Décembre N° 49 hiver

Quatrième trimestre 2004

 

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Editorial.

 

Nos trois sessions de septembre et octobre, dédiées à la célébration du 30ème anniversaire de la ligne de produits GCOS 7, ont rencontré un vif succès.

 

Pas moins de 120 participants en moyenne, dont beaucoup nous ont témoigné leur satisfaction.

Tout d’abord un sentiment de fierté collective vis-à-vis de cette réussite technique et commerciale s’est dégagée, mais au-delà de ce domaine professionnel les « retrouvailles » d’anciens collègues ont représenté un autre point fort de ces journées.

Ces collègues sont en fait des amis qu’on a l’impression « d’avoir quittés hier soir », même après dix ou quinze années de séparation.

 

Fierté partagée et amitié resteront ainsi dans nos mémoires.

 

Pour ne pas être en reste avec le domaine affectif, nous avons également eu l’honneur de voir côte à côte Jean-Pierre BRULÉ, le président de Bull qui a signé en 1974 l’acte de naissance de cette prestigieuse ligne de produits, et Gervais PELLISSIER, le président actuel de Bull qui veille aux destinées futures de GCOS 7.

 

Nous songeons à rééditer de telles manifestations historiques.

Alain LESSEUR.

 

 

JOYEUX  NOËL   2004

La célébration du 30ème anniversaire de la ligne de produits GCOS 7.

 

Rubriques

 

Editorial.

Le message du jour.

José chez les Soviets.

Groupe histoire.

  L’aventure Gamma 60.

  Les conférences GCOS-7.

  Le colloque de Rennes

F.E.B. club généalogie.

Histoire de Tintin & Milou.

  Ses livres.

  Le dictionnaire.

La philatélie.

Les expositions F.E.B.

  Les autres expositions.

F.E.B.B. Belgique & Luxembourg.

F.E.B.D. Allemagne.

  Traduction par Alain

Retrouvez les échos de la F.E.B.

  Télécommande multimédia.

  Le 3939.

  Haut débit rural.

  Firebox accroche Microsoft.

Cyberespace.

  -C’est nouveau.

Souvenir,…

Historiettes.

C’est l’hiver.

 

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Notre message : FEB-ACTUALITÉS N° 49

 

La F.E.B. recherche et recrute.

Nous avons besoin de vous, pour poursuivre nos perspectives d’avenir.

Pour les animations des clubs à Paris comme en province, venez pour mettre en valeur ce que vous savez faire.

Vous avez des atouts pour des projets ambitieux la F.E.B. vous attend. Nous vous montrerons les richesses insoupçonnées de notre patrimoine. Appelez le 01.69.93.90.40.

Merci de votre confiance en nous lisant, c’est le plus beau       cadeau que vous puissiez nous faire.


 José chez les SOVIETS.

 

 

III. La Délégation à l’Informatique

 

En 1972, j’étais directeur commercial (ou plutôt directeur à tout faire, comme souvent dans les petites boîtes) d’une petite société de service en informatique, une SSCI comme on disait alors (maintenant on dit une SSII) dénommée SoGETI S.A., à la création de laquelle j’avais participé dès l’origine, et dans laquelle j’étais entré à mi-temps au mois de février 1968, partagé avec Pavailler, puis à temps complet en août de la même année.

 

Nous étions en bonnes relations avec la Délégation (Générale ?) à l’Informatique, avec Maurice Allègre et Pierre Audoin. Ces Messieurs organisent des journées de l’informatique française à Moscou en juin 1972, et nous y invitent, Kampf et moi, ainsi que les dirigeants de sociétés françaises d’informatique bien vues de la Délégation, la CII, SESA, SLIGOS etc…Tous les deux, nous nous faisons accompagner de nos femmes, mais pas aux frais des contribuables. Cela se passe du samedi 10 au dimanche 18 juin 1972, sauf erreur de ma part. Nous sommes donc une trentaine de Français, nous arrivons à l’aéroport, nous subissons les deux ou trois heures de queue à la police et à la douane, et on nous emmène à l’hôtel Rossia où nous nous installons, puis rendez-vous dans le hall. Le programme ne prévoyait rien, les gens sont là à se demander quoi faire, et je leur propose d’aller faire un tour en métro, quand on ne le connaît pas, ça vaut vraiment la peine. Nous traversons la place Rouge, nous descendons dans le métro en mettant chacun une pièce de cinq kopeks, et, sur le quai, qu’est-ce que nous entendons ? Une voix de femme qui crie « Mais c’est Monsieur Bourboulon ! » C’était la Galina de 1967, évidemment en service commandé, qui ne nous a pas quittés d’une semelle pendant tout le séjour à Moscou. Heureusement, comme je l’ai dit, elle était assez moche pour que personne ne se méprenne, et surtout pas ma femme. Nous l’avons d’ailleurs, si je me rappelle bien, complètement ignorée.

 

Comme je n’avais pas conservé un très bon souvenir de Moscou, j’ai participé le moins possible aux activités touristiques. J’ai quand même, pour la deuxième fois, dormi et ronflé au Kremlin pendant le Lac des Cygnes. Mais j’ai préféré aller aux séances officielles de présentation aux Soviétiques de la merveilleuse Informatique Française, et j’en ai conservé deux ou trois souvenirs. D’abord, tous les Français s’extasiaient du nombre d’auditeurs à nos conférences (SoGETI n’a pas parlé), sans se rendre compte que c’étaient principalement des gens qui venaient écouter du français, ils avaient souvent un seul écouteur, essayant, comme moi mais dans l’autre sens, d’avoir en même temps l’original et l’interprétation. Ensuite j’ai eu le privilège d’entendre dans son discours André Barré, président de la CII, non seulement parler de Napoléon (à Moscou ça s’impose évidemment !), mais surtout appeler à une alliance de l’informatique française et de l’informatique soviétique contre l’envahissement américain ! A propos de l’informatique soviétique, j’ai vu à Moscou (mais à quelle occasion ?) des dérouleurs de bande à bandes non amovibles, c’est-à-dire que la bande allait d’un puits à l’autre et réciproquement. Bizarre. Enfin, j’ai entendu Jacques Stern, président de SESA, raconter longuement l’application de billetterie du RER parisien que la SESA venait de terminer, avec tous les tarifs, il était très content. Puis, à la fin, un Soviétique se lève, et dit « Mais moi je ne comprends pas, chez nous on met cinq kopeks dans la fente et on passe ! ».

 

Ensuite le programme prévoyait vingt-quatre heures de dégagement à Léningrad : départ le soir en train (le « train mou », mou à cause des pneus ?) dans chaque voiture duquel une babouchka gère un grand samovar et vous sert du thé à la demande, puis, le lendemain, visite de l’Ermitage, dans lequel il faudrait rester une semaine au moins, et tour de Léningrad en car, avec l’inévitable croiseur Aurore.

 

Pour finir, veuillez contempler la photo de Jacques Stern en pleine visite de l’Ermitage.

 

Nous sommes ensuite rentrés en avion à Moscou, puis à Paris.

 

Jacques Stern en visite au Musée de l’Ermitage

 

CONCLUSION

 

De tous mes séjours en Union Soviétique et des nombreuses discussions que j’avais eues, j’avais retiré une certitude très forte : la réunification de l’Allemagne serait pour eux un vrai casus belli. Et je me disais que l’Europe ne serait vraiment l’Europe qu’à deux conditions : que l’empire soviétique disparaisse, et que les Anglais soient obligés d’apprendre l’américain comme langue étrangère pour aller aux Etats-Unis, après que les deux langues eussent beaucoup divergé. Je mettais les deux évènements à la même échéance c’est-à-dire dans très longtemps, et je me suis trompé : il n’y a pas eu de guerre pour l’Allemagne, l’empire soviétique a disparu (merci Gorbatchev), et les Anglais finissent par être européens.

FIN

                                          Fin du troisième épisode.José Bourboulon

 

 

 

 

 

 

 

Groupe Histoire.

 

 

L’AVENTURE GAMMA 60

 

 

Des nouvelles de « L’Aventure Gamma 60 », épisode n°3.

 

 

La phase de collecte de la « documentation vivante », c’est-à-dire les interviews, est maintenant terminée ; malheureusement, je n’ai pas pu obtenir de rendez-vous avec Bernard Jeandidier. La phase de collecte des informations archivistiques est très avancée ; ni les vacances, pendant lesquelles j’ai pas mal travaillé, ni la fermeture pour désamiantage des Archives Départementales de Bobigny où sont soigneusement rangées et classées les archives de Bull ne m’ont retardé car j’avais accumulé un gros stock de données que j’ai maintenant épuisé. Ce que nous avons déjà et qui est prêt à l’impression représenterait aujourd’hui 238 pages et ce n’est pas fini : l’éditeur ne veut pas plus de 250 pages, je lui en ai annoncé 280. L’objectif est de respecter le prix de 35 € annoncé. Quant au délai, j’avais, en mars 2003, demandé deux ans, et ce sera presque le cas.

 

Les clients ou prospects déjà rédigés sont les suivants : AG Vie, EDF, Péchiney, Au Printemps, SNCF (manque l’analyse du dossier Bull), la RTT, le CEA, Mitsubishi et les deux affaires ratées à Grenoble. L’Union, la GMF et le TLF sont commencés. Le chapitre sur « Le Gamma 60 et IBM » est terminé.

 

Georges Vassallo a accepté, avec Robert Albaret, d’écrire quelques pages sur l’ambiance à la Direction Technique Fabrication au temps du Gamma 60, et Jean Rollet d’en faire de même sur son laboratoire d’électronique. Nous aurons vraiment un « ouvrage collectif » !

 

A suivre,

José Bourboulon, le 22 novembre 2004.

 

 

 

Les conférences GCOS 7

 

 

Comme annoncé dans notre dernier numéro, les 3 conférences sur GCOS 7 organisées à l’occasion du 30ème anniversaire de ce système se sont déroulées suivant le programme prévu et annoncé également dans notre dernier numéro, en présence d’une assistance nombreuse et attentive.

 

 

La prémière session était animée par Jean Pierre Brulé qui a présidé aux destinées de Honeywell Bull et de CII-Honeywell Bull de 1970 à 1981, c'est à dire pendant les périodes les plus importantes pour le projet, sa genèse et son développement, et qui l'a toujours soutenu contre vents et marées.

 

Nous avons entendu successivement 

 

 

Pierre Davous, Directeur Technique de Bull jusqu'en 1970, qui a vécu en direct tous les évènements souvent dramatiques qui ont précédé et accompagné le démarrage du projet nous a planté le décor.

Marc Bourin, Directeur Général du projet qu'il a mené avec une détermination sans faille, déjouant toutes les embûches, et depuis sa genèse jusqu'a son plein  épanouissement, nous en a conté toutes les péripéties.

 

 

Gérard Louzier, successivement directeur des développements logiciels et chef de la ligne de produits DPS 7 nous a brossé la vie commerciale riche et complexe du système.

Enfin, Christian Goursaud, qui après d'importantes activités de support chez Bull est aujourd'hui l'un des principaux responsables de l'informatique du Ministère de l'Intérieur nous a montré que le DPS 7 y a de très importantes applications et demeure inégalé en termes de sécurité, de fiabilité et d'intégrité.

 

 

La deuxième session qui présentait plus en détails les choix architecturaux et le logiciel était animée par Claude Kaiser, professeur au CNAM. Présentées par les principaux architectes du système, les conférences  étaient d'un haut niveau technique et nous ont fait comprendre pourquoi ce système conçu il y a plus de 30 ans est encore compétitif aujourd'hui. Nous avons entendu successivement :

Jean Bellec, ancien responsable des développements de GCOS 64 a rappelé les objectifs de l'architecture, dont les grandes lignes sont dues à Georges Lepicard, et les options techniques choisies pour les atteindre.

 

 

Claude Carré, ancien responsable de l'architecture du système en a présenté les grandes lignes..

Jacques Printz, ancien chef du département langages de GCOS 7 et aujourd'hui  professeur au CNAM a présenté les langages et les bases de données.

 

 

Claude Rolland a présenté successivement les communications et les développements d'applications, dont il a été responsable sur GCOS 7.

Enfin Daniel Poirson, qui a été responsable de développements logiciels puis du Planning et Marketing GCOS 7 a successivement présenté les émulateurs (au nom de Bernard Chuet qui en avait été responsable) et OPEN 7, qui permet d 'utiliser Unix sous GCOS 7.

 

La troisième session a été marquée par la remise au musée des Arts et Métiers d’un échantillonnage de la technologie du DPS7 s'étendant sur plus de 25 ans. 

La cérémonie a été ouverte par Gervais Péllissier, président de Bull, qui a insisté sur l'importance que Bull - en plein redressement - attache  à la mise en valeur de son patrimoine, sur lequel il s'appuie pour continuer sa progression dans l'excellence et l'innovation, qui ont été les grandes caractéristiques de GCOS 7 qui toujours bien vivant, entre aujourd'hui dans l'histoire.

 

 

Puis Michel Guillemet, directeur des études, a procédé au don proprement dit et a très rapidement décrit les grandes  étapes technologiques qu'il matérialisait.

 

Daniel Thoulouze, Directeur du musée a répondu en indiquant sa satisfaction de voir entrer dans son musée un grand témoignage de la technologie française et a insisté sur l'importance de la mission  qui est la sienne, en liaison avec tous les acteurs de la protection du patrimoine  de diffuser dans le public et surtout dans la jeunesse une réelle culture scientifique. Il a conclu en remerciant pour ce don qui entre dans le patrimoine national « pour l’éternité »

 

Après la signature officielle des actes, les conférences ont commencé, dirigées par Jacques Weber, ancien directeur de la CISI puis directeur général adjoint chez Bull.

Nous avons écouté successivement :

 

Michel Guillemet qui a fait toute sa carrière dans GCOS 7 dont il est un des meilleurs architectes nous a montré les évolutions de l'architecture des processeurs, sur plus de 20 ans, qui lui ont permis de rester à la pointe du progrès jusqu'a nos jours.

 

 

Christian Joly, entré chez Bull comme agent technique et sorti comme directeur général technique, a brossé leur évolution dans l'innovation permanente et la rigueur, au niveau mondial :

" le soleil ne se couchait pas sur l'empire DPS 7".

 

Jean Bellec, qui était déjà intervenu dans la deuxième session, nous a fait deux exposés :

Les sous systèmes périphériques et de communications, sans lesquels un système informatique n'est rien et dont le nombre et la complexité sont impressionnants.

La coopération avec NEC qui a toujours été un partenaire privilégié de Bull.

 

Daniel Poirson, que nous avons également déjà entendu nous a montré comment les études de Bull ont su faire tourner GCOS 7   sur des processeurs standards, alliant ainsi leur rapport performance / prix incomparable et ses qualités propres de sécurité et de disponibilité.

 

 

 

Enfin Xavier Stefani qui a occupé chez Bull des postes de direction dans les études logicielles et matérielles et au support, a rappelé dans un exposé chaleureux quelle grande aventure humaine a été le développement de GCOS 7.

 

Michel Guillemet a conclu en montrant quel formidable creuset de compétence constitue cette équipe qui a permis entre autres le développement d'un chip de 60 millions de transistors à la base d'un serveur 64 bits à 32 processeurs Itanium (projet FAME / Novascale).

 

En conclusion :

 

On peut dire que ces conférences ont été un indéniable succès et qu’elles constituent non pas un aboutissement mais le commencement d’une grande œuvre.

 

D’abord un très gros travail a été réalisé par les orateurs qui n’oubliont pas, ont été les acteurs et les responsables du projet. Il convient donc de leur donner la diffusion qu’ils méritent :

 

·         Rédaction et édition d’une monographie complète.

·         Rédaction d’une synthèse et de résumés pour diffusion dans des revues spécialisées

·         Diffusion sur les sites web des organisations concernées etc.


Mais surtout il convient de recenser les sujets qui ont été négligés ou incomplètement traités. En particulier :

 

·         Les applications et l’utilisation par les clients. Il faut compléter le remarquable exposé de C. Goursault par quelques exemples de clients importants ou typiques.

·         Les réseaux. Les contrôleurs de communications ont bien été traités mais les développements autour de DSA  exemple de réseau distribué ne l’ont pas été.

·         Les outils de développement du matériel (simulation, placement, vérification) qui ont été utilisés de façon  intensive et ont permis un développement rapide et une bonne sécurité de fonctionnement dès la livraison.

 

Nous faisons un appel pressant aux personnes intéressées par ces sujets (ou par d’autres qui leur paraîtraient oubliés ou incomplètement traités) à nous rejoindre dans cet important travail de mémoire.

 

Enfin, nous tenons à remercier sincèrement :

 

-            Jean Pierre Brulé, Claude Kaiser et Jacques Weber qui ont animé les 3 sessions ainsi que tous les orateurs,

-            la FEB, en particulier Daniel Poirson et Jean Bellec,

-            et le musée des Arts et Métiers, tout spécialement Daniel Thoulouze et Edith Deroche qui nous a apporté une aide inestimable.

Le responsable des conférences GCOS 7 Daniel POIRSON.

 

 

 

Le colloque de Rennes

 

Comme annoncé dans nos numéros précédents, le septième Colloque sur l'histoire de l'informatique et des télécommunications s’est tenu suivant le programme prévu dans nos numéros précédents. Rappelons qu’il était organisé par l'Ecole supérieure d'application des transmissions, à l'occasion de l'inauguration de son Musée des transmissions, en collaboration avec L'AHTI, l'AAMTAT, l'IRISA/INRIA-Rennes, l'ACONIT, l'ARMORHISTEL, la Région Bretagne et la F.E.B.

 

 

 

Comme de coutume la F.E.B. a pris une part active à ce colloque :

·              Participation au comité scientifique de Jean Bellec qui a également fait une communication remarquée sur l’évolution des outils de l’ingénieur.

·              Prêt à l’exposi-tion temporaire de matériels liés aux thèmes de l’exposition (Micral N, portable militaire, lecteur de cartes à puce).

·              Mise en dépôt au musée de matériels mécanographiques.(une Pelerod et une trad cc)

·              Importante participation des membres de la FEB au colloque (9 personnes).

 

L’ensemble des participants s’est plu à reconnaître la parfaite organisation, et la qualité des exposés. J’ai quant à moi particulièrement apprécié la franchise des exposés auxquels j’ai assisté, d’où toute langue de bois était exclue, et l’atmosphère de sympathie et de mutuelle compréhension qui présidait aux discussions.

 

Un regret toutefois : la qualité de ce colloque méritait une audience plus large. Nous avons un effort à faire pour améliorer la publicité faite à nos manifestations.

Vous trouverez ci-dessous les impressions de Jean Bellec.

 

A noter également le lendemain du colloque l’inauguration solennelle du Musée des Transmissions en présence de nombreuses personnalités, en particulier le maire de Rennes et le chef d’état major de l’armée de terre.

F. Holvoet-Vermaut

 

 

Ce colloque s'est tenu dans les locaux neufs du musée des Transmissions (Espace Ferrié à Cesson-Sévigné en banlieue Est de Rennes)

 

Ce musée sera ouvert au grand public au début de l'an prochain et si nous n'en avons fait qu'une visite rapide où la totalité des collections n'était pas installée, je pense que ce musée technologique incorporant informatique et télécommunications civiles et militaires méritent plus qu'une simple halte sur la route de vos vacances en Breiz Izel.

 

Le contenu du colloque m'a semblé en progrès sur les précédents auxquels j'ai assisté. Certes le nombre de participants (42) est resté aussi modeste, distance oblige, mais en ce qui concerne les présentations, leur qualité et probablement aussi leur homogénéité est devenue plus grande. Il n'y a pas eu cette fois de communications extra françaises, qui parfois étaient accueillies par politesse.

 

La participation des anciens de Bull a été conforme à ce que j'estime être leur poids dans l'histoire de l'informatique française, près du tiers des participants, si j'y inclus les anciens actuellement dans d'autres entreprises.

 

La part donnée à GCOS7 y a été moins importante que je l'aie espérée, probablement le temps a manqué à Pierre Mounier Kuhn pour digérer avec le recul d'un historien les infos délivrées dans les séances du CNAM. Cependant, on put noter que la salle a apprécié la franchise des interventions de la mini table ronde et tant les universitaires présents que les utilisateurs ont commencé à reconnaître  la valeur de GCOS, certains ont même regretté n'avoir pu l'utiliser en temps utile comme base de leurs recherches.

 

Bretagne et Musée des transmissions obligent, la part de l'histoire du CNET a pris une part importante du colloque. La nostalgie du passé a été encore plus grande que dans l'informatique. De nombreux pans de l'industrie des communications ayant été cédé depuis la fin des années 1980, les régions de Lannion et de Rennes ayant subi des contractions d'emploi importantes. Cependant, d'avoir essentiellement la vue des ingénieurs lanionnais permet de saisir les difficultés de la DGT à offrir une stratégie technique continue.

 

On notera une présentation par son fondateur André Michaud sur les débuts de Transac dans les distributeurs bancaires et les terminaux lourds interactifs mais comme intégrateurs de produits suédois ou américains (Incoterm). Il restera à mieux décrire la phase où Transac a essayé de devenir un constructeur de minis "me-too" et d'évaluer s'il y avait vraiment de bonnes raisons d'en forcer l'intégration dans le groupe Bull en 1982.

 

Enfin un ensemble de présentations sur la cryptographie, la virologie et la sécurité des cartes à puces mériteront non seulement la lecture mais des réflexions que je m'essaierai d'initialiser plus tard.

Jean Bellec

 

 

 

F.E.B. club GENEALOGIE.

 

 

Parution du Hors-Série N° 4 de la Revue Française de Généalogie.

 

700 SITES d'organismes ou de particuliers, présentés et décrits, pour surfer malin.

 

 

120 LOGICIELS répertoriés et commentés, pour gérer les généalogies et aussi pour les dépouillements.

 

 

140 CD-Rom cités qui regroupent une masse d'informations (bases de données, calendriers, histoire, cartes de Cassini, cartes postales, etc…)

 

 

30 MINITEL proposant des services nationaux ou régionaux.

 

On notera la nette augmentation des sites au détriment du minitel.

 

Cet ouvrage est consultable, lors des permanences, à Massy.

Pour ceux qui n'ont pas cette possibilité, nous en indiquons les références :

 

INFORMATIQUE, INTERNET, GENEALOGIE

3e édition – 2004

Format 170 x 220, 200 pages, 8 €

 

Revue Française de Généalogie

12 rue Raymond Poincaré, 55800 REVIGNY

Tél : 03 29 70 56 33  

e-mail : rfg@martinmedia.fr et

www.rfgenealogie.com

 

EVALUATION DES LOGICIELS

 

Une enquête d'évaluation de 16 logiciels de généalogie, vient de paraître.

Elle s'adresse en priorité à ceux qui se préparent à acheter un nouveau logiciel.

On peut la trouver dans la revue GE-MAGAZINE, N° 241, octobre 2004, elle est consultable à Massy, lors des permanences, et aussi vendue en kiosques.

Jean VIDAL


 

Le tour du monde en 24 albums :

Les aventures de TINTIN et MILOU

 

TINTIN : L’oreille cassée.

 

1935

Le 5 décembre 1935, paraît dans Le Petit Vingtième, la sixième aventure de Tintin. Avec L'Oreille cassée, Hergé envoie son reporter en Amérique du Sud, à la recherche d'une statuette volée au Musée ethnographique de Bruxelles. Pour la première fois, il fonde son récit sur une idée de scénario. En apparence, cette aventure ressemble à une enquête policière où le fétiche arumbaya joue le rôle du « Mac Guffin », comme dirait Hitchcock. Le philosophe Michel Serres écrira à propos de cette intrigue basée sur une série de substitutions, qu'il « en a plus appris sur le fétichisme que chez Freud, Marx ou Auguste Comte, voire le président de Brosses ». Sur le plan narratif, l'intrigue est échevelée. Une fois en Amérique latine, Tintin se retrouve rapidement mêlé aux rixes révolutionnaires opposant le San Theodoros au Nuevo Rico. Alors que jusqu'à présent Hergé avait nommé les pays visités par Tintin, voici qu'il choisit de les camoufler. On peut cependant reconnaître le conflit sanglant qui opposa la Bolivie au Paraguay entre 1932 et 1935. Le fameux fétiche arumbaya, quant à lui, est inspiré d'une statuette en bois précolombienne originaire du Pérou, représentation d'une idole Chimu (entre 1200 et 1438). Chose inhabituelle, deux meurtres sont commis. On croise rapidement un marchand d'armes célèbre, sir Baril Zaharoff (qui deviendra B. Mazaroff puis Baril Bazaroff dans la version couleur), on fait également la connaissance du général Alcazar, irascible guérillero portant éternellement une barbe de trois jours. Autre incongruité, Hergé met en scène dans une case unique et inattendue la descente aux enfers de Ramon Bada et Alonzo Perez, emportés par trois petits diablotins. Quant à Tintin, outre le fait qu'on découvre son adresse, 26, rue du Labrador à Bruxelles, il prend sa première cuite à la Tequila après avoir échappé de peu au peloton d'exécution!

 

TINTIN : L’Ile noire.

 

1937

Début avril 1937, Hergé fait un court voyage à Londres et visite la côte sud de l’Angleterre. Amusé par l'idée d'affubler Tintin d'un kilt écossais, il envoie Tintin et Milou dans le Sussex à la poursuite de faux-monnayeurs aux ordres d'un certain docteur Müller, espion infiltré à la solde de la Cinquième colonne. L’infâme Müller sort tout droit d'un numéro du Crapouillot datant de février 1934. Hergé avait en effet découvert l’existence de Georg Bell, Ecossais naturalisé Allemand, lié au parti nazi ayant trempé dans une affaire de contrefaçon de roubles visant à déstabiliser l'Union soviétique. Autre source d'inspiration : le film d'Hitchcock tourné en 1935, Les 39 Marches. Quant au gorille Ranko, c'est un mélange de King Kong et des légendes sur le monstre du Loch Ness. L’Ile noire est la seule aventure de Tintin à avoir connu trois versions : la première en noir et blanc (1938), la deuxième en couleur (1943) et la troisième, radicalement corrigée, éditée en 1966. Cette refonte effectuée en collaboration avec Bob De Moor et les Studios Hergé répondait à une demande de l'éditeur londonien Methuen, qui avait relevé 131 erreurs de détails dans l’album. Au final, une version « davantage basée sur une observation attentive que sur l’inspiration imaginative d Hergé »  (Michael Farr). Le souci de réalisme a tout bonnement étouffé la poésie et la spontanéité du trait d’Hergé.

Quel dommage !

 

TINTIN : Le Sceptre d’Ottokar.

 

1938

Pour Hergé, Le Sceptre d'Ottokar est l'album de la maturité politique. L'intrigue commence pourtant pianissimo par la découverte d'une simple serviette sur le banc d'un parc bruxellois. De là, Tintin part pour la Syldavie où il finit par déjouer un coup d'Etat visant le roi Muskar XII.

Nous sommes en 1938. Le contexte de tension politique est croissant, alors qu'Hitler vient de proclamer « l’Anschluss », l'annexion de l'Autriche. Hergé le dit lui-même « L histoire du Sceptre d'Ottokar est celle d'un « Anschluss avorté » ». Perfectionnant sa méthode mise au point dans L'Oreille cassée, il imagine deux nations condensées à partir de plusieurs pays des Balkans, la Syldavie et la Bordurie. II va même jusqu'à inventer la devise nationale syldave : « Eih bennek, eih blavek » qui signifie à peu près « Qui s'y frotte s'y pique ». Michael Farr note, pour l'anecdote, qu'il a retrouvé dans le British Journal of Psychology, datant de 1937, un article signé Richardson où l'on raconte « le conflit hypothétique opposant le petit royaume Syldavia face à la puissance annexionniste Borduria ».

C'est dans cet épisode que Tintin rencontre pour la première fois Bianca Castafiore, le rossignol milanais qui lui chante L'air des bijoux du Faust de Gounod. Pour la transposition couleur en 1947, Edgar P Jacobs, créateur de Blake et Mortimer, sera chargé de « balkaniser » les décors. Hergé en profitera pour se dessiner avec Jacobs en uniforme vert à brandebourgs or, dans la planche 59, lors de la réception triomphale de Tintin par Muskar XII. La gloire !

A suivre avec : Victoire… !  Rackham le rouge est liquidé»

Articles par Olivier Delcroix.

 

 

Dictionnaire des personnages : Le petit Tintin illustré.

 

CONCIERGES

 

Des concierges, à la rigueur des pipelettes ; à aucun prix des gardiennes d'immeuble ou des techniciennes de surface : Mme Pinson pour Tintin, Mme Pirotte pour le professeur Halambique, quelques autres plus anonymes. Traits communs d'identification pour le portrait stéréotypé de la confrérie : minces, longues, sèches, commères du quartier, véhicules des potins domestiques et des variations du baromètre, pions enjuponnés à l'école de plein vent, maîtresses de balai, ennemies jurées de la sœur poussière: A un pôle de l'imaginaire adolescent et de sa mythologie : la bonne femme ; à l’autre, la grande dame. La rue et le salon. Le ras du sol et le haut du pavé. La chansonnette de Mimi Pinson et l’opéra bouffe de Bianca Castafiore. Deux accents de la vie, la même futilité bavarde et le même regard ironique sur la comédie humaine. Manque la petite femme, qui eût induit en tentation l'ordre du scoutisme et peut-être, sait-on jamais, gâté la robe d'innocence de Tintin.

(L’oreille cassée, Le Sceptre d'otrokar, Le Crabe aux pinces d’or, Le Secret de la Licorne)


 

DIDI

 

Jeune homme d’une vingtaine d’années au physique d’adulte, fils de Monsieur Wang, au départ ange gardien de Tintin, puis; rendu fou par une piqûre de radjaïdjah (venin inconnu de la Brinvilliers elle-même), sabreur à tout-va, coupeur de têtes à la maîtrise aléatoire (épargnant la sienne qui, il est vrai, batifole dans les nuages) et, comme la miséricorde d'Hergé est infinie, guéri par une recette miraculeuse du professeur Fan Se-Yeng.

(Le Lotus bleu)

 

 

 

 

 

 

DUPOND(T)

 

Dans la galerie des imbéciles qu'Hergé passe en revue, les deux pignoufs macabres portent le deuil de l'intelligence. Moustaches de porcs-épics, sourcils arqués d'inquisiteurs aux abois, chapeaux melon à la mode antique, complets encrassés d'une encre gluante, figures de carême, souliers à clous et à semelles de plomb : on dirait, pour reprendre un mot de Léon Daudet, « orang suivi de oufan ».

Quand ils se déguisent, c'est pour mieux être reconnus. Quand Dupond fait une bêtise, Dupont marche dedans. Quand ils foulent le sol lunaire, c'est pour décréter que jamais encore « la main de l'homme n'y à mis le pied ». Quand l'un adresse sa supplique au roi de Syldavie : « Majesté, votre sire est bien bonne... Je veux sire... je veux dire », l'autre ajoute : « Je sirais même plus, dire, c'est à sire Majesté. »

Tout est multiplié par deux, leur nullité, leur platitude, leurs lapsus, leurs bafouillages. Ces analphabètes diplômés bégayent Joseph Prudhomme, Bouvard et Pécuchet de la flicaille assermentée.

(depuis Les Cigares du Pharaon)

 

 

 

EZDANITOFF (MIK)

 

Etymologie de son nom: en marollien, le dialecte franco-flamand des gamins de la rue de Bruxelles, Is dat niet tof, ce qui signifie, « N'est- ce pas formidable ? ». Hergé ayant connu Jacques Bergier et lu Planète, a façonné Ezdanitoff à l'image de Bergier et mis Planète en bande dessinée. La science infuse et l'imaginaire flamboyant. La cohabitation du burlesque et la magie oraculaire.

(Vol 714 pour Sydney)

 

Le petit dictionnaire à suivre par Pol Vandromme.


 La philatélie joue toujours avec le temps.

 

 

Les timbres d’usage courant en France et ailleurs de nos jours .

 

 

La poste inaugure des séries de timbres. Ils sont tous intéressants et beaux pour l’expédition de vos lettres. A vous de jouer avec un simple coup de langue derrière un timbre ou de bénéficier de son auto-collage.

 

 

 

 

En octobre ont été émis, un timbre à 0,50 € «Cathédrale de Luçon-Vendée» (1), le 0,50€ «Halloween» (5) et le 0,50 € «Résistant d'outre-mer- Félix Éboué» (2), en novembre le 0,50 € «Phare d'Ouistreham» (3).

En novembre, un carnet «Marianne d'Alger», un bloc «Capitales Européennes :

« Athènes» (12), un carnet «Meilleurs vœux», une figurine «Henri Wallon» et un timbre «Croix-Rouge» (4) vendu également en carnets.

 

Dans les DOM-TOM

Polynésie : octobre, 250 CFP «Personnage célèbre -Omai».

Wallis et Futuna novembre, bloc avec 8 timbres-poste 900 CFP «Cases traditionnelles».

 

Hors de nos frontières

• Andorre: octobre - 0,50 € «Code Postal».

• Liechtenstein: novembre, série «Dentelles de Noël» (13), série de trois timbres «Fossiles du Liechtenstein» (6).

• Monaco : octobre, bloc feuillet à 6 € «Hommage à Grâce Kelly» (9).

• Suède : octobre, série de huit timbres-poste et un bloc feuillet «50 ans de rock» (7-10).

• Suisse : novembre -1,80 FS «CIO - Nations Unies» (11) et série de quatre figurines à surtaxe «Pro Juventute» (8).

 

 

A partir du 12 novembre 2004, tous les timbres de France porteront la mention «France» et non plus «RF». Cette décision relève de l'Union Postale Universelle (UPU) demandant de faire figurer sur les timbres non pas le régime politique de l'état mais simplement le pays.

 

 

Courez vite acheter les timbres de collection pour embellir vos enveloppes que portera le facteur à vos amis.

Michel GUICHARD


Expositions F.E.B. et les autres

 

Les possibles prochaines expositions F.E.B. pour 2005.

 

Pour 2005 nous espérons toujours pour la province :

 

ANGERS,

BELFORT,

CAEN,

TRAINEL,

Et peut-être d’autres lieux.

 

Pour 2005 sur PARIS nous attendons :

 

PARIS,

PARIS – Mairie du PECQ (78),

Et peut-être aussi d’autres lieux.

 

Notez sur vos agendas nos points de rencontre 2005 ou en nous téléphonant.

 

Le groupe RER et Michel Guichard.

 

En dehors de nos expositions, allez voir les autres grandes expositions

 

 «PARIS 16e– Musée de l’Homme» :

1.                  « Premiers Hommes de Chine » ; jusqu’au 03 janvier 2005,

 

 «PARIS 6e – Musée du Luxembourg» :

2.                  « Véronèse profane, la fête de la couleur » ; jusqu’au 30 janvier 2005,

 

 «PARIS 5e – Institut du Monde Arabe» :

3.                  « Egypte, visage de Pharaon » ; jusqu’au 10 avril 2005,

 

 «PARIS 4e – Centre Georges Pompidou» :

4.                  « Sons et lumières : Une histoire du son dans l’art du XXe siècle » ; jusqu’au 10 janvier 2005,

 

«PARIS 1e – musée du Louvre, aile Sully» :

5.                  « Chefs-d’œuvre de la collection Edmond de Rothschild, dessin et estampes du XVe au XVIIIe siècle » ; jusqu’au 17 janvier 2005,

 

«PARIS 1e – musée du Louvre, aile Denon» :

6.                  « J-L David, un peintre au service de l’Empereur » ; jusqu’au 17 janvier 2005,

 

«PARIS 7e – musée de l’Armée» :

7.                  « Images du sacre de l’Empereur Napoléon » ; jusqu’au 12 janvier 2005,

 

 «PARIS 8e – Galeries Nationales du Grand Palais» :

8.                  « Images du monde flottant. Chefs-d’œuvre de l’art japonais »; jusqu’au 10 janvier 2005,

9.                  « Turner, Whistler, Monet » ; jusqu’au 17 janvier 2005,

 

Allez voir les autres grandes expositions ( suite ).

 

«PARIS 7e – musée d’Orsée» :

10.              « New York et l’art moderne. Alfred Stieglitz et son cercle, 1905-1930, et Alfred Stieglitz 1864-1946 » ; jusqu’au 16 janvier 2005,

11.              « Etienne-Jules Marey (1830-1904)» ; jusqu’au 16 janvier 2005,

 

«PARIS 6e – musée de la monnaie de Paris» :

12.              « Miyazaki - Moebius » ; jusqu’au 13 mars 2005,

 

«PARIS 19e – Cité de la sciences et de l’industrie» :

13.              « Le monde de Franquin » ; jusqu’au 13 février 2005,

 

«PARIS – VERSAILLES (78) ; Orangerie du domaine de Madame Elisabeth» :

14.              « Borduas, la magie des signes (œuvres sur papier) » ; jusqu’au 15 janvier 2005,

 

«PARIS - FONTAINEBLEAU (77) – musée du Château» :

15.              « Le Pape et l’Empereur » ; jusqu’au 24 janvier 2005,

 

«PARIS – RUEIL-MALMAISON (77) – musée du Château de la Malmaison» :

16.              « Bijoux des deux empires, mode et sentiment » ; jusqu’au 28 février 2005,,

 

«PARIS – CHANTILLY (60) ; Musée de Chantilly» :

17.              « Les chefs-d’œuvre de l’art anglais » ; jusqu’au 03 janvier 2005,

 

«France – CLERMONT-FERRAND (63) ; Parc Européen du volcanisme» :

18.              « Vulcania : à la découverte des gigantesques volcans de la planète rouge » ; an 2005,

 

«France – LILLE (59) ; Musée des Beaux-Arts» :

19.              « Portzamparc, pluriel et singulier » ; jusqu’au 10 janvier 2005,

 

«France – CATEAU (59) ; Musée Matisse» :

20.              « Matisse et la couleur des tissus » ; jusqu’au 13 février 2005,

 

«France – LYON (69) ; Musée des Beaux-Arts» :

21.              « Le Royaume d’Ougarit : aux origines de l’alphabet » ; jusqu’au 17 janvier 2005,

 

«France – BORDEAUX (33) ; Musée des Beaux-Arts» :

22.              « Goûts et saveurs baroques » ; jusqu’au 03 janvier 2005,

 

«France – COLMAR (68) ; Musée d’Art Moderne Lille Métropole» :

23.              « Roger Bissière, le sorcier du pinceau » ; jusqu’au 28 février 2005,

 

«Italie – VENISE ; Au Palazzo Grassi» :

24.              « Dali, la beauté convulsive » ; jusqu’au 09 janvier 2005,

 

«Angleterre – LONDRES; National Gallery Trafalgar Square» :

25.              « Raphaël, d’Urbino à Rome » ; jusqu’au 16 janvier 2005,

 

«Suisse – ZURICH ; Au Kunst-und Ausstellungshalle

26.              « Toutankhamon,l’or de l’au-delà » ; jusqu’au 01 mai 2005,

 

«Allemagne – BONN ; Au Kunsthaus» :

27.              « Le jardin de Monet » ; jusqu’au 27 février 2005,

Il y en a d’autres, mais voici un petit échantillon pour de bonnes et joyeuses découvertes.

Michel GUICHARD.

F.E.B.B. Belgique – Luxembourg.

 

 

Nouvelles de F.E.B.B. : On a déménagé, où en sommes-nous ?

 

Je vous rappelle que les collections de FEB Belgique-Luxembourg sont abritées depuis mars dernier dans l’entrepôt de Bull :

 

Wolverstemsesteenweg 40  B 1850  Grimbergen.

 

L’équipe a terminé de réaménager l’espace qui lui est réservé et, ma foi, l’exposition est meilleure que dans le site précédent.

Le gros inconvénient est l’absence de chauffage, pour ceux qui y travaillent et pour les machines, à cause du phénomène de condensation.

Fin novembre l’arrivée de conduites de gaz est prévue, mais on n’a pas encore de date pour l’installation d’un chauffage destiné à maintenir une température minimum. Cela nous préoccupe beaucoup.

 

Quand le temps est un peu clément,: Passez donc nous voir un de ces jeudis ou un autre jour en prenant rendez-vous. Vous pourrez ainsi nous donner quelques suggestions d’aménagement : on ne s’entoure jamais assez de visions différentes !

 

André Hanchard a terminé la mise au point de la reporteuse. Mais cette dernière refusera de fonctionner jusqu’au printemps prochain, car elle est très sensible aux variations de température : les réglages y sont très fins.

.

Nous avons aussi entamé un nouveau thème : les imprimantes. On n’en parle pas assez, or leur technique a évolué fantastiquement en 50 ans.

 

Quelques contacts intéressants ont été pris avec le Conseil Bruxellois des Musées, ceci dans le but de nous faire connaître et de collaborer avec des collections complémentaires.

Gilbert NATAN

 

 

 

F.E.B.D. Deutschland (Allemagne).

 

 

FEB Deutschland e.V. >> München war eine Reise wert!

 

Wir hatten dieses Jahr das Deutsche Museum in der Landeshauptstadt von Bayern „München“ für die „4. Mitgliederjahreshauptversammlung“ des FEB Deutschland e.V. auf Wunsch unserer Mitglieder ausgewählt.

 

Es war wieder ein voller Erfolg, denn es waren nahezu 100 Personen angereist.

 

Die Freude über das Wiedersehen mit vielen langjährigen Kolleginnen und Kollegen war bei Allen groß. „Wenn ich Dich sehe, denke ich wir hätten uns erst gestern Abend in der Firma verabschiedet“ das war der Ausspruch eines unserer Mitglieder beim Eintreffen im Hotel.

 

Es wurden aber auch über viele Erlebnisse von damals und jetzt gemeinsam ausgetauscht. Sehr viel Positives über Bull gestern und heute wurde von den Teilnehmern diskutiert. Als besonderen Ehrengast durften wir Alain LESSEUR, President FEB France in unserer Mitte begrüssen.

 

Kurzer Rückblick auf das Programm:

 

Freitag 15. Oktober

·         12.00 Uhr  Eintreffen im Hotel „Deutscher Kaiser“ am Hauptbahnhof München

·         14.00 Uhr, Film: „New York“ im IMAX-3D Kino des Deutschen Museums

·         14.45 Uhr, Umtrunk im Restaurant des Deutschen Museums

·         15.00 Uhr, Mitgliederversammlung mit Neuwahlen des Vorstands im Raum Helius des Deutschen Museums

·         17.15 Uhr Gemeinsame Fahrt mit S-Bahn nach München Pasing zum „Hotel zur Post“

·         18.00 Uhr  Gemeinsames Abendessen im „Hotel zur Post“

·         20.00 Uhr Aufführung eines Volksstückes „Pension Schöller“ > Weiß-Blaue Bühne

Samstag 16. Oktober

·         10.00 bis 13.00 Uhr München Stadtrundfahrt mit Autobus und geführter Besichtigung des Schlosses Nymphenburg

 

Kurzer Ausschnitt aus dem Protokoll der Mitgliederjahreshauptversammlung:

 

Bericht der Kassenprüfer:

 

Herr Klenk berichtet über die Prüfung des Zeitraumes 1.Jan. 2003 bis 30.Juni 2004.

Vorstand wird durch die Mitgliederversammlung entlastet.

 

Neuwahlen des Vorstandes:

 

Wahlleitung Herr Rothweiler.

Gewählt wurden:

 

1.         Vorsitzender: Herr E. W. Müller, gewählt mit 1 Enthaltung

2.         Stellvertreter: Herr O. Gross, gewählt mit 1 Enthaltung

3.         Schatzmeister: Herr O. Raaz, gewählt mit 1 Enthaltung

4.         Schriftführerin: Frau I. Vogt, gewählt mit 1 Enthaltung

 

Neuwahl der Kassenprüfer:

 

1.          Kassenprüfer: Herr R. Kempf, gewählt mit 1 Enthaltung

2.          Kassenprüfer Frau E. Rosendahl, gewählt mit 2 Enthaltungen

3.          Ersatzkassenprüfer: Herr O. Nieder

Alle Gewählten nahmen die Wahl an und unser Beirat Heinrich Rothweiler schließt den Wahlvorgang.

 

Aktivitäten  in 2005 > Planung

 

Wo soll die nächste Mitgliederversammlung stattfinden?

Vorschläge: 1. Dresden

                    2. Hamburg

                    3. Paris

                    4. Elsass

Die Vorschläge zum nächsten Ort unserer Mitgliederversammlung werden schriftlich vorgelegt und die Mitglieder gebeten darüber abzustimmen.

 

Unser herzlicher Dank für das gute Gelingen unseres „München Events“ geht an

Frau Marlies Tücking, München und Herrn Heinrich Rothweiler, Köln.

 

Der Vorstand

 

 

Article de Egon W.Müller.

 

Traduction du texte allemand en français par Alain Lesseur.

 

F.E.B. Deutschland  e.V.      >> Munich valait le voyage !

 

Nous avions choisi cette année le Deutsches Museum dans la capitale de la Bavière, "Munich", pour la quatrième Assemblée Générale annuelle des membres de la F.E.B. allemande, suite à leur choix.

 

Ce fut à nouveau un plein succès, car nous avons compté presque 100 participants. 

 

La joie était grande de revoir beaucoup de collègues de longue date. "En te voyant, j’ai l’impression de t’avoir vu encore hier soir à la compagnie" fut l’expression prononcée par l’un de nos membres en arrivant dans l'hôtel.

Les échanges portent  sur beaucoup d'expériences communes passées et présentes. C’est vraiment très positif de voir les participants commenter le Groupe Bull d’hier et d’aujourd'hui.  En tant qu'hôte d'honneur particulier, nous avons pu saluer parmi nous Alain LESSEUR, le Président de la F.E.B. en France.

 

Courte rétrospective du programme:

 

Vendredi 15 octobre

12.00 heures         arrivée à l'hôtel "Deutscher Kaiser" à la gare centrale de Munich

14.00 heures         film:  "New York" dans le cinéma Imax-3d du Deutsches Museum 

14.45 heures         pot dans le restaurant du Deutsches Museum

15.00 heures         Assemblée des membres, avec les élections du bureau, dans la salle Helius du Deutsches Museum   

17.15 heures         déplacement en commun par le réseau express régional à Pasing, quartier  de Munich, à l'"Hotel zur Post"

18.00 heures         dîner en commun à l’hôtel

20.00 heures         représentation d’une pièce populaire "Pension Schöller" sur la scène  " blanc-bleu"  (couleurs de la Bavière).

 

Samedi 16 octobre

10.00 à 13.00 heures

                      tour de Munich en autobus et visite guidée du château Nymphenburg

 

Court résumé de l'Assemblée Générale annuelle des membres :

 

Rapport des commissaires aux comptes :

Monsieur Klenk fait un rapport sur l'examen de la période 1er Janvier 2003 au 30 Juin 2004.

La gestion du bureau (comité directeur) est approuvée par l'assemblée des membres.

 

Élections du bureau (comité directeur) :

Conduite du vote :  Monsieur Rothweiler.

Ont été élus : 1. Président :  Monsieur E. W. Müller, élu à l’unanimité moins 1 abstention,

2. Vice-président :  Monsieur O. Gross, élu à l’unanimité moins 1 abstention, 

3. Trésorier :  Monsieur O. Raaz,  élu à l’unanimité moins 1 abstention, 

4. Secrétaire :  Mme I. Vogt,  élue à l’unanimité moins 1 abstention.

 

Élection des commissaires aux comptes : 

1. Commissaire aux comptes :  Monsieur R. Kempf, élu à l’unanimité moins 1 abstention, 

2. Commissaire aux comptes :  Mme E. Rosendahl, élue à l’unanimité moins 2 abstentions, 

3. Commissaire remplaçant :  Monsieur O. Nieder.

 

Tous les postes étant pourvus, notre conseiller consultatif, Heinrich Rothweiler, ferme la session de vote.

 

Activités en 2005     > planning

Où aura lieu la prochaine Assemblée Générale annuelle des membres ?

Propositions:  1.  Dresde

2.  Hambourg

3.  Paris

4.  Alsace

Les propositions concernant le prochain lieu de notre assemblée seront présentées par écrit, et les membres seront consultés sur le choix.

 

Nos cordiaux remerciements pour la bonne réussite de notre "manifestation munichoise" s’adressent à Mme Marlies Tücking de Munich, et à Monsieur Heinrich Rothweiler de Cologne.

Traduction du texte allemand en français par Alain Lesseur.

 

 

 

Retrouvez les échos de la F.E.B..

 

La télécommande multimédia.

 

Grâce à elle, on peut piloter son PC à distance et retrouver, d'une touche, le fichier souhaité

 

Bien plus qu'une télécommande, le PCTV MediaCenter lancé par Pinnacle Systems est une solution complète, qui permet à tout utilisateur de PC de transformer celui-ci en véritable centre multimédia numérique. Pour quoi faire? Simplement pour accéder plus facilement et rapidement à tous ses fichiers multimédias.

Une idée plus que pertinente, quand on voit l'engouement du grand public pour les appareils photo numériques, les caméscopes et les lecteurs DVD, qui en viennent à transformer l'ordinateur familial en une énorme unité de stockage numérique.

D'où le casse-tête et la lenteur à retrouver parfois le dossier recherché. Ainsi, en habile gestionnaire, le PCTV MediaCenter permet de gérer à distance, à partir d'une simple télécommande, tous ses fichiers MP3, photos numériques, DVD, vidéos téléchargées sur Internet ou capturées par un caméscope. Non seulement cela, mais il permet aussi de regarder et d'enregistrer ses programmes télévisés préférés!

 

En effet, composé d'un tuner TV (ou d'une carte tuner TV, en fonction du modèle) -associé au gestionnaire de fichiers et à la télécommande - le coffret PCN MediaCenter dispose de fonctions avancées:

1.         gravure intégrée des émissions de télé,

2.         guide de programmation électronique,

3.         télétexte ;

4.         recherche automatique des canaux et reconnaissance automatique des noms de chaînes (seulement sur le modèle 100i),

5.         timeshifting,

6.         ou encore conversion des CD audio en fichiers MP3.

 

Existe en deux versions: la solution interne PCTV MediaCenter 100i (carte PCI) au prix de 99 € ou le boîtier externe PCTV MediaCenter 100e au prix de 129 €. Infos sur le site (www.pinnaclesys.com , disponible dans tous les magasins d'informatique.

Delphine DE MALLEYOÜE

 

 

Le 3939 : Une bonne idée à roder

 

 

Depuis le 4 octobre, un numéro « magique », instauré par le gouvernement, est censé répondre à toutes vos questions d'ordre administratif. Nous l'avons testé...

 

« Le succès du lancement du 3939 est tel que nous ne pouvons pas répondre à tous les appels. Merci de bien vouloir renouveler votre appel ultérieurement. » Le 3939, numéro de téléphone unique pour tous les renseignements administratifs*, a été lancé le 4 octobre. Dans la semaine qui a suivi, l'usager devait faire preuve de persévérance avant d'obtenir un interlocuteur. La nouvelle ligne, baptisée « Allô, service public », était visiblement victime de son succès. « C'est hallucinant! s'étonne Eva Menzel, chargée de communication au secrétariat d'Etat à la réforme de l’Etat, maître d’œuvre de l'opération. Le jour du lancement, nous avons reçu 100.000 appels, soit plus qu'en un an d'expérimentation dans les régions Rhône-Alpes et Aquitaine! »

Aussi efficaces soient-ils, les 60 téléopérateurs - ils sont 80 aux heures de pointe - n'ont donc pu éviter l'attente aux personnes en quête d'informations. Mais s'il renouvelle son appel, et s'il prend la peine de patienter quelques minutes, l'usager est toutefois sûr de recevoir un bon accueil et d'obtenir des conseils avisés.

 

Encore quelques légers défauts à régler

 

Nous avons testé le numéro 3939, à raison d'une question par coup de fil, comme le veut la règle. Attente comprise, il n’aura fallu, en moyenne, que cinq minutes pour obtenir une réponse à chaque question. Par exemple:

 

·                 Quelles démarches suivre pour installer un Vélux sur le toit de sa maison ?

·                 Quel recours en cas de nuisances sonores dans le voisinage ?

·                 Quelles sont les réclamations possibles quand un vêtement confié à un pressing a subi des dommages ?

 

Pour une question plus pointue (scolarisation d'un enfant handicapé), le téléopérateur nous a suggéré des pistes, avant de nous orienter sur un numéro de téléphone spécialisé.

Seule une recherche qui nous semblait anodine (quels papiers administratifs produire pour vendre un scooter de particulier à particulier ?) s'est révélée fastidieuse. Ce n'est qu'après quarante minutes, et quatre interlocuteurs différents, que notre testeur a fini par obtenir les informations demandées... A 0,12 euro la minute, cela fait 4,80 euros !

 

« Ces défauts dans la qualité de la réponse devraient se régler rapidement », assure Eva Menzel. Quant à l’embouteillage d'appels, il devrait se résorber quand la période de lancement sera passée. Le nombre d'appels devrait se stabiliser autour de 10 000 par jour. « D'ici au 18 octobre, nous devrions pouvoir tenir la promesse d'un accueil au bout de trois sonneries », affame la chargée de communication.

 

En l'occurrence, les créateurs du 3939 n'ont fait que se calquer sur une expérience similaire, déjà menée au Canada. « Il aura fallu un an aux Canadiens pour roder leur initiative, rapporte Eva Menzel. Nous avons étudié leur expérience. Nous serons prêts plus vite.

 

* Le 3939 est accessible de 8 h à 19 h en semaine, et de 9 h à 14 h le samedi, au tarif d'une communi-cation locale (0,12 € la minute, à partir d'un téléphone fixe).

Marie-Christine VIDAL

 

 

 

Technologie : haut débit, Les zones rurales  veulent aussi.

 

L'internet à grande vitesse pour tous en France est devenu l'objectif pour les prochaines années. Seulement, la couverture des zones rurales reste un véritable défi technologique qui ne peut être relevé avec l'ADSL ou le câble. Une nouvelle norme pourrait pourtant changer la donne. Son nom ? Le Wimax.

 

La tenue du Comité interministériel pour l'aménagement du territoire (CIADT), réuni à Matignon le 14 septembre, a été l'occasion de fixer un certain nombre d'objectifs pour faire entrer la France définitivement dans l'ère de l'Internet haut débit. Jean-Pierre Raffarin a souligné, à cette occasion, que le développement du haut débit « conditionne l’attractivité, la compétitivité et le désenclavement des territoires ». Aujourd'hui, si les zones urbaines connaissent une couverture acceptable en la matière, force est de constater que les communes rurales, voire certains quartiers éloignés des grandes villes, restent encore sur le bas-côté des autoroutes de l'information. Au 15 juin 2004, près de 20.000 communes, soit plus de deux fois plus qu'à la fin de 2002, avaient totalement ou partiellement accès à des connexions permanentes à Internet. Cela représente environ 50 millions de Français, soit 83 % de la population. Il reste que l'on est loin d'avoir couvert les 36 000 communes françaises, puisque même avec un taux de couverture de 95 % de la population, 15 000 communes ou parties de communes françaises ne seraient toujours pas couvertes. Le plus dur reste donc à faire. Le CIADT fixe des objectifs précis pour pallier ce déficit. D'ici à la fin 2005, la couverture en haut débit à 512 Kbit/s (offre ADSL classique) devra concerner au moins 95% de la population nationale et 70% de la population de chaque département. Par ailleurs, 85% des Français devront avoir accès à l'Internet à 2 Mbit/s (soit 4 x 500 Kbit/s).

 

Une première étape avant d'atteindre un objectif encore plus ambitieux pour la fin de l'année 2007. Le CIADT souhaite, en effet, que dans les principales zones d'activité, notamment les pôles de compétitivité, les entreprises puissent bénéficier, à un coût acceptable, d'offres à 100 Mbit/s. Chaque commune devra, en outre, disposer d'offres de connexion permettant à 80% de ses habitants d'accéder à l’Internet à 2 Mbit/s et aux services associés, tels que l’accès au téléphone ou à la télévision sur Internet et, lorsque la densité de la population ou (importance de l'activité économique le permettent, d'un accès à tous les services à haut débit, notamment des accès à 5 Mbit/s. Pour leur part, les petites communes isolées devront pouvoir bénéficier d'au moins une connexion Internet à la mairie et dans un autre point de la commune - école, commerce, etc. - afin de permettre notamment à leurs habitants d'accéder aux services publics en ligne. Mais pour atteindre ces objectifs, la technologie ADSL, la plus utilisée aujourd'hui en matière de haut débit, atteint ses limites. Pour fonctionner correctement, elle ne peut être déployée que dans un périmètre restreint autour des centraux téléphoniques de France Télécoms. Lorsqu'une habitation se situe à quelques kilomètres de ce dernier, ce qui est le cas en zone rurale, il est impossible de la raccorder à haut débit par ce biais.

 

Pour l'heure, seule une liaison Internet par satellite permet de toucher les zones les plus reculées, mais les coûts d'une telle solution sont prohibitifs, tant du point de vue de l'équipement (environ 1.700 €) que de l'abonnement au service (près de 150 € par mois). Mais une nouvelle technologie, qui vient d'être normalisée à l'échelle internationale, pourrait s'avérer providentielle pour couvrir ces zones : le Wimax (World Interoperability for Microwave Access). Elle utilise en fait les voies hertziennes (comme la télévision) pour véhiculer Internet et permettre une couverture élargie, dans un rayon d'une cinquantaine de kilomètres de la borne d'émission, à un débit théorique de 70 Mbit/s. Dans la pratique, on estime que les utilisateurs pourront disposer en fait d'un débit de 10 Mbit/s, dans un rayon d'une vingtaine de kilomètres, ce qui est plus qu'honorable. Ainsi, Wimax semble pouvoir répondre aux attentes des collectivités locales en mal de haut débit.

 

Certains se sont d'ores et déjà lancés dans l'aventure. Altitude Telecom est aujourd'hui le seul opérateur français à détenir une licence d'exploitation 3,5 GHz sur l'ensemble du territoire métropolitain, délivrée par l'Autorité de régulation des télécommunications (ART). Il a commencé à équiper trois départements - la Vendée, l'Orne et le Calvados - avec la technologie Wimax, dont les utilisateurs se verront proposer des services haut débit, allant jusqu'à 10 Mbit/s. Une affaire à suivre.

par François Delétraz, Martine Moreau et Jean-Marc Requin

 

 

 

Firefox accroche Microsoft

 

Rapide, sécurisé et bourré de fonctions astucieuses, Firefox pourrait bien changer la donne de la navigation sur le Net. Et inquiéter Microsoft…

 

Ce n'est pas encore une révolution... mais ça pourrait vite le devenir. Depuis quelques mois, le petit monde de l'Internet a des yeux de Chimène pour la fondation Mozilla et pour son futur produit vedette, le navigateur Internet Firefox. A en croire Tristan Nitot, président de Mozilla Europe, Firefox n'a que des qualités : « II est plus rapide et plus sûr qu’Internet Explorer de Microsoft, tout en étant disponible sur Mac, Linux et bien d'autres systèmes informatiques. De plus, il est gratuit ! » L'originalité de Firefox est d'être développé conjointement par un demi-millier de programmeurs bénévoles, la fondation Mozilla assurant la coordination.

 

C'est le principe du logiciel « Open Source », utilisé avec le succès que l'on sait pour la mise au point de Linux, le système concurrent de Windows causant quelques tracas à Microsoft...

 

Disponible en pré-version depuis quelques semaines, Firefox a été té léchargé par plus de 7 millions d'internautes, chiffre bien plus élevé que les prévisions les plus optimistes de la fondation Mozilla. La version officielle, lancée depuis quelques jours, est en passe de rencontrer un joli succès. Et la fondation Mozilla de rêver à près de 10% de parts de marché avant la fin de l'année... Pourquoi pas ?

 

Il faut dire que l'hégémonie de Microsoft sur le Web en agace plus d'un. A commencer par les utilisateurs, confrontés aux multiples failles de sécurité rendant leur PC vulnérable. La présence d'une alternative crédible ne peut être que bénéfique à tous... et même à Microsoft, qui, faute de concurrence réelle, se contente actuellement de colmater les brèches d'Internet Explorer sans vraiment chercher à le faire évoluer.

 

Firefox est, il est vrai, impressionnant. Lors de son installation (facile), l'application récupère automatiquement les signets et données de l'utilisateur stockées dans Internet Explorer. La navigation est très rapide et, surtout, Firefox bloque automatiquement les pop-up », ces fenêtres publicitaires qui s'ouvrent à tire-larigot. De plus, le logiciel est compatible avec l'ensemble des sites Web sécurisés (vente en ligne ou banque, par exemple) auxquels nous l'avons confronté.

 

Certaines fonctions inexistantes sur Internet Explorer ( la navigation par onglet permettant d'ouvrir plusieurs pages dans une seule fenêtre, par exemple ) deviennent vite indispensables, et l'on se demande comment on a pu se passer de telles fonctions aussi longtemps.

PAR MARC MITRANI

 


 
















Rubrique : CYBERESPACE.

 

 

C’est nouveau.

 

VHS deviendra DVD

 

Le Toshiba D-VR3 réunit en un produit les deux mondes analogique et numérique. À la fois enregistreur DVD et magnétoscope 4 têtes, il permet de passer de l'un à l'autre et de redonner une seconde jeunesse à sa vidéothèque en copiant ses VHS sur DVD, support inaltérable. Il lit aussi les formats audio MP3 et les fichiers photo JPEG.

Prix: 499 €. Dans tous les rayons hi-fi.

 

Ordinateur de bureau Dell Dimension 2400.

 

Processeur Celeron 2,6 Ghz, 512 Mo de mémoire vive, écran de 17 pouces classique, lecteur de DVD, graveur de CD, un an de garantie. Nous avons cherché partout, nous n'avons guère trouvé ensemble plus stable à un prix aussi riquiqui. Idéal pour des applications bureautiques et de l'Internet, il est, en revanche, un peu limité pour les jeux.

Prix : 500€.

 

 

Appareil photo numérique Nikon Coolpix 2200.

 

 

Ce n'est pas une nouveauté au catalogue Nikon. Le Coolpix 2200 est un ancien. Avec son capteur de seulement 2 millions de pixels, il fait pourtant de belles photos. Son.rendu de couleur est très honorable et son optique est de très bonne facture.

Prix : 129€

 

 

 

Agenda électronique Palm Zire 21

 

Son écran n'est que noir et blanc. Il n'a pas d'extension mémoire possible. Il ne peut pas recevoir de kit GPS. Il ne peut pas se transformer en baladeur numérique. Oui, mais cet organiseur de poche est compatible avec les Mac et les PC, il peut stocker plusieurs milliers de noms et d'adresses et il a une autonomie de deux semaines. Son port infrarouge lui permet également de communiquer avec les autres palms. Il est compatible avec près de 20 000 logiciels différents. Il gère des rendez-vous sur plusieurs années. Et il ne pèse que 109 grammes. Ce qui est bien suffisant.

Prix : 119€.

 

 


Lecteur DVD Schneider SDV 423.

 

Il faut bien s'y faire. Maintenant, un magnétoscope à cassette vaut deux fois le prix d'une platine DVD d'entrée de gamme. Ce modèle Schneider trouvé chez Darty est tout ce qu'il y a de plus honorable. Outre les films, il lit les CD musicaux et MP3, les CD réengistrables et les DVD gravés à la maison. Ce qui est bien suffisant pour un usage quotidien.

Prix : 49€.

 

Imprimante Epson C46

 

Pour imprimer des textes, des pages Internet ou de petites images d'exposés, elle est parfaite. En fait, elle n'a que deux défauts. D'abord, la C46 est un poil plus bruyante que ses concurrentes. Ensuite, elle n'est pas optimisée pour tirer les photos numériques. Mais, au final, c'est un produit non seulement économique mais pratique.

Prix : 59€.

 

PictureMate Mobile Phone Edition

 

 

est une imprimante spécialement dédiée aux possesseurs de téléphone mobile avec appareil photo intégré. La connexion entre les deux appareils peut se faire sans fil, via une liaison Bluetooth ou en utilisant les emplacements pouvant recevoir les cartes mémoire des téléphones

Prix : PictureMate Mobile Phone Edition, Epson, 229€.

 

 

 

Le Doro Matra 5408

 

est un téléphone DECT avec répondeur qui dispose de nombreuses fonctions:

·              mains libres,

·              présentation du numéro,

·              afficheur rétro éclairé,

·              etc.

Le répondeur possède une mémoire de 11 minutes et, pour une plus grande facilité d'utilisation, les touches regroupées sur la base sont très lisibles.

Prix : Doro Matra 540R, 64,90€.

 

 

 

SOUVENIRS,  SOUVENIRS

 

En 1975 je dirigeais les services informatiques à l’OCP (Office Commercial Pharmaceutique). Nous avions 7 centres de traitement répartis sur toute la France, Des ordinateurs de toutes sortes, dont quelques unités Bull.

Lors d’un appel d’offres pour remplacer 2 gros ordinateurs du centre de Paris, la CMB a proposé de venir nous faire un exposé sur son dernier système, dont j’ai oublié le nom.

J’ai accepté bien volontiers, car je m’attendais à une présentation technique d’un haut niveau.

J’ai réuni mes ingénieurs et leur ai dit : « Vous allez voir autre chose que des généralités genre IBM, car ce sont des techniciens, eux ! Ils vont nous détailler le canal multiplexer, les bus, les cycles, les algorithmes, la technologie …Il faudra vous accrocher! »

 

Le jour J je vois arriver 2 personnes, dont Monsieur X (nom sur demande) que j’avais connu dans le temps et qui, à mes yeux, était très compétent. Nous ouvrons nos cahiers, préparons nos calculettes et attendons.

Monsieur X tire sur sa pipe, réfléchit et dit: « c’est un système tridimensionnel »  Puis, après une pose : « c’est pour cela qu’il s’appelle (nom de modèle) 3 ». Et un peu plus tard: « il peut tout faire ».

Dans la suite de l’exposé il n’y a eu aucun détail technique, ni concernant l’ordinateur proposé, ni nos problèmes et nos cahiers sont restés vierges. A l’évidence la proposition CMB était beaucoup moins étoffée que celles des autres constructeurs.

 

A ce jour, je n’ai toujours pas compris le pourquoi de ce type d’exposé. Monsieur X me connaissait, j’étais technicien comme lui et il aurait pu deviner que je m’attendais à un exposé technique, concret.

Il est vrai qu’il y a des cas, j’en connais au moins un, où un commercial (UNIVAC) a obtenu un gros contrat (une compagnie pétrolière) après un exposé très, très vague.

V.G.HAVELKA

 

 

HISTORIETTE

 

Voici une lettre reçue au Ministère de la Défense, pour éviter l'armée :

 

Monsieur le Ministre de la Défense Nationale,

 

Permettez-moi de prendre la liberté de vous exposer ce qui suit, et de solliciter de votre bienveillance l'appui nécessaire pour obtenir une démobilisation rapide.

Je suis sursitaire, âgé de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a une fille qui en a 25. Mon père a épousé cette fille.

À cette heure, mon père est donc devenu mon gendre, puisqu'il a épousé ma fille. De ce fait, ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu'elle est la femme de mon père.

Ma femme et moi avons eu, en janvier dernier, un fils. Cet enfant est donc devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père. En conséquence, mon oncle, puisqu'il est le frère de ma belle-mère. Mon fils est donc mon oncle.

La femme de mon père a eu à Noël un garçon qui est à la fois mon frère, puisqu'il est le petit-fils de mon père, et mon petit-fils puisqu'il est le fils de la fille de ma femme.

Je suis ainsi le frère de mon petit-fils et, comme le mari de la mère d'une personne est le père de celle-ci, il s'avère que je suis le père de ma femme et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.

De ce fait, Monsieur le Ministre, ayez l'obligeance de bien vouloir me renvoyer dans mes foyers, car la loi interdit que le père, le fils et le petit-fils soient mobilisés en même temps.

Dans la croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l'expression de mes sentiments les meilleurs.

 

Sincères salutations

Historiette transmise par José BOURBOULON.

 

 

Voici une Historiette transmise par José BOURBOULON:

 

Dans les années 1974 – 83, j’étais P.D.G. d’une toute petite filiale de Cap Gemini Sogeti, comme on disait alors, trop petite pour avoir un Comité d’Entreprise, mais qui avait quatre délégués du personnel, deux délégué cadres (dont un suppléant) et deux délégués employés (dont un suppléant). Elle s’appelait SORINFOR et faisait du « Facilities Management » avec un GE 6035, un IRIS 50, un GE 115 et un terminal lourd DATA 100 connecté aux IBM de la CISI. Elle fonctionnait sur trois postes six ou sept jours par semaine. La fonction « études » était évidemment assurée, non sans problèmes, par mes collègues des sociétés sœurs.

 

Au cours d’une réunion mensuelle des délégués d’un quelconque mois de septembre, parmi les « questions diverses » c’est-à-dire ne figurant pas à l’ordre du jour, l’un des quatre délégués (mais pas Michel Charleux, frère de Georges) lance une revendication bizarre :

« On veut que le 13 octobre soit férié dans la société. » Je mets une fraction de seconde à réaliser que :

-            ce doit être la fête du Yom Kippour,

-            deux ou trois des quatre délégués doivent être juifs, ce à quoi je n’avais pas fait attention.

Je leur réponds aussitôt :

« D’accord, mais alors vous venez travailler le jour de Noël ».

Je n’ai plus jamais entendu parler de cette « revendication ».

José Bourboulon

 

Pour informaticien Support technique

 

Après avoir eu des problèmes avec son ordinateur, un pauvre utilisateur ignorant appelle au téléphone l'équipe de support technique du fabricant de cet ordinateur, espérant obtenir un peu d'aide.

Techn.: Support technique, bonjour! Comment puis-je vous aider?

Client: Il y a de la fumée qui sort de l'alimentation de mon ordinateur.

Techn.: Il va sans doute vous falloir une nouvelle alimentation!

Client: Non, non, certainement pas! Je dois seulement changer les fichiers de configuration.

Techn.: Monsieur, s'il y a de la fumée qui sort de l'alimentation, c'est que l'alimentation est grillée. Il va vraiment falloir la remplacer!

Client: Pas question! Quelqu'un m'a dit qu'il suffisait de changer la configuration du système au démarrage pour régler ce problème. Vous n'avez qu'a me dire quelle est la bonne commande à exécuter...

 

Apres dix minutes, malgré tous les efforts du technicien pour expliquer le problème et sa solution, le client s'entête à prétendre avoir raison et exiger qu'on lui indique la commande qui va régler ça. Le client ayant toujours raison, il ne reste plus au technicien qu'une seule façon d'agir...

Techn.: Cher monsieur, je suis désole: vous avez raison. Nous n'avons pas l'habitude de communiquer cette information a nos clients, mais il y a effectivement une commande DOS non documentée qui réglera votre problème.

Client: Je l'savais!

Techn.: Ajoutez simplement la ligne "DEVICE=\DOS\NOSMOKE.SYS" a la fin de votre fichier CONFIG.SYS, redémarrez l'ordinateur et tout devrait rentrer dans l'ordre. Rappelez-moi si vous avez le moindre problème.

 

Une dizaine de minutes plus tard, le client rappelle le technicien.

Client: Ca n'a pas marché. L'alimentation fait encore de la fumée...

Techn.: Ah. Dites-moi, quelle version de DOS utilisez-vous?

Client: MS-DOS 6.22

Techn.: Voilà le problème! Cette version de DOS n'inclut pas NOSMOKE. Il vous faudra appeler Microsoft et leur demander de vous envoyer une mise à jour.

Tenez-moi au courant du résultat de votre appel.

Environ une heure plus tard, le même client rappelle.

Client: J'ai besoin d'une nouvelle alimentation...

Techn.: Pas de problème, je vous l'envoie aujourd'hui même, mais dites-moi: comment êtes-vous arrivé cette conclusion?

Client: Eh bien, j'ai appelé Microsoft et j'ai répété à leur technicien ce que vous m'aviez dit. Après une longue discussion, il m'a demande la marque et le modèle de mon alimentation...

Techn.: Et qu'est-ce qu'il vous a dit?

Client: Il a dit que mon alimentation n'était pas compatible avec NOSMOKE...

Un ami.


 L’hiver, période la plus froide de l’année.

 

J’espère que cette année fut le résultat de toutes vos espérances. Nous allons sauter de nouveau dans cet inconnu du passage de l’année 2004 vers l’an 2005. Nous vous souhaitons à tous, un joyeux Noël et une bonne heureuse année 2005 pour vous et vos proches.

 

FEB-ACTUALITES :

2, rue Galvani 91343 Massy Cedex

 

Directeur de la Publication : Alain Lesseur

 

Rédacteur en chef :

Michel Guichard.

 

Comité de rédaction-relecture : Alain Lesseur, Michel Guichard, François Holvoet-Vermaut, José Bourboulon, Monique Petit.

 

Photocomposition :

Michel Guichard

 

Impression : SOS repro - 75017 Paris

 

Tirage : 600 exemplaires

 

FEB-ACTUALITES N°49.

 

Ont participé à la rédaction de ce document :

A.Lesseur, D.Poirson, EW.Müller, F.Holvoet-Vermaut, G.Natan, J.Bellec, J.Bourboulon M.Guichard, V.G.Havelka, Le groupe RER et des articles journalistiques.

 

Publication interne.

Diffusion réservée.

 

 

 

 

 

Fin 2004

 

et

 

Vive 2005

 

 

La Fédération des Équipes Bull ( F.E.B.) est :

Une association (loi de 1901) regroupant les amis de Bull dans des Clubs d’activités culturelles.

 

Présidents d’Honneur :

Bernard Capitant (U),

Dominique Pagel,

Victor Thevenet (fondateur).

Président : Alain Lesseur.

Vice-Présidents : Michel Guichard, François Holvoet-Vermaut.

Secrétaire Général : André Taillat.

Secrétaire : Raymond Réglier.

Trésorier Général : Marcel Couturier.

Trésorière : Monique. Petit.

Assesseurs : Victor Thevenet, et José Bourboulon.

Bureaux : 2, rue Galvani 91343 MASSY CEDEX.

Tél./ Fax  : 01.69.93.90.40.

Permanence : le mardi ou sur R-V.

E-Mail : feb-paris@feb-patrimoine.com

Site Web : www.feb-patrimoine.com

 

La F.E.B. reste à votre écoute. N’hésitez  pas ! Téléphonez-nous ou

laissez-nous votre message aux numéros de téléphone ci-dessous pour :

ANGERS,  BELFORT  et  PARIS.

- 02 41 73 73 58 (AN); - 03 84 21 26 98 (BE); - 01 69 93 90 40 (PR).

En cas d’absence, les répondeurs prennent le relais.

Au revoir au prochain F.E.B.-ACTUALITÉS : N° 50 en 2005.

 

Michel GUICHARD