La mémoire principale était à tores magnétiques (typiquement 8 K mots de 24 bits).
Une des caractéristiques de la M-40 était la présence d'un système d'interruptions de
programmes (masquables) à peu près indispensable pour les applications temps réel et
aussi utilisé pour les fonctions ordinaires du système d'exploitation
Les entrées-sorties de service (Flexowriter, bande perforée et celles d'automatisme
regroupées sous un multiplexeur sélecteur de sous-canaux) étaient commandées par une
combinaison de logiciel et de firmware, tandis que plus tard fut réalisé pour les bandes
magnétiques un système (appelé aujourd'hui DMA) de canaux simultanés.
FORMAT DES DONNEES
nombres binaires 24-bits ou 48-bits
nombres en virgule flottante (37-bits de mantisse et 9-bits d'exposant)
caractères de 6-bits (4 par mot)
nombres décimaux (1 digit par caractère)
chaines de bit (dans un mot)
FORMAT DES INSTRUCTIONS
L'interprétation des instructions par des microprogrammes donne la possibilité d'un
répertoire très riche d'instructions de différents types
1 instruction par mot de 24-bits. Les instructions référencent une seule adresse
mémoire directe ou indirecte ou indexée. La mémoire étant limitée à 32767 mots, la
longueur du champ adresse est de 15bits.
Les registres hardware comprennent un accumulateur de 24-bits, un compteur d'instruction
de 15 bits, des registres résultats (compraison, débordement, booléen). En outre,
chaque programme (max 16) possède 16 registres (en mémoire) dont 3 registres d'index, 1
accumulateur étendu, un registre sommet de pile, un compteur, 3 registres généraux et
les registres de sauvegarde en cas d'interruption.
INTERRUPTIONS
30 signaux
15 niveaux de priorité
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