujours l'appoint (normal puisque l'on prélève un montant donné sur une carte !)chez les commerçants, aux distributeurs automatiques de boissons, sur les horodateurs pour le stationnement. Ce service trouve toute son utilité pour le règlement de petites sommes, lorsque le paiement nécessite de la petite monnaie.

      D'ailleurs, la carte Moneo ne permet pas de régler des montants supérieurs à 30 €. Si ce principe connaît un succès suffisant, il devrait s'étendre aux caisses automatiques dans les laveries, sur les photo-copieuses (où l'on n'a, il faut l'avouer, jamais la pièce qui convient). II sera possible également d'associer Moneo et certains services d'abonnement comme par exemple les cartes de transport...

      Plus besoin alors d'insérer de coupon dans une fente du tourniquet pour ouvrir une barrière, le contrôle est instantané : il suffit de présenter sa carte sur les valideurs équipés.

      Depuis décembre 2001, le service Moneo est inclus dans la plupart des cartes bancaires

      Une invention révolutionnaire ?

      Peut-on dire qu'il s'agit d'une invention révolutionnaire ? D'abord, il s'agit d'un service payant. De plus, ce système n'incite pas à faire des économies dans la mesure où l'argent dépensé n'est plus " palpable ". Par ailleurs, tous les services qui lui sont ou qui lui seront associés ne permettent plus aucune transparence dans le mode de vie de chacun. L'argent liquide a au moins pour mérite de ne pas laisser de traces de manière systématique. La carte, elle, ne fait qu'ajouter un mouchard dans votre vie privée. Et puis, la monnaie sonnante et trébuchante a son charme, ne serait-ce que pour glisser une petite pièce sous l'oreiller de votre chérubin lorsqu'il a perdu sa première dent de lait, ou pour récompenser celui qui a eu 10/10 en orthographe (car si l'on ne parle pas encore de la suppression totale des pièces, cela sera un jour ou l'autre d'actualité). Bref, c'est sur la durée que nous verrons l'utilité réelle d'un tel système.

      Pierre Suze

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

      Rubrique : CYBERESPACE.

      Informations diverses.

      Téléphone sous la dent

      James Auger et Jimmy Loizeau, deux ingénieurs britanniques, ont mis au point un prototype de téléphone miniature capable de se loger dans une molaire. L'appareil est composé d'un minivibreur et d'un récepteur d'ondes radio. Il ne dispose pas encore de microprocesseur. Les deux chercheurs planchent désormais sur leur projet au Media Lab de Dublin.

      Moneo à Paris

      Moneo, le porte-monnaie électronique, déjà testé dans plusieurs régions, va faire son apparition chez les commerçants parisiens à partir du 6 novembre. Intégré sur une carte bancaire ou sur une carte dédiée, il ne permet de régler que les achats inférieurs à 30 euros.

      Manœuvres

      L'éditeur français Cryo vient d'être sauvé de justesse de la faillite. Ses actifs ont été rachetés par le canadien Ontario. Le repreneur n'est autre que Richard Wahkan, ancien président de DreamCatcher, la filiale américaine de Cryo.

      La parole est d'or

      La société Technium GPS vient de présenter un nouveau système de radioguidage automobile par GPS qui fonctionne à la voix. Le conducteur n'a qu'à dicter sa destination pour que le système lui réponde par synthèse vocale. Facile à installer, la commercialisation est prévue à partir de Noël prochain au prix de 1.100 euros.

      Gamme thématique

      Fujitsu Siemens Computers commercialisera, à partir de la mi-novembre, la gamme " Thémas " : quatre ordinateurs spécialement étudiés pour les fans de jeu, de photo, de musique et de vidéo.

      " Koh Lanta " aux manettes ?

      Pour leur examen d'entrée à Supinfogame, la première école de jeux vidéo française, qui vient d'ouvrir ses portes à Valenciennes, les élèves ont dû plancher sur un scénario de jeu s'inspirant de l'émission de télé-réalité " Koh Lanta ". Sébastien Doumic, le responsable pédagogique de Supinfogame, se dit agréablement surpris. " Ils ont fait preuve d'imagination pratique, exploitable et applicable immédiatement. " A suivre...

      " Wavebird "

      C'est le nom de la première manette de jeu sans fil pour Gamecube, qui sera lancée le 22 novembre. Elle coûte 49 euros et permet de jouer à plus de six mètres de la console. Catherine Deneuve l'a testée, début octobre, lors d'une présentation. Il paraît qu'elle s'en est très bien sortie.

      Dans les tuyaux

      " Shadowbane ", " Neocron " et " Myst Online " sont trois jeux en ligne qui devraient être lancés début 2003. Le premier innove en offrant aux joueurs la possibilité de construire des villes et de conquérir des territoires. Le deuxième se déroulera dans un univers cyberpunk. Enfin, le troisième reprendra tous les ingrédients qui ont fait le succès de " Myst ", un jeu édité par UbiSoft.

      Peur sur la ville

      Mathieu Castelli, président fondateur de Newtgames, lancera en juin 2003, à Paris, " Kigen ", un jeu sur téléphone mobile qui utilise la ville comme terrain de jeu. Chaque joueur reçoit des missions pour découvrir des quartiers inconnus, le but étant d'étendre la zone d'influence de son équipe.

      Wargames impériaux

      Parmi les projets sélectionnés pour la biennale Napoléon figurent les championnats du monde des jeux de guerre et de stratégie d'entreprise pour les managers. Les dates de ces événements ne sont pas encore fixées.

      www.tutytam.org/biennale

      Motorola comble son retard

      Après Samsung, Ericsson et Nokia, Motorola lancera, à partir du mois d'octobre, deux téléphones à écran couleur: le T720 et le T720i. Ce dernier sera doté d'un appareil photo numérique.

      Vu sur le PDA

      Les chercheurs de France Télécom viennent de concevoir un logiciel qui transforme tout assistant personnel équipé d'une mini caméra en terminal mobile de visiophonie.

      Destination cosmos

      Le Futuroscope chouchoute les seniors. Un petit train sillonne désormais les allées du parc technologique. Mais il en faudra certainement plus pour relancer l'intérêt d'un site qui a perdu, depuis 1995, 1 million de visiteurs.

      PS3 ?

      On ne connaît ni la forme ni la couleur de la future console de jeux japonaise. Tout ce que l'on peut dire, c'est qu'IBM et Sony se sont alliés pour construire la puce de la future PS3, qui ne devrait pas sortir avant 2005 au Japon.

      3en1

      Packard Bell déjoue la concurrence en offrant un petit produit atypique, à la fois lecteur de musique au format MP3, lecteur de carte SD et MMC et lecteur de sauvegarde amovible. Utile pour transférer et stocker ses données. Avec ses 32 Mo intégrés, l'Audio Key peut voir sa mémoire grimper à 528 Mo. Il sera vendu 130 euros début octobre.

      Mieux et moins cher

      Nouveau boîtier, nouveau film. La Fnac vient de changer les appareils photo jetables vendus sous sa marque. Toujours fidèle à Konica, numéro un du secteur, le distributeur vient d'adopter le Neo, une des meilleures ventes du moment grâce à sa très belle lentille et à son film Centuria 400 Iso récemment primé. Un des meilleurs rapports qualité prix du marché.

      Très, très haut de gamme

      Leica vient de présenter le R9, son nouveau boîtier reflex argentique. Cet appareil est résolument réservé aux pros qui prennent leur temps. En effet, il ne dispose toujours pas d'autofocus ou de moteur de série. Il devrait coûter la bagatelle de 2.400 euros !

      Sans frottement

      Pour numériser plus vite les photos, HP vient d'installer un système de coussin d'air sur son scanner 5500c. Les clichés glissent ainsi rapidement sur la vitre sans se rayer. Avec ce procédé, le constructeur affirme qu'il ne faut pas plus de quatre minutes pour numériser 24 photos au format 10 x 15. L'appareil coûte 369 euros.

      Toujours plus petit

      C'est en janvier 2003 que Sony distribuera en France la version 2 millions de pixels du U-10, l'un des plus petits appareils photo numériques du marché. Cet appareil destiné aux femmes actives (!) devrait être vendu entre 400 et 450 euros.

      Enfin prêt

      Sigma, le fabricant d'optiques et d'appareils photo, vient enfin de révéler le prix du SD9, le premier appareil reflex numérique à utiliser le capteur révolutionnaire Foveon. Il sera dans les linéaires dès la fin octobre pour environ 2.200 euros.

      C’est nouveau.

       

      Mini messages vocaux

      Les abonnés à Orange peuvent désormais envoyer des mini messages depuis leur mobile vers un fixe. Principe: le téléphone sonne, le destinataire décroche et le mini message lui est délivré vocalement. Ce service facturé au prix d'un SMS (0,30 euro) préfigure les prochaines offres de France Télécom qui permettront de recevoir et d'envoyer des textos sur l'écran des téléphones fixes.

      Film de synthèse

      La production du très attendu film de long-métrage en 3D " Kaena la prophétie", avance à grands pas depuis la reprise du projet par Xilam, société française spécialisée dans l'animation haut de gamme (" Oggy et les cafards", " Les zinzins de l'espace"). La sortie en salles est prévue en avril 2003.

      Concours de création

      Les artistes en herbe ont jusqu'à la fin du mois pour participer au concours de création numérique lancé par Toshiba. Il s'agit de retranscrire te thème du nomadisme dans quatre disciplines: peinture, musique, sculpture et design. Gains possibles: des ordinateurs portables, des appareils photo ou encore des voyages. www.toshiba.fr/jeunescréateurs

      Dell dans le PDA

      Dell Computer s'intéresse aux assistants personnels. Le géant texan lancera très prochainement, aux Etats-Unis, son premier modèle de PDA à la norme pocket PC (Microsoft). La date de sortie n'est pas encore fixée.

      Deep Blue au musée

      Le Superordinateur qui défia, il y a cinq ans, le champion du monde d'échecs Kasparov va finir sa carrière dans l'un des musées du Smithsonian Institute de Washington. Il est vrai que sa technologie est aujourd'hui largement dépassée.

      Le boom des écrans plats

      Selon le cabinet d'études américain DisplaySearch, les ventes de moniteurs informatiques plats devraient augmenter à un rythme annuel moyen de 49% entre 2001 et 2006. A l'inverse, celles des moniteurs cathodiques devraient chuter de 24% par an sur la même période.

      37,8 millions

      C'est le nombre d'abonnés français au téléphone mobile. Un chiffre en baisse de 0,1% par rapport à juin dernier, selon la dernière étude publiée par l'ART.

      Téléphone en couleur

      Doté d'un écran couleur, le Fisio 825 est un téléphone GPRS compact qui permet notamment de télécharger des jeux ou des images. II dispose d'un kit piéton sans fil Bluetooth.

      Fisio 825, Philips, 280 €.

      Casque sans fil

      Le micro-casque M1000 fonctionne sans fil avec la technologie Bluetooth et est compatible avec les téléphones intégrant cette norme. II permet d'activer les appels par la voix, même lorsque le téléphone se trouve dans une poche.

      M1000, Plantronics, 195 €.

      Home Cinema Compact

      Toshiba propose une chaîne Home Cinéma composée d'un lecteur de DVD, d'un tuner radio, d'un amplificateur Dolby Digital, Pro-Logic et DTS (6 x 35 W), de cinq enceintes et d'un caisson de basse. SD-42HK. Toshiba. 549 €.

      Petite souris

      Dédiée aux utilisateurs d'ordinateurs portables, Notebook Optical Mouse est une minisouris optique très légère et compacte. Elle dispose d’une molette de défilement et de trois boutons programmables. Elle se connecte sur un port USB.

      Notebook Optical Mouse, Microsoft, PC et Mac, 35 €.

       

       

       

      Connexion facile

      La carte GC 75 est, en fait, un modem qui fonctionne à la norme GPRS et permet une connexion facile à Internet depuis son ordinateur portable (après avoir souscrit l'abonnement adéquat auprès d'un opérateur).

      Elle permet d'atteindre une vitesse de connexion de 57,6 Kbps, c'est-à-dire la vitesse d'une ligne téléphonique filaire classique.

      GC 75, Sony Ericsson, 350 €.

       

       

       

       

       

       

       

      Un son doux

      Midnight Blue 5035, voilà le nom du nouveau téléphone sans fil Dect de Doro Matra. Recouvert d'une nouvelle matière douce au toucher, à l'aspect soyeux, il dispose d'une fonction main libre et de tous les avantages de la technologie numérique, dont une excellente qualité d'écoute.

      Midnight Blue 5035, Doro Matra, 94,90 €.

       

       

       

      Bâtisseurs

      Pour créer, aménager, visiter sa future maison, le logiciel FIoorPlan 3D sera d'une aide précieuse. Les maquettes réalisées sont précises et entièrement paramétrables, de la hauteur des murs à l'épaisseur des vitres. De nombreuses textures et objets en 3D sont disponibles pour l'ameublement.

      FIoorPlan 30, Mindscape, PC, 69,99€.

       

      A vos starting-blocks

      Conçu par Philips et Nike pour les sportifs, promeneurs et nomades en tout genre, ce lecteur audio MP3 portable est équipé d'un brassard à bandes velcro et d'un casque " tour de cou " qui garantissent une entière liberté de mouvement. Léger, compact mais aussi design, il est en outre doté de touches qui ne craignent ni la sueur ni la condensation. Côté performances et endurance, il permet de lire entre une heure et deux heures de musique et bénéficie d'une autonomie de plus de dix heures.

      Prix : 300 €

       

      La télé lumière d'ambiance

      Original, le " Halo Purple ", issu de la gamme Thomson Life est un téléviseur. phosphorescent ! Une fois éteint, il continue, grâce à sa matière spéciale, d'éclairer le salon pendant environ 20 minutes. Compact et nomade, avec sa poignée intégrée, il change de pièce selon les envies et les humeurs.

      D'une taille de 36 pouces, il existe également en coloris blanc et jaune et ne coûte que 229 €.

       

       

       

       

       

      Photo et vidéo

      Doté d'une résolution de 3,24 millions de pixels, le FinePix S304 dispose d'un zoom optique 6x, d'un écran de visée/contrôle de 3,8 cm et d'un emplacement pour carte amovible au format XD-Picture Card d'une capacité de 16 à 128 Mo. A noter la possibilité de l'utiliser comme une webcam.

      FinePix S304, Fujifilm, 649€.

       

       

       

       

       

      Caméléon

      Le One Touch 525 est un mobile GPRS destiné au grand public qui peut être personnalisé via 16 façades amovibles mais aussi avec un vaste choix de sonneries polyphoniques, icônes et autres animations d'écran. Compact et ergonomique, il offre six heures d'autonomie en conversation.

      One Touch 525, Alcatel, 199 €.

       

       

       

       

       

      Halte au virus !

      Une attaque de virus peut endommager votre ordinateur et vous faire perdre des données auxquelles vous tenez. Un antivirus s'avère indispensable, surtout si vous possédez une connexion Internet. VirusScan Home Edition s'occupe de protéger votre PC. En prime, il intègre un firewall pour stopper les attaques directes de pirates.

      VirusScan Home Edition 7.0, MacAfee, 49,90€.

       

       

       

      Le Panthéon

      pour

      Alexandre Dumas

      par Bruno de Cessole

       

       

      Le 26 mars de cette année - où la France célèbre le bicentenaire de la naissance de l'auteur du Comte de Monte-Cristo - Monsieur le Président de la République, vous apposiez votre signature sur le décret de transfert des cendres d'Alexandre Dumas au Panthéon. Par ce geste symbolique, affirmiez-vous, la République entendait rendre un solennel hommage " à l'un de ses enfants les plus turbulents et les plus talentueux, à l'un de ses génies les plus féconds, dont toute la vie fut au service de l'idéal républicain ".En ce jour mémorable du 30 novembre, peu avant l'anniversaire de sa mort, le 5 décembre 1870,Alexandre Dumas va donc rejoindre la glorieuse phalange des grands hommes qui ont bien mérité de la patrie. Il reposera aux côtés de ses pairs, Voltaire, Rousseau, Zola, Malraux, et, bien sûr, de cet autre héraut de la liberté, à qui, sa vie durant, le lia une indéfectible amitié: Victor Hugo.

      En 1872, alors que le corps de Dumas était porté du cimetière de Neuville, près de Dieppe, à celui de sa ville natale, Villers-Cotterêts, Victor Hugo écrivait à Dumas fils: " Votre père et moi avons été jeune ensemble. je l'aimais et il m'aimait. Il n'était pas moins haut par le cœur que par l'esprit. " Et de saluer en une page fameuse les qualités qui justifient le transfert - certes tardif, mais en France, les grandeurs d'établissement ont souvent l'esprit de l'escalier - d'Alexandre Dumas au Panthéon : " Aucune popularité en ce siècle n'a dépassé la sienne; ses succès sont mieux que des succès; ce sont des triomphes; ils ont l'éclat de la fanfare. Le nom d'Alexandre Dumas est plus que français, il est européen; il est plus qu'européen, il est universel. Son théâtre a été affiché dans le monde entier; ses romans ont été traduits dans toutes les langues. Dumas était un de ces hommes qu'on peut appeler les semeurs de la civilisation; il assainit et améliore les esprits par on ne sait quelle clarté gaie et forte; il féconde les âmes, les cerveaux, les intelligences; il crée la soif de lire; il creuse le génie humain et il l'ensemence. Ce qu'il sème, c'est l'idée française. L'idée française contient une quantité d'humanité telle que partout où elle pénètre, elle produit le progrès. De là l'immense popularité d'un écrivain qui séduit, fascine, intéresse, amuse, enseigne. De tous ses ouvrages, sort l'espèce de lumière propre à la France. " Et de conclure " Cet esprit était capable de tous les miracles, même de se léguer, même de se survivre. "

      Pourtant, peu avant sa mort, Dumas nourrissait des doutes sur l'accueil que la postérité réserverait à son oeuvre. N'oublions pas que ce géant des lettres a fini ses jours, ruiné, dans la solitude et l'indifférence de ses contemporains, et qu'à son ultime voyage, ils furent seulement une poignée à l'accompagner à sa demeure d'éternité. Je ne sais rien de plus triste, hors la mort de Porthos, que les dernières années du pauvre grand homme, échouant à terminer et à placer ses romans, et réduit à tirer des traites sur sa gloire passée lors de tournées de conférences où le public se rendait, comme au cirque, pour voir si le funambule garderait l'équilibre sur son fil.

      Au vrai, Dumas - malgré la conscience qu'il avait de sa valeur, ainsi qu'en témoigne sa lettre à Napoléon III,en 1864: "Il y avait en 1830, et il y a encore aujourd'hui, trois hommes à la tête de la littérature française, Victor Hugo, Lamartine et moi. J'ai écrit et publié douze cents volumes.(. ..) Quoique je sois le moins digne des trois, ils m'ont fart, dans les cinq parties du monde, le plus populaire des trois " - avait quelque raison de s'inquiéter, tant il fut, de toujours, honni des pions et des cuistres qui tranchent, dans les manuels de littérature, des récompenses posthumes à décerner à tel ou tel écrivain.

      Souvenons-nous, pour ne citer que le plus célèbre, du jugement fielleux de Sainte-Beuve. "Malgré tout son fracas, Alexandre Dumas n'est qu'un esprit de quatrième ordre. Car où classer un écrivain chez qui on est sûr de ne rencontrer jamais ni la pensée élevée, ni la pensée délicate, ni la pensée judicieuse. L'imagination que lui décernent si libéralement les présidents de cour d'assises et les badauds de salon, ne saurait être qu'une ébullition superficielle, une hâblerie courante et, si l'on veut, une prodigieuse dépense d'esprits animaux... " Continuons avec les vétilleux censeurs de la Revue des deux mondes, les duettistes laborieux Brunetière et Doumic. Dans les innombrables écrits de Dumas, pas une idée, pas même une conception de la vie, décrétait le premier, qui achevait son réquisitoire par cette sentence "hénaurme" " un enfant peut comprendre les Trois Mousquetaires et de combien de cuisinières Monte-Cristo a-t-il fait les délices? "; tandis que le second assénait comme un coup de grâce: " Si l’œuvre de Dumas tient une grande place dans l'histoire littéraire, elle n'en tient aucune dans la littérature."

      Eh quoi! La popularité d'une œuvre, son succès auprès des enfants, des cuisinières et des présidents de cour d'assises, seraient-ils d'impardonnables griefs, justiciables de l'ostracisme de son auteur, de cette mort sans phrases réservée par les doctes aux écrivains qui ont le malheur de plaire au grand public? Voilà où le bât blesse. Pour toute une part de la critique, le succès et la lisibilité d'un auteur ne sauraient être que déshonorants. Seules, la confidentialité et l'obscurité, la tour d'ivoire et l'aura de poète maudit, seraient la pierre de touche de l'écrivain authentique.

      De cette réputation de feuilletoniste industriel, voire de pilleur d'épaves littéraire, de bâcleur de copie, exploitant une chiourme de "nègres", de romancier superficiel, sans idées, sans style, et sans profondeur, le public - qui est le seul vrai juge - a fait justice. J'aimerais, ici, appeler à la barre le pendant britannique de Dumas, Robert Louis Stevenson, qui, à propos du Vicomte de Bragelonne, mais le jugement s'applique à l’œuvre entière, écrivait: " Quel autre roman offre pareille diversité épique pareille noblesse de l'aventure (...) Quel roman offre nature plus humaine ? Non point étudiée au microscope, mais vue en grand, dans la pleine lumière du jour, d'un regard naturel. Quel roman possède en qualité supérieure le bon sens, la gaieté et l'esprit, ainsi qu'une habileté littéraire inlassable, admirable (...) Aucun style n'est à tel point intraduisible; léger comme une crème fouettée; fort comme la soie; verbeux comme un conte de village; sec comme une dépêche de général; chargé de toutes les imperfections et pourtant jamais ennuyeux, et inimitable dans sa justesse. Quel roman, pour en finir avec les louanges, se nourrit d'une morale aussi peu forcée, aussi salubre? "

      Mais c'est assez parlé de l'écrivain. " Le plus puissant machiniste et le plus vivant dramaturge qui ait été depuis Shakespeare ", selon la formule de Michelet, n'a pas, n'a plus, comme nous venons de le montrer, à présenter ses lettres de créance à la République des lettres.

      Le Panthéon, comme vous l'avez rappelé, Monsieur le Président de la République, a pour mission d'honorer un grand homme et, plus particulièrement, un grand Français. Si les titres littéraires d'Alexandre Dumas sont immenses, que dire de ses titres d'homme et de français! Comme Hugo fut l'homme océan, Dumas fut l'homme volcan. Une force de la nature, rétif aux écoles et aux conformismes, indifférent à la morale et aux conventions, amoureux de la vie et convaincu que le bonheur est dans le plus grand développement de ses facultés, bourreau de travail et bourreau des cœurs, follement dépensier, de ses forces comme de ses deniers, mais aussi follement prodigue et généreux, vaniteux et hâbleur, mais aussi grand cœur et noble âme, n'aimant rien autant qu'admirer. En un mot, digne du vers de Térence qu'il tenait pour le plus beau qui ait été fait: " je suis homme, et rien de ce qui est humain ne m'est étranger. "

      En ce Prométhée bon enfant " qui avait fini par désarmer Jupiter et par mettre son vautour à la broche ", l'ancienne France et la France moderne, les fastes de la royauté et la jeune grandeur de la République, l'aristocratie et le peuple, la révolution et le principe des nationalités, le magistère de l'écrivain et le pouvoir de la presse, la cause de la liberté et celle de l'homme, se rencontrent et se mêlent comme deux fleuves.

      Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs, si vous le permettez, c'est à l'illustre mort qui va reposer dorénavant dans ce sanctuaire que je vais m'adresser.

      Cher Alexandre - vous qui n'aimiez les grands hommes qu'en robe de chambre et en pantoufles, et n'auriez point goûté, débonnaire et ennemi du protocole comme vous l'étiez, que l'on vous appelât Maître -,cher Alexandre donc, à l'instar de Napoléon, vous auriez pu vous exclamer " Quel roman que ma vie! "

      Et d'abord, quel étonnant méli-mélo que votre généalogie qui brasse les races et les classes, les gentilshommes normands et les esclaves noirs, les généraux de la République et le petit négoce, la France d'outre-mer et celle de la province. Comme votre père, le général Dumas, dit l’Horatius Coclès du Tyrol, vous vous êtes voulu le fils de vos œuvres, des mille deux cents volumes, pièces de théâtre, romans, récits de voyages, Mémoires, chroniques historiques, qui ont fait de vous le plus populaire des ambassadeurs du génie et de l'esprit de la France.

      Vous avez uni en vous les qualités, souvent contradictoires, de l'homme de lettres et de l'homme d'action, prodiguant sans compter votre énergie dans les voyages lointains et la chasse, les aventures féminines et la création de journaux, et votre idéalisme dans toutes les grandes causes du siècle, des révolutions de 1830 et de 1848 à l'indépendance de l'Italie.

      Vous avez incarné et célébré les vertus et les défauts traditionnels de notre peuple: le courage et l'amour du travail bien fait, la générosité et l'insouciance, la gaieté et la frivolité, le goût des armes et celui des lettres, l'esprit d'aventure et l'inclination au jeu, la passion de la gloire et le respect pour les causes perdues, l'ivresse de la liberté et le penchant au libertinage. Nul mieux que vous n'a exalté la fibre épique qui anime à travers les siècles l'éternelle geste de la France, et nul n'a su créer des héros qui soient à la fois aussi nationaux et aussi universels.

      Il est juste que pour tant de services rendus de votre vivant comme après votre mort, la patrie reconnaissante vous ouvre aujourd'hui les portes du Panthéon.

      Va, Alexandre, rejoindre, auprès de Voltaire et de Hugo, la cohorte des héros qui ont illuminé tant de vies de lecteurs: d'Artagnan et Edmond Dantès, Chicot et Ange Pitou, Constance Bonacieux et Mercédès de Mortcerf, Raoul de Bragelonne et le chevalier de Maison-Rouge, Kean et Antony...

      Et qu'importe, au bout du compte, le Panthéon, cette triste crypte où dorment, sous le marbre et la poussière, les loyaux serviteurs de la France, qu'en dépit du "devoir de mémoire" les enfants des écoles seraient bien incapables d'énumérer et de nommer... Depuis plus de cent trente ans, le coeur de générations de lecteurs est le seul et véritable tombeau du "grand vivant" que tu fus et que tu restes, pour les siècles des siècles. Et c'est ainsi, Alexandre, que tu es grand.

      L'ESPRIT DE BULL, quelques anecdotes, recueillies par A.Lesseur.

      Les anecdotes et historiettes ci-après ne prétendent qu'à rappeler l'esprit et l'atmosphère de "la Compagnie".

      (Suite des numéros précédents)

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

      43) Année 1957 :

      Le regretté Jean-Paul BOSS, alors conseiller scientifique au C.N.C.E. (Centre National de Calcul Electronique) au Siège de Bull, Avenue Gambetta à Paris, recevait un prospect pour la fourniture d’un calculateur.

      C’était l’époque du " Gamma-Tambour " et JP.BOSS expliquait le mode d’enregistrement des données sur le tambour magnétique. Une piste comportait 16 mémoires de 12 positions. En décimal flottant, on stockait deux nombres par mémoire, ce qui aurait logiquement dû faire 32 nombres par piste. Or, il se trouve qu’en fin de piste un drapeau était nécessaire, qui prenait un ou deux bits. Cette " petite faiblesse " entraînait une gêne pour l’utilisateur, ne laissant la possibilité de stocker 31 nombres en décimal flottant.

      Le prospect s’en étonnait et questionnait " Ah ! bon pourquoi 31 nombres et pas 32 ? ". JP.BOSS, avec calme, sérieux, et beaucoup de culot, répondit " parce que 31 est un nombre premier ". Et son interlocuteur de rétorquer à cette réponse sans aucun sens : " suis-je stupide, je n’y avait pas pensé ".

      44) Année 1968 :

      Lors d’une " Revue Produit " où l’on vérifiait les plannings de développement, Ginette DALMASSO, Ingénieur aux Études Hardware, eut à présenter l’avancement du développement en cours à l’époque. Le programme n’était malheureusement pas en avance, et Ginette devait expliquer un glissement de programme (" slip " in english) au représentant de GE dans la revue. Ce dernier s’exprima en franglais, affirmant : " Mademoiselle, tout serait OK, mais enlevez moi ce slip ". Sans commentaire

      45) Années 60 :

      Roger POITEVIN nous retrace les failles techniques des premières machines à café automatiques que nos astucieux ingénieurs et techniciens des Etudes de Gambetta ne manquaient pas de découvrir. Ces machines étaient très intéressantes, en effet pour ceux qui le savaient, il suffisait de retirer et remettre rapidement la prise de courant pour faire tomber un gobelet, que remplissait la machine, sans avoir a débourser un centime. Naturellement cette anomalie a vite été corrigée...

      Des " petits malins " avaient aussi mis au point un système très intéressant également : il suffisait de souder un fin fil de cuivre sur la tranche du jeton que l'on descendait dans la machine en " laissant un peu de mou " . La machine fonctionnait normalement. Il suffisait ensuite de récupérer son jeton en tirant doucement sur le fil. Cela marchait ! Il fallait y penser. Là encore la gratuité des cafés n'a été que de courte durée.

      46) Année 1956 :

      Stanislas KOMSA raconte une petite aventure arrivée à l’un de ses collègues, aujourd’hui disparu. Tous les techniciens embauchés à la Compagnie des Machines Bull dans le Service Entretien Ville (SEV, devenu plus tard SEC – Service Entretien Clients), avaient ainsi le titre d’ " Inspecteur de Ville ".

      Or, un jour où il circulait en voiture, ce collègue était passé à un feu orange " bien mûr " et s’était fait arrêter par un agent de police. Séquence classique : " vos papiers, s’il vous plait ". A cette époque, la profession figurait sur la carte grise, et le collègue de Stanislas, présentant carte grise et permis de conduire, eut la grande surprise de s’entendre dire : " Ah ! Vous faites partie de la maison ", et l’agent lui rendit ses papiers.

      Le collègue s’abstint de contredire l’agent, le laissant sur son idée, et pensant qu’on pouvait tirer un certain avantage d’être " Inspecteur de Ville ", à la Compagnie des Machines Bull.

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

       

      Alain LESSEUR

      Fin 2002, début 2003, c’est l’hiver.

       
       

       

      Nous qui sommes passionnés par les actions de la F.E.B., nous restons à votre écoute et. n’oublions pas au seuil de cette nouvelle année 2003 de vous présenter tous nos meilleurs vœux de bonne et heureuse année.

      Au revoir au prochain N° 42 en l’An 2003.

      Michel GUICHARD

       

       

      FEB-ACTUALITES 2, rue Galvani 91343 Massy Cedex

      Directeur de la Publication : Alain Lesseur

      Rédacteur en chef : Michel Guichard.

      Comité de rédaction/relecture : Alain Lesseur, Michel Guichard, François Holvoet-Vermaut, Monique Petit.

      Photocomposition : Michel Guichard

      Impression : SOS repro – 75017 Paris

      Tirage : 600 exemplaires.

      Ont participé à la rédaction de ce document : A.Lesseur, C.Gallard, E.G.Mueller, F.Holvoet-Vermaut, G.Natan, J.Bourboulon, J.Vidal, M.Boulay, N.Mauraisin, Marinette, M.Guichard, R.Bauvineau, Le groupe RER, des articles journalistiques.

       

      La Fédération des Équipes Bull est une association (loi de 1901) regroupant les amis de Bull dans des Clubs d’activités culturelles.

      Présidents d’Honneur : Bernard Capitant (U ), Dominique Pagel, Victor Thevenet (fondateur).

      Président : Alain Lesseur.

      Vice-Présidents : François Holvoet-Vermaut, Michel Guichard .

      Secrétaire Général : André Taillat. Secrétaire : Raymond Réglier.

      Trésorier Général : Marcel Couturier. Trésorier : Monique Petit.

      Assesseurs : Victor Thevenet, José Bourboulon.

      Bureaux : 2, rue Galvani 91343 MASSY CEDEX ; Tél./ Fax  : 01.69.93.90.40, Permanence le mardi ou sur RV.

      E-Mail : feb-paris@feb-histoire.com ; Site Web : http://www.feb-histoire.com