Introduction
Le
microprocesseur d'aujourd'hui (en 2008), qu'il soit intégré dans un
micro-ordinateur ou que ce soit l'organe central d'une caméra, d'un GPS
ou d'un téléphone intelligent, incorpore dans son seul circuit du
microprocesseur (puce, chip) des mémoires, qui étaient autrefois
externes, d'architecture et de technologies diverses:
- registres
- caches (programme, données)
- tampons (buffers).
Restent isolées des processeurs pour des raisons de logistique ou de prix :
- la
mémoire principale pour laquelle l'objectif actuel est la capacité
maximum à un prix acceptable (cette capacité est au minimum de quelques
méga-octets). Actuellement, la technologie est le plus souvent celle
des circuits intégrés DRAM utilisés en lecture et écriture.
- une
mémoire de démarrage survivant à l'arrêt de l'alimentation et à une
remise à zéro du système (RESET) utilisée presque exclusivement en
lecture.
- une mémoire secondaire de grande
capacité et potentiellement amovible (cartes Flash, disques externes)
utilisée pour les programmes et les données. Deux technologies se
partagent le marché :
- une technologie statique à base de RAM Flash (non volatiles)
- une technologie cinématique à base de média magnétiques (disques durs)
- optionnellement,
une mémoire de sauvegarde non directement accessible par le processeur
et servant également de support de média de distribution (en lecture
seulement) du logiciel ou des données. Ce type de mémoire est
susceptible d'être doublé voire remplacé par des serveurs sur réseau
local ou sur Internet. Plusieurs technologies de mémoires de sauvegarde
se disputent le marché actuellement dominé par les technologies
optiques CD et DVD