S
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Editorial. Nos trois sessions de septembre et octobre, dédiées à la
célébration du 30ème anniversaire de la ligne de produits GCOS 7,
ont rencontré un vif succès. Pas moins de 120 participants en moyenne, dont beaucoup nous ont
témoigné leur satisfaction. Tout d’abord un sentiment de fierté collective vis-à-vis de cette
réussite technique et commerciale s’est dégagée, mais au-delà de ce domaine
professionnel les « retrouvailles » d’anciens collègues ont représenté
un autre point fort de ces journées. Ces collègues sont en fait des amis qu’on a l’impression
« d’avoir quittés hier soir », même après dix ou quinze années de
séparation. Fierté partagée et amitié resteront ainsi dans nos mémoires. Pour ne pas être en reste avec le domaine affectif, nous avons
également eu l’honneur de voir côte à côte Jean-Pierre BRULÉ, le président de
Bull qui a signé en 1974 l’acte de naissance de cette prestigieuse ligne de
produits, et Gervais PELLISSIER, le président actuel de Bull qui veille aux
destinées futures de GCOS 7. Nous songeons à rééditer de telles manifestations historiques. Alain LESSEUR. JOYEUX NOËL 2004 |
La célébration du 30ème anniversaire de la ligne de
produits GCOS 7. |
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Rubriques Editorial. Le message du jour. José chez les Soviets. Groupe histoire. L’aventure Gamma
60. Les conférences
GCOS-7. Le colloque de
Rennes F.E.B.
club généalogie. Histoire de Tintin & Milou.
Ses livres.
Le dictionnaire. La
philatélie. Les
expositions F.E.B. Les autres expositions. F.E.B.B.
Belgique & Luxembourg. F.E.B.D.
Allemagne. Traduction par Alain Retrouvez
les échos de Télécommande multimédia. Le 3939. Haut débit rural. Firebox accroche Microsoft. Cyberespace. -C’est nouveau. Souvenir,… Historiettes. C’est
l’hiver. |
Pages 01 01 02 03 04 04 07 09 10 10 11 13 14 14 16 16 18 19 19 20 21 23 24 24 25 26 28 |
Notre
message : FEB-ACTUALITÉS N° 49
|
Nous avons besoin de vous, pour poursuivre
nos perspectives d’avenir. Pour les animations
des clubs à Paris comme en province, venez pour mettre en valeur ce que vous
savez faire. Vous avez des
atouts pour des projets ambitieux Merci
de votre confiance en nous lisant, c’est le plus beau cadeau que vous puissiez nous faire. |
José chez les SOVIETS.
III.
En 1972, j’étais
directeur commercial (ou plutôt directeur à tout faire, comme souvent dans les
petites boîtes) d’une petite société de service en informatique, une SSCI comme
on disait alors (maintenant on dit une SSII) dénommée SoGETI S.A., à la
création de laquelle j’avais participé dès l’origine, et dans laquelle j’étais
entré à mi-temps au mois de février 1968, partagé avec Pavailler, puis à temps
complet en août de la même année.
Nous
étions en bonnes relations avec
Comme je
n’avais pas conservé un très bon souvenir de Moscou, j’ai participé le moins
possible aux activités touristiques. J’ai quand même, pour la deuxième fois,
dormi et ronflé au Kremlin pendant le Lac des Cygnes. Mais j’ai préféré aller
aux séances officielles de présentation aux Soviétiques de la merveilleuse
Informatique Française, et j’en ai conservé deux ou trois souvenirs. D’abord,
tous les Français s’extasiaient du nombre d’auditeurs à nos conférences (SoGETI
n’a pas parlé), sans se rendre compte que c’étaient principalement des gens qui
venaient écouter du français, ils avaient souvent un seul écouteur, essayant,
comme moi mais dans l’autre sens, d’avoir en même temps l’original et
l’interprétation. Ensuite j’ai eu le privilège d’entendre dans son discours
André Barré, président de
Ensuite le
programme prévoyait vingt-quatre heures de dégagement à Léningrad : départ
le soir en train (le « train mou », mou à cause des pneus ?)
dans chaque voiture duquel une babouchka gère un grand samovar et vous sert du
thé à la demande, puis, le lendemain, visite de l’Ermitage, dans lequel il
faudrait rester une semaine au moins, et tour de Léningrad en car, avec
l’inévitable croiseur Aurore.
Pour
finir, veuillez contempler la photo de Jacques Stern en pleine visite de
l’Ermitage.
Nous
sommes ensuite rentrés en avion à Moscou, puis à Paris.
|
Jacques Stern en visite au
Musée de l’Ermitage |
CONCLUSION
De tous
mes séjours en Union Soviétique et des nombreuses discussions que j’avais eues,
j’avais retiré une certitude très forte : la réunification de l’Allemagne serait
pour eux un vrai casus belli. Et je me disais que l’Europe ne serait vraiment
l’Europe qu’à deux conditions : que l’empire soviétique disparaisse, et
que les Anglais soient obligés d’apprendre l’américain comme langue étrangère
pour aller aux Etats-Unis, après que les deux langues eussent beaucoup divergé.
Je mettais les deux évènements à la même échéance c’est-à-dire dans très
longtemps, et je me suis trompé : il n’y a pas eu de guerre pour
l’Allemagne, l’empire soviétique a disparu (merci Gorbatchev), et les Anglais
finissent par être européens.
FIN
Fin du
troisième épisode.José Bourboulon
Groupe Histoire.
L’AVENTURE
GAMMA 60
Des
nouvelles de « L’Aventure Gamma 60 », épisode n°3.
La phase
de collecte de la « documentation vivante », c’est-à-dire les
interviews, est maintenant terminée ; malheureusement, je n’ai pas pu
obtenir de rendez-vous avec Bernard Jeandidier. La phase de collecte des informations
archivistiques est très avancée ; ni les vacances, pendant lesquelles j’ai
pas mal travaillé, ni la fermeture pour désamiantage des Archives
Départementales de Bobigny où sont soigneusement rangées et classées les
archives de Bull ne m’ont retardé car j’avais accumulé un gros stock de données
que j’ai maintenant épuisé. Ce que nous avons déjà et qui est prêt à
l’impression représenterait aujourd’hui 238 pages et ce n’est pas fini :
l’éditeur ne veut pas plus de 250 pages, je lui en ai annoncé 280. L’objectif
est de respecter le prix de 35 € annoncé. Quant au délai, j’avais, en mars 2003,
demandé deux ans, et ce sera presque le cas.
Les
clients ou prospects déjà rédigés sont les suivants : AG Vie, EDF,
Péchiney, Au Printemps, SNCF (manque l’analyse du dossier Bull),
Georges
Vassallo a accepté, avec Robert Albaret, d’écrire quelques pages sur l’ambiance
à
A suivre,
José Bourboulon, le 22 novembre 2004.
Les conférences GCOS 7
Comme annoncé
dans notre dernier numéro, les 3 conférences sur GCOS 7 organisées à l’occasion
du 30ème anniversaire de ce système se sont déroulées suivant le
programme prévu et annoncé également dans notre dernier numéro, en présence
d’une assistance nombreuse et attentive.
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La prémière session était animée par Jean Pierre Brulé qui a présidé aux destinées de Honeywell Bull et de
CII-Honeywell Bull de 1970 à 1981, c'est à dire pendant les périodes les plus importantes
pour le projet, sa genèse et son développement, et qui l'a toujours soutenu
contre vents et marées.
Nous avons
entendu successivement
Pierre Davous, Directeur Technique de
Bull jusqu'en 1970, qui a vécu en direct tous les évènements souvent
dramatiques qui ont précédé et accompagné le démarrage du projet nous a
planté le décor. Marc Bourin, Directeur Général du projet
qu'il a mené avec une détermination sans faille, déjouant toutes les embûches,
et depuis sa genèse jusqu'a son plein épanouissement,
nous en a conté toutes les péripéties. |
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Gérard Louzier,
successivement directeur des développements logiciels et chef de la
ligne de produits DPS 7 nous a brossé la vie commerciale riche et complexe du
système. Enfin, Christian Goursaud, qui après d'importantes
activités de support chez Bull est aujourd'hui l'un des principaux
responsables de l'informatique du Ministère de l'Intérieur nous a montré que
le DPS 7 y a de très importantes applications et demeure inégalé en termes de
sécurité, de fiabilité et d'intégrité. |
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La deuxième session qui
présentait plus en détails les choix architecturaux et le logiciel était
animée par Claude Kaiser,
professeur au CNAM. Présentées par les principaux architectes du système, les
conférences étaient d'un haut niveau technique et nous ont fait
comprendre pourquoi ce système conçu il y a plus de 30 ans est encore
compétitif aujourd'hui. Nous avons entendu successivement : Jean Bellec, ancien responsable des développements de
GCOS |
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Claude Carré, ancien responsable de l'architecture
du système en a présenté les grandes lignes.. Jacques Printz, ancien chef du département
langages de GCOS 7 et aujourd'hui professeur au CNAM a présenté les
langages et les bases de données. |
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Claude Rolland a présenté successivement les communications et les
développements d'applications, dont il a été responsable sur GCOS 7. Enfin Daniel Poirson, qui a été responsable de
développements logiciels puis du Planning et Marketing GCOS |
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La troisième session a été
marquée par la remise au musée des Arts et Métiers d’un échantillonnage de la
technologie du DPS7 s'étendant sur plus de 25 ans. La
cérémonie a été ouverte par Gervais
Péllissier, président de Bull, qui a insisté sur l'importance que Bull -
en plein redressement - attache à la mise en valeur de son patrimoine,
sur lequel il s'appuie pour continuer sa progression dans l'excellence et
l'innovation, qui ont été les grandes caractéristiques de GCOS 7 qui toujours
bien vivant, entre aujourd'hui dans l'histoire. |
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Puis Michel Guillemet, directeur
des études, a procédé au don proprement dit et a très rapidement décrit les
grandes étapes technologiques qu'il matérialisait. Daniel Thoulouze, Directeur du musée a
répondu en indiquant sa satisfaction de voir entrer dans son musée un grand
témoignage de la technologie française et a insisté sur l'importance de la mission
qui est la sienne, en liaison avec tous les acteurs de la protection du
patrimoine de diffuser dans le public
et surtout dans la jeunesse une réelle culture scientifique. Il a conclu en
remerciant pour ce don qui entre dans le patrimoine national « pour
l’éternité » |
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Après la signature officielle des actes, les conférences
ont commencé, dirigées par Jacques Weber, ancien directeur de Nous
avons écouté successivement : |
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Michel Guillemet qui a fait toute sa
carrière dans GCOS 7 dont il est un des meilleurs architectes nous a montré les
évolutions de l'architecture des processeurs, sur plus de 20 ans, qui lui ont
permis de rester à la pointe du progrès jusqu'a nos jours.
Christian Joly, entré chez Bull comme
agent technique et sorti comme directeur général technique, a brossé leur évolution
dans l'innovation permanente et la rigueur, au niveau mondial : "
le soleil ne se couchait pas sur l'empire DPS 7". |
|
Jean Bellec, qui était déjà intervenu dans la
deuxième session, nous a fait deux exposés :
Les sous systèmes périphériques et
de communications, sans lesquels un système informatique n'est rien et dont le
nombre et la complexité sont impressionnants.
La coopération avec NEC qui a
toujours été un partenaire privilégié de Bull.
Daniel Poirson, que nous avons également déjà
entendu nous a montré comment les études de Bull ont su faire tourner GCOS 7
sur des processeurs standards, alliant ainsi leur rapport performance /
prix incomparable et ses qualités propres de sécurité et de disponibilité.
Enfin Xavier Stefani qui a occupé chez Bull
des postes de direction dans les études logicielles et matérielles et au
support, a rappelé dans un exposé chaleureux quelle grande aventure humaine a
été le développement de GCOS 7. |
|
Michel Guillemet a conclu en montrant quel
formidable creuset de compétence constitue cette équipe qui a permis entre
autres le développement d'un chip de 60 millions de transistors à la base d'un
serveur 64 bits à 32 processeurs Itanium (projet FAME / Novascale).
En conclusion :
On peut
dire que ces conférences ont été un indéniable succès et qu’elles constituent
non pas un aboutissement mais le commencement d’une grande œuvre.
D’abord un
très gros travail a été réalisé par les orateurs qui n’oubliont pas, ont été
les acteurs et les responsables du projet. Il convient donc de leur donner la
diffusion qu’ils méritent :
·
Rédaction et édition d’une monographie complète.
·
Rédaction d’une synthèse et de résumés pour diffusion
dans des revues spécialisées
·
Diffusion sur les sites web des organisations
concernées etc.
Mais
surtout il convient de recenser les sujets qui ont été négligés ou
incomplètement traités. En particulier :
·
Les applications et l’utilisation par les clients. Il
faut compléter le remarquable exposé de C. Goursault par quelques exemples de
clients importants ou typiques.
·
Les
réseaux. Les contrôleurs de communications ont bien été traités mais les
développements autour de DSA exemple de
réseau distribué ne l’ont pas été.
·
Les outils de développement du matériel (simulation,
placement, vérification) qui ont été utilisés de façon intensive et ont permis un développement
rapide et une bonne sécurité de fonctionnement dès la livraison.
Nous
faisons un appel pressant aux personnes intéressées par ces sujets (ou par
d’autres qui leur paraîtraient oubliés ou incomplètement traités) à nous
rejoindre dans cet important travail de mémoire.
Enfin,
nous tenons à remercier sincèrement :
-
Jean
Pierre Brulé, Claude Kaiser
et Jacques Weber qui ont animé les 3
sessions ainsi que tous les orateurs,
-
-
et le musée des Arts et Métiers, tout spécialement Daniel Thoulouze et Edith Deroche qui nous a apporté une
aide inestimable.
Le responsable des conférences GCOS 7 Daniel POIRSON.
Le colloque de Rennes
Comme
annoncé dans nos numéros précédents, le septième Colloque sur l'histoire de
l'informatique et des télécommunications s’est tenu suivant le programme prévu dans
nos numéros précédents. Rappelons qu’il était organisé par l'Ecole supérieure
d'application des transmissions, à l'occasion de l'inauguration de son Musée
des transmissions, en collaboration avec L'AHTI, l'AAMTAT,
l'IRISA/INRIA-Rennes, l'ACONIT, l'ARMORHISTEL,
|
|
Comme de
coutume
·
Participation au comité scientifique de Jean Bellec
qui a également fait une communication remarquée sur l’évolution des outils de l’ingénieur.
·
Prêt à l’exposi-tion temporaire de matériels liés aux
thèmes de l’exposition (Micral N, portable militaire, lecteur de cartes à
puce).
·
Mise en dépôt au musée de matériels
mécanographiques.(une Pelerod et une trad cc)
·
Importante participation des membres de
L’ensemble
des participants s’est plu à reconnaître la parfaite organisation, et la
qualité des exposés. J’ai quant à moi particulièrement apprécié la franchise
des exposés auxquels j’ai assisté, d’où toute langue de bois était exclue, et
l’atmosphère de sympathie et de mutuelle compréhension qui présidait aux
discussions.
Un regret
toutefois : la qualité de ce colloque méritait une audience plus large.
Nous avons un effort à faire pour améliorer la publicité faite à nos
manifestations.
Vous
trouverez ci-dessous les impressions de Jean Bellec.
A noter
également le lendemain du colloque l’inauguration solennelle du Musée des
Transmissions en présence de nombreuses personnalités, en particulier le maire
de Rennes et le chef d’état major de l’armée de terre.
F.
Holvoet-Vermaut
|
|
Ce
colloque s'est tenu dans les locaux neufs du musée des Transmissions (Espace
Ferrié à Cesson-Sévigné en banlieue Est de Rennes)
Ce musée sera
ouvert au grand public au début de l'an prochain et si nous n'en avons fait
qu'une visite rapide où la totalité des collections n'était pas installée, je
pense que ce musée technologique incorporant informatique et télécommunications
civiles et militaires méritent plus qu'une simple halte sur la route de vos
vacances en Breiz Izel.
Le contenu
du colloque m'a semblé en progrès sur les précédents auxquels j'ai assisté.
Certes le nombre de participants (42) est resté aussi modeste, distance oblige,
mais en ce qui concerne les présentations, leur qualité et probablement aussi
leur homogénéité est devenue plus grande. Il n'y a pas eu cette fois de
communications extra françaises, qui parfois étaient accueillies par politesse.
La
participation des anciens de Bull a été conforme à ce que j'estime être leur
poids dans l'histoire de l'informatique française, près du tiers des
participants, si j'y inclus les anciens actuellement dans d'autres entreprises.
La part
donnée à GCOS7 y a été moins importante que je l'aie espérée, probablement le
temps a manqué à Pierre Mounier Kuhn pour digérer avec le recul d'un historien
les infos délivrées dans les séances du CNAM. Cependant, on put noter que la
salle a apprécié la franchise des interventions de la mini table ronde et tant
les universitaires présents que les utilisateurs ont commencé à
reconnaître la valeur de GCOS, certains ont même regretté n'avoir pu
l'utiliser en temps utile comme base de leurs recherches.
Bretagne
et Musée des transmissions obligent, la part de l'histoire du CNET a pris une
part importante du colloque. La nostalgie du passé a été encore plus grande que
dans l'informatique. De nombreux pans de l'industrie des communications ayant
été cédé depuis la fin des années 1980, les régions de Lannion et de Rennes
ayant subi des contractions d'emploi importantes. Cependant, d'avoir essentiellement
la vue des ingénieurs lanionnais permet de saisir les difficultés de
On notera
une présentation par son fondateur André Michaud sur les débuts de Transac dans
les distributeurs bancaires et les terminaux lourds interactifs mais comme
intégrateurs de produits suédois ou américains (Incoterm). Il restera à mieux
décrire la phase où Transac a essayé de devenir un constructeur de minis
"me-too" et d'évaluer s'il y avait vraiment de bonnes raisons d'en
forcer l'intégration dans le groupe Bull en 1982.
Enfin un
ensemble de présentations sur la cryptographie, la virologie et la sécurité des
cartes à puces mériteront non seulement la lecture mais des réflexions que je
m'essaierai d'initialiser plus tard.
Jean Bellec
F.E.B. club GENEALOGIE.
Parution du
Hors-Série N° 4 de
|
700 SITES d'organismes ou de particuliers, présentés et décrits,
pour surfer malin. 120 LOGICIELS répertoriés et commentés, pour gérer les généalogies
et aussi pour les dépouillements. 140 CD-Rom cités qui regroupent une masse d'informations (bases
de données, calendriers, histoire, cartes de Cassini, cartes postales, etc…) 30 MINITEL proposant des services nationaux ou régionaux. On notera la nette augmentation
des sites au détriment du minitel. |
Cet ouvrage est consultable, lors
des permanences, à Massy.
Pour ceux qui n'ont pas cette
possibilité, nous en indiquons les références :
INFORMATIQUE, INTERNET, GENEALOGIE
3e édition – 2004
Format 170 x 220, 200 pages, 8 €
Revue Française de Généalogie
12 rue Raymond Poincaré, 55800
REVIGNY
Tél : 03 29 70 56 33
e-mail : rfg@martinmedia.fr et
Une enquête d'évaluation de 16 logiciels
de généalogie, vient de paraître.
Elle s'adresse en priorité à ceux
qui se préparent à acheter un nouveau logiciel.
On peut la trouver dans la revue
GE-MAGAZINE, N° 241, octobre 2004, elle est consultable à Massy, lors des
permanences, et aussi vendue en kiosques.
Jean VIDAL
Le
tour du monde en 24 albums :
Les
aventures de TINTIN et MILOU
TINTIN : L’oreille cassée.
1935 |
|
Le 5 décembre 1935, paraît dans Le Petit Vingtième, la sixième aventure
de Tintin. Avec L'Oreille cassée, Hergé
envoie son reporter en Amérique du Sud, à la recherche d'une statuette volée au
Musée ethnographique de Bruxelles. Pour la première fois, il fonde son récit
sur une idée de scénario. En apparence, cette aventure ressemble à une enquête
policière où le fétiche arumbaya joue le rôle du « Mac Guffin », comme dirait Hitchcock. Le philosophe Michel Serres
écrira à propos de cette intrigue basée sur une série de substitutions, qu'il «
en a plus appris sur le fétichisme que
chez Freud, Marx ou Auguste Comte, voire le président de Brosses ».
Sur le plan narratif, l'intrigue est échevelée. Une fois en Amérique latine,
Tintin se retrouve rapidement mêlé aux rixes révolutionnaires opposant le San
Theodoros au Nuevo Rico. Alors que jusqu'à présent Hergé avait nommé les pays
visités par Tintin, voici qu'il choisit de les camoufler. On peut cependant
reconnaître le conflit sanglant qui opposa
TINTIN : L’Ile noire.
1937 |
|
Début avril 1937, Hergé fait un court voyage à
Londres et visite la côte sud de l’Angleterre. Amusé par l'idée d'affubler
Tintin d'un kilt écossais, il envoie Tintin et Milou dans le Sussex à la poursuite
de faux-monnayeurs aux ordres d'un certain docteur Müller, espion infiltré à la
solde de
Quel dommage !
TINTIN : Le Sceptre
d’Ottokar.
1938 |
|
Pour Hergé, Le
Sceptre d'Ottokar est l'album de la maturité politique. L'intrigue commence
pourtant pianissimo par la découverte
d'une simple serviette sur le banc d'un parc bruxellois. De là, Tintin part
pour
Nous sommes en 1938. Le contexte de tension
politique est croissant, alors qu'Hitler vient de proclamer « l’Anschluss », l'annexion de
l'Autriche. Hergé le dit lui-même « L
histoire du Sceptre d'Ottokar est celle d'un « Anschluss avorté » ». Perfectionnant
sa méthode mise au point dans L'Oreille
cassée, il imagine deux nations condensées à partir de plusieurs pays des
Balkans,
C'est dans cet épisode que Tintin rencontre pour la
première fois Bianca Castafiore, le rossignol milanais qui lui chante L'air des bijoux du Faust de Gounod. Pour la transposition couleur en 1947, Edgar P
Jacobs, créateur de Blake et Mortimer, sera
chargé de « balkaniser » les décors. Hergé en profitera pour se
dessiner avec Jacobs en uniforme vert à brandebourgs or, dans la planche 59,
lors de la réception triomphale de Tintin par Muskar XII. La gloire !
A suivre avec : Victoire… ! Rackham
le rouge est liquidé»
Articles par Olivier Delcroix.
Dictionnaire
des personnages : Le petit Tintin illustré.
|
CONCIERGES Des concierges, à la rigueur des pipelettes ; à aucun prix
des gardiennes d'immeuble ou des techniciennes de surface : Mme Pinson pour
Tintin, Mme Pirotte pour le professeur Halambique, quelques autres plus
anonymes. Traits communs d'identification pour le portrait stéréotypé de la
confrérie : minces, longues, sèches, commères du quartier, véhicules des
potins domestiques et des variations du baromètre, pions enjuponnés à l'école
de plein vent, maîtresses de balai, ennemies jurées de la sœur poussière: A
un pôle de l'imaginaire adolescent et de sa mythologie : la bonne femme ; à l’autre, la grande dame. La rue
et le salon. Le ras du sol et le haut du pavé. La chansonnette de Mimi Pinson
et l’opéra bouffe de Bianca Castafiore. Deux accents de la vie, la
même futilité bavarde et le même regard ironique sur la comédie humaine.
Manque la petite femme, qui eût
induit en tentation l'ordre du scoutisme et peut-être, sait-on jamais, gâté
la robe d'innocence de Tintin. (L’oreille cassée, Le Sceptre d'otrokar, Le Crabe
aux pinces d’or, Le Secret de |
|
DIDI Jeune
homme d’une vingtaine d’années au physique d’adulte, fils de Monsieur Wang,
au départ ange gardien de Tintin, puis; rendu fou par une piqûre de
radjaïdjah (venin inconnu de (Le Lotus
bleu) |
||
|
DUPOND(T) Dans la galerie des imbéciles qu'Hergé passe en revue,
les deux pignoufs macabres portent le deuil de l'intelligence. Moustaches de
porcs-épics, sourcils arqués d'inquisiteurs aux abois, chapeaux melon à la
mode antique, complets encrassés d'une encre gluante, figures de carême,
souliers à clous et à semelles de plomb : on dirait, pour reprendre un mot de
Léon Daudet, « orang suivi de oufan ». Quand ils se déguisent, c'est pour mieux être reconnus.
Quand Dupond fait une bêtise, Dupont marche dedans. Quand ils foulent le sol
lunaire, c'est pour décréter que jamais encore « la main de l'homme n'y à mis le pied ». Quand l'un adresse sa
supplique au roi de Syldavie : «
Majesté, votre sire est bien bonne... Je veux sire... je veux dire », l'autre
ajoute : « Je sirais même plus, dire,
c'est à sire Majesté. » Tout est
multiplié par deux, leur nullité, leur platitude, leurs lapsus, leurs
bafouillages. Ces analphabètes diplômés bégayent Joseph Prudhomme, Bouvard et
Pécuchet de la flicaille assermentée. (depuis
Les Cigares du Pharaon) |
|
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EZDANITOFF (MIK) Etymologie
de son nom: en marollien, le dialecte franco-flamand des gamins de la rue de
Bruxelles, Is dat niet tof, ce qui signifie,
« N'est- ce pas formidable ? ». Hergé
ayant connu Jacques Bergier et lu Planète,
a façonné Ezdanitoff à l'image de Bergier et mis Planète en bande dessinée. La science infuse et l'imaginaire
flamboyant. La cohabitation du burlesque et la magie oraculaire. (Vol 714 pour Sydney) |
|
Le
petit dictionnaire à suivre par Pol Vandromme.
La philatélie joue toujours avec le temps.
Les timbres
d’usage courant en France et ailleurs de nos jours .
La poste inaugure des séries de timbres. Ils sont tous intéressants et
beaux pour l’expédition de vos lettres. A vous de jouer avec un simple coup de
langue derrière un timbre ou de bénéficier de son auto-collage.
|
En
octobre ont été émis, un timbre à 0,50 € «Cathédrale de Luçon-Vendée» (1), le
0,50€ «Halloween» (5) et le 0,50 € «Résistant d'outre-mer- Félix Éboué» (2),
en novembre le 0,50 € «Phare d'Ouistreham» (3). En
novembre, un carnet «Marianne d'Alger», un bloc «Capitales Européennes : « Athènes»
(12), un carnet «Meilleurs vœux», une figurine «Henri Wallon» et un timbre
«Croix-Rouge» (4) vendu également en carnets. Dans les DOM-TOM Polynésie
: octobre, 250 CFP «Personnage célèbre -Omai». Wallis
et Futuna novembre, bloc avec 8 timbres-poste 900 CFP «Cases
traditionnelles». Hors de nos frontières •
Andorre: octobre - 0,50 € «Code Postal». •
Liechtenstein: novembre, série «Dentelles de Noël» (13), série de trois
timbres «Fossiles du Liechtenstein» (6). • Monaco
: octobre, bloc feuillet à 6 € «Hommage à Grâce Kelly» (9). • Suède
: octobre, série de huit timbres-poste et un bloc feuillet «50 ans de rock»
(7-10). • Suisse
: novembre -1,80 FS «CIO - Nations Unies» (11) et série de quatre figurines à
surtaxe «Pro Juventute» (8). |
A partir du 12 novembre 2004, tous les timbres de France porteront la
mention «France» et non plus «RF». Cette décision relève de l'Union Postale
Universelle (UPU) demandant de faire figurer sur les timbres non pas le régime
politique de l'état mais simplement le pays. |
Courez vite acheter les timbres de
collection pour embellir vos enveloppes que portera le facteur à vos amis.
Michel GUICHARD
Expositions F.E.B. et
les autres
Les possibles prochaines expositions F.E.B.
pour 2005.
|
Notez sur vos agendas nos points de
rencontre 2005 ou en nous téléphonant. |
Le groupe RER et Michel Guichard.
En dehors de nos
expositions, allez voir les autres grandes expositions
«PARIS 16e– Musée de
l’Homme» :
1.
« Premiers Hommes de Chine » ; jusqu’au 03 janvier
2005,
«PARIS 6e – Musée du
Luxembourg» :
2.
« Véronèse profane, la fête
de la couleur » ;
jusqu’au 30 janvier 2005,
«PARIS 5e – Institut
du Monde Arabe» :
3.
« Egypte, visage de Pharaon » ; jusqu’au 10 avril 2005,
«PARIS 4e – Centre
Georges Pompidou» :
4.
« Sons et lumières :
Une histoire du son dans l’art du XXe siècle » ; jusqu’au 10 janvier 2005,
«PARIS 1e – musée du Louvre, aile Sully» :
5.
« Chefs-d’œuvre de la collection
Edmond de Rothschild, dessin et estampes du XVe au XVIIIe
siècle » ; jusqu’au 17
janvier 2005,
«PARIS 1e – musée du Louvre, aile Denon» :
6.
« J-L David, un peintre au
service de l’Empereur » ;
jusqu’au 17 janvier 2005,
«PARIS 7e – musée de l’Armée» :
7.
« Images du sacre de
l’Empereur Napoléon » ;
jusqu’au 12 janvier 2005,
«PARIS 8e
– Galeries Nationales du Grand Palais» :
8.
« Images du monde flottant.
Chefs-d’œuvre de l’art japonais »;
jusqu’au 10 janvier 2005,
9.
« Turner, Whistler, Monet » ; jusqu’au 17 janvier
2005,
Allez voir les autres grandes expositions ( suite ).
«PARIS 7e – musée d’Orsée» :
10.
« New York et l’art
moderne. Alfred Stieglitz et son cercle, 1905-1930, et Alfred Stieglitz
1864-1946 » ; jusqu’au
16 janvier 2005,
11.
« Etienne-Jules Marey (1830-1904)» ; jusqu’au 16 janvier 2005,
«PARIS 6e – musée de la monnaie de Paris» :
12.
« Miyazaki - Moebius » ; jusqu’au 13 mars 2005,
«PARIS 19e – Cité de la sciences et de l’industrie» :
13.
« Le monde de Franquin » ; jusqu’au 13 février 2005,
«PARIS – VERSAILLES (78) ; Orangerie du domaine de
Madame Elisabeth» :
14.
« Borduas, la magie des
signes (œuvres sur papier) » ;
jusqu’au 15 janvier 2005,
«PARIS - FONTAINEBLEAU (77) – musée du Château» :
15.
« Le Pape et l’Empereur » ; jusqu’au 24 janvier
2005,
«PARIS – RUEIL-MALMAISON (77) – musée du Château de
16.
« Bijoux des deux empires,
mode et sentiment » ;
jusqu’au 28 février 2005,,
«PARIS – CHANTILLY (60) ; Musée de Chantilly» :
17.
« Les chefs-d’œuvre de
l’art anglais » ; jusqu’au 03 janvier 2005,
«France – CLERMONT-FERRAND
(63) ; Parc Européen du volcanisme» :
18.
« Vulcania : à la
découverte des gigantesques volcans de la planète rouge » ; an 2005,
«France – LILLE (59) ;
Musée des Beaux-Arts» :
19.
« Portzamparc, pluriel et
singulier » ; jusqu’au 10 janvier 2005,
«France – CATEAU (59) ;
Musée Matisse» :
20.
« Matisse et la couleur des
tissus » ; jusqu’au 13 février 2005,
«France – LYON (69) ;
Musée des Beaux-Arts» :
21.
« Le Royaume
d’Ougarit : aux origines de l’alphabet » ; jusqu’au 17 janvier
2005,
«France – BORDEAUX
(33) ; Musée des Beaux-Arts» :
22.
« Goûts et saveurs
baroques » ; jusqu’au 03 janvier 2005,
«France – COLMAR (68) ;
Musée d’Art Moderne Lille Métropole» :
23.
« Roger Bissière, le
sorcier du pinceau » ; jusqu’au 28 février 2005,
«Italie – VENISE ; Au
Palazzo Grassi» :
24.
« Dali, la beauté
convulsive » ; jusqu’au 09 janvier 2005,
«Angleterre – LONDRES;
25.
« Raphaël, d’Urbino à
Rome » ; jusqu’au 16 janvier 2005,
«Suisse – ZURICH ; Au Kunst-und Ausstellungshalle
26.
« Toutankhamon,l’or de
l’au-delà » ; jusqu’au 01 mai 2005,
«Allemagne – BONN ; Au Kunsthaus» :
27.
« Le jardin de
Monet » ; jusqu’au 27 février 2005,
Il y en a d’autres, mais voici un petit échantillon pour de bonnes
et joyeuses découvertes.
Michel GUICHARD.
F.E.B.B. Belgique – Luxembourg.
Nouvelles de
F.E.B.B. : On a déménagé, où en sommes-nous ?
Je vous
rappelle que les collections de FEB Belgique-Luxembourg sont abritées depuis
mars dernier dans l’entrepôt de Bull :
Wolverstemsesteenweg
40 B 1850 Grimbergen.
L’équipe a
terminé de réaménager l’espace qui lui est réservé et, ma foi, l’exposition est
meilleure que dans le site précédent.
Le gros
inconvénient est l’absence de chauffage, pour ceux qui y travaillent et pour
les machines, à cause du phénomène de condensation.
Fin
novembre l’arrivée de conduites de gaz est prévue, mais on n’a pas encore de
date pour l’installation d’un chauffage destiné à maintenir une température
minimum. Cela nous préoccupe beaucoup.
Quand le
temps est un peu clément,: Passez donc nous voir un de ces jeudis ou un autre
jour en prenant rendez-vous. Vous pourrez ainsi nous donner quelques
suggestions d’aménagement : on ne s’entoure jamais assez de visions
différentes !
André
Hanchard a terminé la mise au point de la reporteuse. Mais cette dernière
refusera de fonctionner jusqu’au printemps prochain, car elle est très sensible
aux variations de température : les réglages y sont très fins.
.
Nous avons
aussi entamé un nouveau thème : les imprimantes. On n’en parle pas assez,
or leur technique a évolué fantastiquement en 50 ans.
Quelques contacts intéressants ont été pris avec le Conseil Bruxellois
des Musées, ceci dans le but de nous faire connaître et de collaborer avec des
collections complémentaires.
Gilbert
NATAN
F.E.B.D. Deutschland (Allemagne).
FEB
Deutschland e.V. >> München war eine Reise wert!
Wir hatten dieses Jahr das Deutsche Museum in der Landeshauptstadt von
Bayern „München“ für die „4. Mitgliederjahreshauptversammlung“ des FEB Deutschland
e.V. auf Wunsch unserer Mitglieder ausgewählt.
Es war wieder ein voller Erfolg, denn es waren nahezu 100 Personen
angereist.
Die Freude über das Wiedersehen mit vielen langjährigen Kolleginnen und
Kollegen war bei Allen groß. „Wenn ich Dich sehe, denke ich wir hätten uns erst
gestern Abend in der Firma verabschiedet“ das war der Ausspruch eines unserer
Mitglieder beim Eintreffen im Hotel.
Es wurden aber auch über viele Erlebnisse von damals und jetzt gemeinsam
ausgetauscht. Sehr viel Positives über Bull gestern und heute wurde von den
Teilnehmern diskutiert. Als besonderen Ehrengast durften wir Alain LESSEUR,
President FEB France in unserer Mitte begrüssen.
Kurzer
Rückblick auf das Programm:
·
12.00
Uhr Eintreffen im Hotel „Deutscher
Kaiser“ am Hauptbahnhof München
·
14.00 Uhr,
Film: „New York“ im IMAX-3D Kino des Deutschen Museums
·
14.45 Uhr,
Umtrunk im Restaurant des Deutschen Museums
·
15.00 Uhr,
Mitgliederversammlung mit Neuwahlen des Vorstands im Raum Helius des Deutschen Museums
·
17.15 Uhr
Gemeinsame Fahrt mit S-Bahn nach München Pasing zum „Hotel zur Post“
·
18.00
Uhr Gemeinsames Abendessen im „Hotel zur
Post“
·
20.00 Uhr
Aufführung eines Volksstückes „Pension Schöller“ > Weiß-Blaue Bühne
·
10.00 bis
13.00 Uhr München Stadtrundfahrt mit Autobus und geführter Besichtigung des
Schlosses Nymphenburg
Kurzer
Ausschnitt aus dem Protokoll der Mitgliederjahreshauptversammlung:
Bericht der
Kassenprüfer:
Herr Klenk berichtet über die Prüfung des Zeitraumes 1.Jan. 2003 bis
30.Juni 2004.
Vorstand wird durch die Mitgliederversammlung entlastet.
Neuwahlen des
Vorstandes:
Wahlleitung Herr Rothweiler.
Gewählt wurden:
1.
Vorsitzender:
Herr E. W. Müller, gewählt mit 1 Enthaltung
2.
Stellvertreter:
Herr O. Gross, gewählt mit 1 Enthaltung
3.
Schatzmeister:
Herr O. Raaz, gewählt mit 1 Enthaltung
4.
Schriftführerin:
Frau I. Vogt, gewählt mit 1 Enthaltung
Neuwahl der
Kassenprüfer:
1.
Kassenprüfer:
Herr R. Kempf, gewählt mit 1 Enthaltung
2.
Kassenprüfer
Frau E. Rosendahl, gewählt mit 2 Enthaltungen
3.
Ersatzkassenprüfer:
Herr O. Nieder
Alle Gewählten nahmen die Wahl an und unser Beirat Heinrich Rothweiler
schließt den Wahlvorgang.
Aktivitäten in 2005 > Planung
Wo soll die nächste Mitgliederversammlung stattfinden?
Vorschläge: 1. Dresden
2. Hamburg
3. Paris
4. Elsass
Die Vorschläge zum nächsten Ort unserer Mitgliederversammlung werden
schriftlich vorgelegt und die Mitglieder gebeten darüber abzustimmen.
Unser herzlicher Dank für das gute Gelingen unseres „München Events“ geht
an
Frau Marlies Tücking, München und Herrn Heinrich Rothweiler, Köln.
Der Vorstand
|
Article
de Egon W.Müller.
Traduction du texte allemand en français par
Alain Lesseur.
F.E.B. Deutschland e.V. >> Munich valait le voyage !
Nous
avions choisi cette année le Deutsches Museum dans la capitale de
Ce fut à
nouveau un plein succès, car nous avons compté presque 100 participants.
La joie
était grande de revoir beaucoup de collègues de longue date. "En te
voyant, j’ai l’impression de t’avoir vu encore hier soir à la compagnie"
fut l’expression prononcée par l’un de nos membres en arrivant dans l'hôtel.
Les
échanges portent sur beaucoup
d'expériences communes passées et présentes. C’est vraiment très positif de
voir les participants commenter le Groupe Bull d’hier et d’aujourd'hui. En tant qu'hôte d'honneur particulier, nous
avons pu saluer parmi nous Alain LESSEUR, le Président de
Courte
rétrospective du programme:
Vendredi
15 octobre
12.00
heures arrivée à l'hôtel "Deutscher Kaiser" à la gare centrale
de Munich
14.00
heures film: "New York" dans le cinéma Imax-3d
du Deutsches Museum
14.45
heures pot dans le restaurant du
Deutsches Museum
15.00
heures Assemblée des membres, avec
les élections du bureau, dans la salle Helius du Deutsches Museum
17.15
heures déplacement en commun par
le réseau express régional à Pasing, quartier
de Munich, à l'"Hotel zur Post"
18.00
heures dîner en commun à l’hôtel
20.00
heures représentation d’une pièce
populaire "Pension Schöller" sur la scène "
blanc-bleu" (couleurs de
Samedi 16
octobre
10.00 à
13.00 heures
tour de Munich en autobus
et visite guidée du château Nymphenburg
Court
résumé de l'Assemblée Générale annuelle des membres :
Rapport
des commissaires aux comptes :
Monsieur
Klenk fait un rapport sur l'examen de la période 1er Janvier 2003 au
30 Juin 2004.
La gestion
du bureau (comité directeur) est approuvée par l'assemblée des membres.
Élections
du bureau (comité directeur) :
Conduite
du vote : Monsieur Rothweiler.
Ont été
élus : 1. Président : Monsieur E. W.
Müller, élu à l’unanimité moins 1 abstention,
2.
Vice-président : Monsieur O. Gross,
élu à l’unanimité moins 1 abstention,
3.
Trésorier : Monsieur O. Raaz, élu à l’unanimité moins 1 abstention,
4.
Secrétaire : Mme I. Vogt, élue à l’unanimité moins 1 abstention.
Élection
des commissaires aux comptes :
1.
Commissaire aux comptes : Monsieur R.
Kempf, élu à l’unanimité moins 1 abstention,
2. Commissaire
aux comptes : Mme E. Rosendahl,
élue à l’unanimité moins 2 abstentions,
3.
Commissaire remplaçant : Monsieur O.
Nieder.
Tous les
postes étant pourvus, notre conseiller consultatif, Heinrich Rothweiler, ferme
la session de vote.
Activités en
2005 > planning
Où aura
lieu la prochaine Assemblée Générale annuelle des membres ?
Propositions: 1.
Dresde
2. Hambourg
3. Paris
4. Alsace
Les
propositions concernant le prochain lieu de notre assemblée seront présentées
par écrit, et les membres seront consultés sur le choix.
Nos cordiaux remerciements pour la bonne réussite de notre "manifestation munichoise" s’adressent à Mme Marlies Tücking de Munich, et à Monsieur Heinrich Rothweiler de Cologne.
Traduction
du texte allemand en français par Alain Lesseur.
Retrouvez
les échos de
|
Grâce
à elle, on peut piloter son PC à distance et retrouver, d'une touche, le
fichier souhaité
Bien plus
qu'une télécommande, le PCTV MediaCenter lancé par Pinnacle Systems est une
solution complète, qui permet à tout utilisateur de PC de transformer celui-ci
en véritable centre multimédia numérique. Pour quoi faire? Simplement pour
accéder plus facilement et rapidement à tous ses fichiers multimédias.
Une idée
plus que pertinente, quand on voit l'engouement du grand public pour les
appareils photo numériques, les caméscopes et les lecteurs DVD, qui en viennent
à transformer l'ordinateur familial en une énorme unité de stockage numérique.
D'où le
casse-tête et la lenteur à retrouver parfois le dossier recherché. Ainsi, en
habile gestionnaire, le PCTV MediaCenter permet de gérer à distance, à partir
d'une simple télécommande, tous ses fichiers MP3, photos numériques, DVD,
vidéos téléchargées sur Internet ou capturées par un caméscope. Non seulement
cela, mais il permet aussi de regarder et d'enregistrer ses programmes
télévisés préférés!
En effet,
composé d'un tuner TV (ou d'une carte tuner TV, en fonction du modèle) -associé
au gestionnaire de fichiers et à la télécommande - le coffret PCN MediaCenter
dispose de fonctions avancées:
1.
gravure intégrée des émissions de télé,
2.
guide de programmation électronique,
3.
télétexte ;
4.
recherche automatique des canaux et reconnaissance
automatique des noms de chaînes (seulement sur le modèle 100i),
5.
timeshifting,
6.
ou encore conversion des CD audio en fichiers MP3.
Existe en
deux versions: la solution interne PCTV MediaCenter 100i (carte PCI) au prix de
99 € ou le boîtier externe PCTV MediaCenter 100e au prix de 129 €. Infos sur le
site (www.pinnaclesys.com ,
disponible dans tous les magasins d'informatique.
Delphine DE MALLEYOÜE
Le
3939 : Une bonne idée à roder
|
Depuis
le 4 octobre, un numéro « magique », instauré par le gouvernement, est censé
répondre à toutes vos questions d'ordre administratif. Nous l'avons testé...
« Le succès
du lancement du 3939 est tel que nous ne pouvons pas répondre à tous les
appels. Merci de bien vouloir renouveler votre appel ultérieurement. » Le 3939,
numéro de téléphone unique pour tous les renseignements administratifs*, a été
lancé le 4 octobre. Dans la semaine qui a suivi, l'usager devait faire preuve
de persévérance avant d'obtenir un interlocuteur. La nouvelle ligne, baptisée «
Allô, service public », était visiblement victime de son succès. « C'est
hallucinant! s'étonne Eva Menzel, chargée de communication au secrétariat
d'Etat à la réforme de l’Etat, maître d’œuvre de l'opération. Le jour du
lancement, nous avons reçu 100.000 appels, soit plus qu'en un an
d'expérimentation dans les régions Rhône-Alpes et Aquitaine! »
Aussi
efficaces soient-ils, les 60 téléopérateurs - ils sont 80 aux heures de pointe
- n'ont donc pu éviter l'attente aux personnes en quête d'informations. Mais
s'il renouvelle son appel, et s'il prend la peine de patienter quelques
minutes, l'usager est toutefois sûr de recevoir un bon accueil et d'obtenir des
conseils avisés.
Encore quelques légers défauts à régler
Nous avons
testé le numéro 3939, à raison d'une question par coup de fil, comme le veut la
règle. Attente comprise, il n’aura fallu, en moyenne, que cinq minutes pour
obtenir une réponse à chaque question. Par exemple:
·
Quelles démarches suivre pour installer un Vélux sur
le toit de sa maison ?
·
Quel recours en cas de nuisances sonores dans le
voisinage ?
·
Quelles sont les réclamations possibles quand un
vêtement confié à un pressing a subi des dommages ?
Pour une
question plus pointue (scolarisation d'un enfant handicapé), le téléopérateur
nous a suggéré des pistes, avant de nous orienter sur un numéro de téléphone
spécialisé.
Seule une
recherche qui nous semblait anodine (quels papiers administratifs produire pour
vendre un scooter de particulier à particulier ?) s'est révélée fastidieuse. Ce
n'est qu'après quarante minutes, et quatre interlocuteurs différents, que notre
testeur a fini par obtenir les informations demandées... A 0,12 euro la minute,
cela fait 4,80 euros !
« Ces défauts dans la qualité de la réponse devraient se régler rapidement », assure Eva Menzel.
Quant à l’embouteillage d'appels, il devrait se résorber quand la période de lancement
sera passée. Le nombre d'appels devrait se stabiliser autour de 10 000 par
jour. « D'ici au 18 octobre, nous devrions pouvoir tenir la promesse d'un
accueil au bout de trois sonneries », affame la chargée de communication.
En
l'occurrence, les créateurs du 3939 n'ont fait que se calquer sur une
expérience similaire, déjà menée au Canada. « Il aura fallu un an aux Canadiens
pour roder leur initiative, rapporte Eva Menzel. Nous avons étudié leur
expérience. Nous serons prêts plus vite.
* Le 3939 est accessible de 8 h à 19 h en semaine, et de 9 h
à 14 h le samedi, au tarif d'une communi-cation locale (0,12 € la minute, à
partir d'un téléphone fixe).
Marie-Christine VIDAL
Technologie : haut
débit, Les zones rurales veulent aussi.
L'internet
à grande vitesse pour tous en France est devenu l'objectif pour les prochaines
années. Seulement, la couverture des zones rurales reste un véritable défi
technologique qui ne peut être relevé avec l'ADSL ou le câble. Une nouvelle
norme pourrait pourtant changer la donne. Son nom ? Le Wimax.
La tenue du Comité interministériel pour
l'aménagement du territoire (CIADT), réuni à Matignon le 14 septembre, a été
l'occasion de fixer un certain nombre d'objectifs pour faire entrer
|
Une première étape avant d'atteindre un objectif
encore plus ambitieux pour la fin de l'année 2007. Le CIADT souhaite, en effet,
que dans les principales zones d'activité, notamment les pôles de compétitivité,
les entreprises puissent bénéficier, à un coût acceptable, d'offres à 100
Mbit/s. Chaque commune devra, en outre, disposer d'offres de connexion
permettant à 80% de ses habitants d'accéder à l’Internet à 2 Mbit/s et aux
services associés, tels que l’accès au téléphone ou à la télévision sur
Internet et, lorsque la densité de la population ou (importance de l'activité
économique le permettent, d'un accès à tous les services à haut débit, notamment
des accès à 5 Mbit/s. Pour leur part, les petites communes isolées devront
pouvoir bénéficier d'au moins une connexion Internet à la mairie et dans un
autre point de la commune - école, commerce, etc. - afin de permettre notamment
à leurs habitants d'accéder aux services publics en ligne. Mais pour atteindre
ces objectifs, la technologie ADSL, la plus utilisée aujourd'hui en matière de
haut débit, atteint ses limites. Pour fonctionner correctement, elle ne peut
être déployée que dans un périmètre restreint autour des centraux téléphoniques
de France Télécoms. Lorsqu'une habitation se situe à quelques kilomètres de ce
dernier, ce qui est le cas en zone rurale, il est impossible de la raccorder à
haut débit par ce biais.
Pour l'heure, seule une liaison Internet par
satellite permet de toucher les zones les plus reculées, mais les coûts d'une
telle solution sont prohibitifs, tant du point de vue de l'équipement (environ
1.700 €) que de l'abonnement au service (près de 150 € par mois). Mais une
nouvelle technologie, qui vient d'être normalisée à l'échelle internationale,
pourrait s'avérer providentielle pour couvrir ces zones : le Wimax (World
Interoperability for Microwave Access). Elle utilise en fait les voies
hertziennes (comme la télévision) pour véhiculer Internet et permettre une
couverture élargie, dans un rayon d'une cinquantaine de kilomètres de la borne
d'émission, à un débit théorique de 70 Mbit/s. Dans la pratique, on estime que
les utilisateurs pourront disposer en fait d'un débit de 10 Mbit/s, dans un
rayon d'une vingtaine de kilomètres, ce qui est plus qu'honorable. Ainsi, Wimax
semble pouvoir répondre aux attentes des collectivités locales en mal de haut
débit.
Certains
se sont d'ores et déjà lancés dans l'aventure. Altitude Telecom est aujourd'hui
le seul opérateur français à détenir une licence d'exploitation 3,5 GHz sur
l'ensemble du territoire métropolitain, délivrée par l'Autorité de régulation
des télécommunications (ART). Il a commencé à équiper trois départements -
par
François Delétraz, Martine Moreau et Jean-Marc Requin
Rapide,
sécurisé et bourré de fonctions astucieuses, Firefox pourrait bien changer la
donne de la navigation sur le Net. Et inquiéter Microsoft…
|
Ce n'est
pas encore une révolution... mais ça pourrait vite le devenir. Depuis quelques
mois, le petit monde de l'Internet a des yeux de Chimène pour la fondation
Mozilla et pour son futur produit vedette, le navigateur Internet Firefox. A en
croire Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, Firefox n'a que des qualités
: « II est plus rapide et plus sûr
qu’Internet Explorer de Microsoft, tout en étant disponible sur Mac, Linux et
bien d'autres systèmes informatiques. De plus, il est gratuit ! »
L'originalité de Firefox est d'être développé conjointement par un demi-millier
de programmeurs bénévoles, la fondation Mozilla assurant la coordination.
C'est le
principe du logiciel « Open Source », utilisé avec le succès que l'on sait pour
la mise au point de Linux, le système concurrent de Windows causant quelques
tracas à Microsoft...
Disponible
en pré-version depuis quelques semaines, Firefox a été té léchargé par plus de
7 millions d'internautes, chiffre bien plus élevé que les prévisions les plus
optimistes de la fondation Mozilla. La version officielle, lancée depuis
quelques jours, est en passe de rencontrer un joli succès. Et la fondation
Mozilla de rêver à près de 10% de parts de marché avant la fin de l'année...
Pourquoi pas ?
Il faut
dire que l'hégémonie de Microsoft sur le Web en agace plus d'un. A commencer
par les utilisateurs, confrontés aux multiples failles de sécurité rendant leur
PC vulnérable. La présence d'une alternative crédible ne peut être que
bénéfique à tous... et même à Microsoft, qui, faute de concurrence réelle, se
contente actuellement de colmater les brèches d'Internet Explorer sans vraiment
chercher à le faire évoluer.
Firefox
est, il est vrai, impressionnant. Lors de son installation (facile),
l'application récupère automatiquement les signets et données de l'utilisateur
stockées dans Internet Explorer. La navigation est très rapide et, surtout, Firefox
bloque automatiquement les pop-up », ces fenêtres publicitaires qui s'ouvrent à
tire-larigot. De plus, le logiciel est compatible avec l'ensemble des sites Web
sécurisés (vente en ligne ou banque, par exemple) auxquels nous l'avons
confronté.
Certaines
fonctions inexistantes sur Internet Explorer ( la navigation par onglet
permettant d'ouvrir plusieurs pages dans une seule fenêtre, par exemple )
deviennent vite indispensables, et l'on se demande comment on a pu se passer de
telles fonctions aussi longtemps.
PAR MARC MITRANI
Rubrique :
CYBERESPACE. |
|
C’est nouveau.
VHS deviendra DVD
|
Le Toshiba
D-VR3 réunit en un produit les deux mondes analogique et numérique. À la fois
enregistreur DVD et magnétoscope 4 têtes, il permet de passer de l'un à l'autre
et de redonner une seconde jeunesse à sa vidéothèque en copiant ses VHS sur
DVD, support inaltérable. Il lit aussi les formats audio MP3 et les fichiers
photo JPEG.
Prix: 499
€. Dans tous les rayons hi-fi.
Ordinateur de bureau
Dell Dimension 2400.
|
Processeur
Celeron 2,6 Ghz, 512 Mo de mémoire vive, écran de
Prix :
500€.
Appareil
photo numérique Nikon Coolpix 2200.
|
Ce n'est
pas une nouveauté au catalogue Nikon. Le Coolpix 2200 est un ancien. Avec son
capteur de seulement 2 millions de pixels, il fait pourtant de belles photos.
Son.rendu de couleur est très honorable et son optique est de très bonne
facture.
Prix :
129€
Agenda électronique
Palm Zire 21
|
Son écran
n'est que noir et blanc. Il n'a pas d'extension mémoire possible. Il ne peut
pas recevoir de kit GPS. Il ne peut pas se transformer en baladeur numérique.
Oui, mais cet organiseur de poche est compatible avec les Mac et les PC, il
peut stocker plusieurs milliers de noms et d'adresses et il a une autonomie de
deux semaines. Son port infrarouge lui permet également de communiquer avec les
autres palms. Il est compatible avec près de 20 000 logiciels différents. Il
gère des rendez-vous sur plusieurs années. Et il ne pèse que
Prix :
119€.
Lecteur
DVD Schneider SDV 423.
|
Il faut
bien s'y faire. Maintenant, un magnétoscope à cassette vaut deux fois le prix
d'une platine DVD d'entrée de gamme. Ce modèle Schneider trouvé chez Darty est
tout ce qu'il y a de plus honorable. Outre les films, il lit les CD musicaux et
MP3, les CD réengistrables et les DVD gravés à la maison. Ce qui est bien
suffisant pour un usage quotidien.
Prix :
49€.
Imprimante
Epson C46
|
Pour
imprimer des textes, des pages Internet ou de petites images d'exposés, elle
est parfaite. En fait, elle n'a que deux défauts. D'abord,
Prix :
59€.
PictureMate
Mobile Phone Edition
|
est une imprimante spécialement dédiée aux
possesseurs de téléphone mobile avec appareil photo intégré. La connexion entre
les deux appareils peut se faire sans fil, via une liaison Bluetooth ou en utilisant
les emplacements pouvant recevoir les cartes mémoire des téléphones
Prix : PictureMate Mobile Phone Edition, Epson, 229€.
Le Doro Matra 5408
|
est un téléphone DECT avec répondeur qui dispose de
nombreuses fonctions:
·
mains libres,
·
présentation du numéro,
·
afficheur rétro éclairé,
·
etc.
Le répondeur possède une mémoire de 11 minutes et,
pour une plus grande facilité d'utilisation, les touches regroupées sur la base
sont très lisibles.
Prix :
Doro Matra 540R, 64,90€.
SOUVENIRS, SOUVENIRS
En 1975 je
dirigeais les services informatiques à l’OCP (Office Commercial
Pharmaceutique). Nous avions 7 centres de traitement répartis sur toute
Lors d’un
appel d’offres pour remplacer 2 gros ordinateurs du centre de Paris,
J’ai
accepté bien volontiers, car je m’attendais à une présentation technique d’un
haut niveau.
J’ai réuni
mes ingénieurs et leur ai dit : « Vous allez voir autre chose que des
généralités genre IBM, car ce sont des techniciens, eux ! Ils vont nous
détailler le canal multiplexer, les bus, les cycles, les algorithmes, la
technologie …Il faudra vous accrocher! »
Le jour J
je vois arriver 2 personnes, dont Monsieur X (nom sur demande) que j’avais
connu dans le temps et qui, à mes yeux, était très compétent. Nous ouvrons nos
cahiers, préparons nos calculettes et attendons.
Monsieur X
tire sur sa pipe, réfléchit et dit: « c’est un système
tridimensionnel » Puis, après une
pose : « c’est pour cela qu’il s’appelle (nom de modèle) 3 ». Et
un peu plus tard: « il peut tout faire ».
Dans la
suite de l’exposé il n’y a eu aucun détail technique, ni concernant
l’ordinateur proposé, ni nos problèmes et nos cahiers sont restés vierges. A
l’évidence la proposition CMB était beaucoup moins étoffée que celles des
autres constructeurs.
A ce jour,
je n’ai toujours pas compris le pourquoi de ce type d’exposé. Monsieur X me connaissait,
j’étais technicien comme lui et il aurait pu deviner que je m’attendais à un
exposé technique, concret.
Il est
vrai qu’il y a des cas, j’en connais au moins un, où un commercial (UNIVAC) a
obtenu un gros contrat (une compagnie pétrolière) après un exposé très, très
vague.
V.G.HAVELKA
HISTORIETTE
Voici
une lettre reçue au Ministère de
Monsieur
le Ministre de
Permettez-moi de prendre la liberté
de vous exposer ce qui suit, et de solliciter de votre bienveillance l'appui nécessaire
pour obtenir une démobilisation rapide.
Je suis
sursitaire, âgé de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a
une fille qui en a 25. Mon père a épousé cette fille.
À cette
heure, mon père est donc devenu mon gendre, puisqu'il a épousé ma fille. De ce
fait, ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu'elle est la femme de mon
père.
Ma femme
et moi avons eu, en janvier dernier, un fils. Cet enfant est donc devenu le
frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père. En conséquence,
mon oncle, puisqu'il est le frère de ma belle-mère. Mon fils est donc mon
oncle.
La femme
de mon père a eu à Noël un garçon qui est à la fois mon frère, puisqu'il est le
petit-fils de mon père, et mon petit-fils puisqu'il est le fils de la fille de
ma femme.
Je suis
ainsi le frère de mon petit-fils et, comme le mari de la mère d'une personne
est le père de celle-ci, il s'avère que je suis le père de ma femme et le frère
de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.
De ce
fait, Monsieur le Ministre, ayez l'obligeance de bien vouloir me renvoyer dans
mes foyers, car la loi interdit que le père, le fils et le petit-fils soient
mobilisés en même temps.
Dans la
croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre,
l'expression de mes sentiments les meilleurs.
Sincères
salutations
Historiette
transmise par José BOURBOULON.
Voici
une Historiette transmise par José BOURBOULON:
Dans les années
1974 – 83, j’étais P.D.G. d’une toute petite filiale de Cap Gemini Sogeti,
comme on disait alors, trop petite pour avoir un Comité d’Entreprise, mais qui
avait quatre délégués du personnel, deux délégué cadres (dont un suppléant) et
deux délégués employés (dont un suppléant). Elle s’appelait SORINFOR et faisait
du « Facilities Management » avec un GE 6035, un IRIS 50, un GE 115
et un terminal lourd DATA 100 connecté aux IBM de
Au cours
d’une réunion mensuelle des délégués d’un quelconque mois de septembre, parmi
les « questions diverses » c’est-à-dire ne figurant pas à l’ordre du
jour, l’un des quatre délégués (mais pas Michel Charleux, frère de Georges)
lance une revendication bizarre :
« On
veut que le 13 octobre soit férié dans la société. » Je mets une fraction
de seconde à réaliser que :
-
ce doit être la fête du Yom Kippour,
-
deux ou trois des quatre délégués doivent être juifs,
ce à quoi je n’avais pas fait attention.
Je leur
réponds aussitôt :
« D’accord,
mais alors vous venez travailler le jour de Noël ».
Je n’ai
plus jamais entendu parler de cette « revendication ».
José
Bourboulon
Pour
informaticien Support technique
Après
avoir eu des problèmes avec son ordinateur, un pauvre utilisateur ignorant
appelle au téléphone l'équipe de support technique du fabricant de cet
ordinateur, espérant obtenir un peu d'aide.
Techn.: Support technique, bonjour! Comment puis-je vous aider?
Client: Il y a de la fumée qui sort de l'alimentation de mon
ordinateur.
Techn.: Il va sans doute vous falloir une nouvelle alimentation!
Client: Non, non, certainement pas! Je dois seulement changer les
fichiers de configuration.
Techn.: Monsieur, s'il y a de la fumée qui sort de
l'alimentation, c'est que l'alimentation est grillée. Il va vraiment falloir la
remplacer!
Client: Pas question! Quelqu'un m'a dit qu'il suffisait de changer
la configuration du système au démarrage pour régler ce problème. Vous n'avez
qu'a me dire quelle est la bonne commande à exécuter...
Apres dix
minutes, malgré tous les efforts du technicien pour expliquer le problème et sa
solution, le client s'entête à prétendre avoir raison et exiger qu'on lui
indique la commande qui va régler ça. Le client ayant toujours raison, il ne
reste plus au technicien qu'une seule façon d'agir...
Techn.: Cher monsieur, je suis désole: vous avez raison. Nous n'avons
pas l'habitude de communiquer cette information a nos clients, mais il y a
effectivement une commande DOS non documentée qui réglera votre problème.
Client: Je l'savais!
Techn.: Ajoutez simplement la ligne
"DEVICE=\DOS\NOSMOKE.SYS" a la fin de votre fichier CONFIG.SYS,
redémarrez l'ordinateur et tout devrait rentrer dans l'ordre. Rappelez-moi si
vous avez le moindre problème.
Une
dizaine de minutes plus tard, le client rappelle le technicien.
Client: Ca n'a pas marché. L'alimentation fait encore de la
fumée...
Techn.: Ah. Dites-moi, quelle version de DOS utilisez-vous?
Client: MS-DOS 6.22
Techn.: Voilà le problème! Cette version de DOS n'inclut pas
NOSMOKE. Il vous faudra appeler Microsoft et leur demander de vous envoyer une
mise à jour.
Tenez-moi au
courant du résultat de votre appel.
Environ
une heure plus tard, le même client rappelle.
Client: J'ai besoin d'une nouvelle alimentation...
Techn.: Pas de problème, je vous l'envoie aujourd'hui même, mais
dites-moi: comment êtes-vous arrivé cette conclusion?
Client: Eh bien, j'ai appelé Microsoft et j'ai répété à leur
technicien ce que vous m'aviez dit. Après une longue discussion, il m'a demande
la marque et le modèle de mon alimentation...
Techn.: Et qu'est-ce qu'il vous a dit?
Client: Il a dit
que mon alimentation n'était pas compatible avec NOSMOKE...
Un ami.
L’hiver, période la plus froide de l’année.
J’espère que cette année
fut le résultat de toutes vos espérances. Nous allons sauter de nouveau dans cet
inconnu du passage de l’année 2004 vers l’an 2005. Nous vous souhaitons à
tous, un joyeux Noël et une bonne heureuse année 2005 pour vous et vos
proches. |
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FEB-ACTUALITES : 2, rue Galvani
91343 Massy Cedex Directeur de Rédacteur en chef : Michel
Guichard. Comité
de rédaction-relecture : Alain Lesseur, Michel
Guichard, François Holvoet-Vermaut, José Bourboulon, Monique Petit. Photocomposition : Michel Guichard Impression : SOS repro - 75017 Paris Tirage : 600 exemplaires FEB-ACTUALITES N°49. Ont
participé à la rédaction de ce document : A.Lesseur, D.Poirson,
EW.Müller, F.Holvoet-Vermaut, G.Natan, J.Bellec, J.Bourboulon M.Guichard,
V.G.Havelka, Le groupe RER et des articles journalistiques. Publication interne. Diffusion
réservée. |
Fin 2004 et Vive
2005 |
Une association (loi de 1901) regroupant les amis de
Bull dans des Clubs d’activités culturelles. Présidents d’Honneur : Bernard Capitant (U), Dominique Pagel, Victor Thevenet
(fondateur). Président : Alain Lesseur. Vice-Présidents : Michel Guichard,
François Holvoet-Vermaut. Secrétaire Général : André
Taillat. Secrétaire : Raymond Réglier. Trésorier Général : Marcel Couturier. Trésorière : Monique. Petit. Assesseurs : Victor
Thevenet, et José Bourboulon. Bureaux :
2, rue Galvani 91343 MASSY
CEDEX. Tél./
Fax : 01.69.93.90.40. Permanence :
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Michel
GUICHARD